L'abondance des tiques dans certaines zones géographiques est parfois inquiétante. Les mesures de lutte contre ces parasites, potentiels vecteurs de la piroplasmose et d’autres maladies, s’inscrivent dans une approche intégrée.
Le pré constitue l’environnement naturel des équidés et nombre d’entre eux y passent de longues heures, été comme hiver. Néanmoins, dans ces pâtures souvent délaissées par les agriculteurs car difficiles à entretenir ou de qualité médiocre pour des cultures, aux accès peu praticables, en zones inondables ou périurbaines, dans des régions semi-montagneuses, au bord de cours d’eau ou de forêts, les tiques ont trouvé des refuges et prolifèrent localement. Elles représentent pour certains propriétaires d’équidés une préoccupation quasi quotidienne avec peu de répit, ...
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