Pourquoi et comment intéresser les étudiants à la recherche vétérinaire ? - Pratique Vétérinaire Equine n° 190 du 01/04/2016
Pratique Vétérinaire Equine n° 190 du 01/04/2016

PÉDAGOGIE

Cahier scientifique

Article original

Auteur(s) : Jean-Michel Vandeweerd

Fonctions : Université de Namur (UNamur)
Urvi-Narilis (unité de recherche
vétérinaire intégrée-Namur Research
Institute in Life Sciences)
Rue de Bruxelles, 61, 5000 Namur,
Belgiquejean-michel.vandeweerd@fundp.ac.beClinique vétérinaire équine
18, rue des Champs, La Brosse
78470 Saint-Lambert-des-Bois

Le praticien équin moderne se doit d’analyser ses données cliniques, et d’en faire bénéficier la communauté. L’acquisition des compétences nécessaires est favorisée par l’accès des étudiants vétérinaires à une expérience de recherche.

Les étudiants en médecine vétérinaire sont rarement intéressés par la recherche et se destinent plus souvent à la pratique. Une étude réalisée en 2014 en Belgique auprès de 248 étudiants bacheliers vétérinaires a montré que seulement 3 d’entre eux envisageaient une carrière en recherche (tableau 1) [10]. En médecine humaine également, les étudiants tentés par la recherche clinique se font de plus en plus rares depuis plusieurs années déjà [4]. Il semblerait toutefois que le développement d’activités d’apprentissage liées à la recherche augmente l’intérêt des étudiants pour la discipline, même chez ceux qui ne se destinent pas à cette carrière, et cela en médecine humaine comme en médecine vétérinaire [4, 12]. Quel peut être l’intérêt de former les étudiants vétérinaires à la recherche ? Comment s’y prendre ? Quel impact cela peut-il avoir sur la nouvelle génération de praticiens ? Telles sont les questions auxquelles cet article tentera de répondre.

Pourquoi intéresser les étudiants à la recherche ?

De nos jours, les universités souhaitent renforcer le lien entre recherche et enseignement. Il semblerait que la participation des étudiants aux activités de recherche favorise la fréquentation des étudiants dans des programmes académiques supérieurs, un objectif clairement avoué des institutions désireuses de générer des étudiants doctorants (PhD) [5]. Néanmoins, les participants rapportent avoir acquis des compétences utiles ailleurs qu’en recherche, telles qu’un meilleur esprit critique et une indépendance dans l’acquisition de la connaissance. Ils se sentent capables de comprendre des données scientifiques, d’analyser les publications de façon critique et de mener un groupe. Toutefois, il semblerait que ce sont les meilleurs étudiants qui participent à la recherche, cela étant en général lié au processus de sélection des candidats.

Différentes stratégies décrites dans les publications pour former les étudiants à la recherche consistent à faire entrer cette discipline dans les salles de classe ou à impliquer les étudiants dans des projets de recherche, ou encore à élargir le concept de la recherche à des thématiques pédagogiques [5].

La recherche en classe ne doit pas être perçue comme la nécessité pour le professeur de parler de ses propres résultats [5]. La démarche est tentante, mais peut avoir des désavantages tels que l’enseignement de concepts inadaptés au niveau des étudiants. Le cours rendrait alors les choses plus compliquées. L’enthousiasme du professeur pour sa matière et une attitude plus critique sont, quant à eux, des avantages. L’apport de la recherche doit plutôt prendre la forme de l’“inductive teaching”. Il correspond à la séquence : problème posé, observations réalisées ou résultats expérimentaux fournis, discussion critique. Des variantes de cette méthode sont l’apprentissage par problèmes et par projets. Cette modalité développe l’esprit critique et l’approche scientifique.

Impliquer des étudiants dans des projets de recherche sur des thématiques cliniques, voire pédagogiques (portant sur leur propre apprentissage) semble être une méthode plus efficace [5]. Différents éléments factuels semblent le démontrer en médecine vétérinaire également.

L’avis des étudiants-chercheurs vétérinaires

Une étude menée au Royaume-Uni en 2013 a décrit les perceptions des étudiants par rapport à un court projet de recherche intégré au programme clinique [12]. Ces derniers en ont conclu que l’activité pédagogique leur permet d’acquérir principalement les habiletés nécessaires pour « rassembler l’information » et « l’évaluer de façon critique ». Dans une moindre mesure, elle développe « le travail en équipe », « la résolution de problèmes » et « la communication orale ». La satisfaction des participants vient du résultat de production scientifique finale (publication), directement lié, selon eux, à la qualité de la supervision.

En Belgique, les nombreux avantages de l’ouverture à la recherche sont illustrés par une enquête récente menée auprès d’étudiants-chercheurs [11]. À l’université de Namur, depuis 2010, le département vétérinaire a développé une orientation “recherche” dans le cadre des travaux de fin d’études (TFE) de bachelier. Trente-six étudiants (n = 36) ont choisi cette orientation entre 2010 et 2015. Les questions posées lors de l’enquête portent sur les motivations quant à la participation à un travail de recherche, les difficultés rencontrées et les acquis. Vingt étudiants ont répondu. Cinq avantages principaux du statut d’étudiant-chercheur sont identifiés : découverte de la recherche, acquisition de compétences transversales, amélioration des savoirs et des habiletés, préparation à l’avenir professionnel et développement de l’estime de soi (encadré 1).

Il est intéressant de constater aussi, parmi les motivations des étudiants vétérinaires participant à la recherche, celle de se distinguer par une publication scientifique. Ils sont conscients qu’un curriculum vitae solide leur permettra d’accéder plus facilement aux formations de spécialisation (résidences, collèges). En effet, la sélection des candidats repose sur l’expérience clinique, l’aptitude à enseigner et les compétences en recherche. À ce titre, des étudiants bacheliers sont tentés de poursuivre certains projets après avoir quitté l’université, ou d’y revenir pour un stage de fin d’études. L’élaboration d’un réseau de contacts à l’occasion du projet faciliterait les recherches ultérieures d’un stage. Ces avantages sont également décrits pour les étudiants en médecine [3, 4].

Le développement de l’esprit critique et de l’utilisation des publications est également un pas important vers une pratique de la médecine factuelle. Il est très parlant de constater la longue liste de compétences transversales citées. Ces “soft skills” sont très importants. De plus, le sentiment de fierté et d’estime de soi n’est pas négligeable au cours d’études difficiles que les feed-back positifs permettent probablement de mieux gérer.

Certains autres commentaires des étudiants sont particulièrement intéressants par rapport à la place de la recherche dans la pratique. « On peut très bien faire de la pratique et mener des recherches à côté pour autant d’être motivé et passionné. Ça peut, selon moi, devenir un loisir ou une part du métier. » Ou encore : « Les praticiens peuvent également participer à la recherche en informant les chercheurs de cas particuliers qu’ils auraient pu rencontrer ou par d’autres observations. » La phrase : « Aujourd’hui, je sais que j’aimerais mêler pratique et recherche comme le font certains vétérinaires », est encourageante. Elle témoigne d’une conscience de la nécessité pour le praticien moderne d’analyser ses données cliniques rigoureusement, puis d’en faire bénéficier la communauté en les publiant, permettant ainsi une prise de décision médicale mieux informée (evidence based medicine, médecine factuelle).

Performances en recherche des étudiants vétérinaires

En 2010, Narilis (Namur Research Institute for Life Sciences) a initié le concept d’“étudiant-chercheur”. Le département vétérinaire de l’UNamur a formalisé ce statut dans son cursus en y associant des crédits (ECTS). Ces initiatives ont abouti à une mobilisation plus importante des étudiants pour des travaux de recherche et à une production accrue de publications scientifiques associées à ces travaux, dont plusieurs relatifs à la médecine équine (photo 1). Ces activités de recherche, utilisant l’animal pour répondre à des questions de santé humaine, ont intéressé de plus en plus de techniciens et de médecins du centre hospitalier universitaire UCL Mont-Godinne, avec lequel le département vétérinaire collabore. Récemment, des étudiants en médecine ont montré un intérêt pour la recherche (tableau 2). On peut en conclure que les étudiants sont brillants. Ce constat ne concerne pas que les étudiants académiquement performants. D’autres, moins bons, ont réalisé des travaux de très bonne qualité. L’enquête révèle que, comme en médecine humaine, certains critères sont importants pour développer l’intérêt des étudiants et assurer le succès de la recherche : qualité de l’accompagnement (promoteur), temps suffisant dévolu au projet, temps suffisant pour les autres activités (encadré 2) [2]. L’étudiant doit aussi être réellement mis en avant. Il ne s’agit pas de le confiner dans un rôle de recherche fouillée des publications. Il convient de respecter les promesses. Les jeunes ne doivent pas supporter de frais liés à leur travail et il est judicieux de les récompenser.

Comment former l’étudiant-chercheur

Il semble très important de sensibiliser les étudiants à la recherche le plus tôt possible. Cette sensibilisation précoce peut influencer le choix d’une carrière future [6, 7]. Il existe probablement différentes modalités efficaces. Voici l’exemple du dispositif mis en place à l’UNamur.

Formation à la méthodologie scientifique et à la médecine factuelle

Une première étape consiste à préparer tous les étudiants (y compris les non-­candidats chercheurs) à la médecine ­factuelle et à la prise de décision éclairée. Cela passe par une formation à la méthodologie scientifique et aux statistiques. Ce cours est délivré le plus tôt possible dans le cursus, dès la deuxième année. Cette formation est un préalable indispensable qui introduit les notions de base de la recherche et la critique d’un article scientifique. Les statistiques de base sont expliquées. Les notions fondamentales de médecine factuelle sont délivrées en 4 à 6?heures. Un travail dirigé de synthèse méthodique personnel peut ensuite être supervisé par le biais de classes inversées au cours desquelles l’enseignant commente en direct les travaux des étudiants. Les principes de la synthèse méthodique ont fait l’objet de divers articles dans Pratique Vétérinaire Équine et Le Point Vétérinaire [1, 8].

Sélection des candidats et des sujets

Une réunion est organisée afin de présenter le dispositif aux candidats. Des sujets sont proposés. Les étudiants peuvent soumettre eux-mêmes une question scientifique en demandant si elle peut faire l’objet d’une recherche. Leur motivation en semble renforcée. La sélection des étudiants ne se fait pas sur la base de leurs performances académiques. Le rôle du promoteur est d’identifier des thèmes réalistes, c’est-à-dire réalisables dans un laps de temps suffisamment court (3 à 4 mois), mobilisant des moyens à disposition et ne présentant pas un obstacle éthique. Les études ex vivo (sur cadavres) conviennent bien. Les sujets d’anatomie et d’imagerie peuvent être gérés dans un court laps de temps, et permettent d’utiliser les techniques à disposition. La collaboration avec des cliniques privées est particulièrement riche car le projet est ainsi contextualisé et confronté à la réalité de la pratique (photo 2) [9]. Les études cliniques (sur animaux vivants) ne conviennent pas car elles sont longues et ont des implications éthiques importantes.

Revue des publications et initiation d’un document de travail

Une troisième étape consiste en une réunion collégiale organisée avec l’ensemble des étudiants pris en charge par le promoteur. Ce dernier, partant de chacune des propositions de questions de recherche, explique comment créer et introduire une bonne question de recherche : dans un premier temps, l’étudiant est invité à mener une revue exhaustive des publications, idéalement sous le mode de la synthèse méthodique ; dans un second temps, ce travail doit aboutir à une introduction qui débouche sur la question de recherche selon le “principe de l’entonnoir” (figure) [1, 8]. Cette revue doit aussi être mise à profit pour identifier, dans les articles consultés, les matériels et méthodes utilisés dans des études similaires à celle qui est planifiée par l’étudiant. Celui-ci est invité à créer immédiatement un document de base comportant les sections “introduction”, “matériel et méthode”, ainsi que la “bibliographie” correspondante correctement formulée. Ce texte doit être rédigé en anglais. C’est un “document martyr¨ qui sera modifié au cours du temps. Commencer la rédaction dès le début du projet permet de gagner du temps et facilite le respect des délais.

Coaching

Un travail de coaching personnalisé en tête à tête permet le suivi du projet. Le promoteur part du texte fourni par l’étudiant. Il s’assure que l’introduction brosse le contexte de la recherche menant à la question de recherche. Les diverses lectures doivent avoir fourni des exemples de méthodes validées pour mener et analyser les observations. Les biais potentiels et les points de discussion doivent avoir été identifiés. Le professeur corrige le document avec l’étudiant à ses côtés, qui apprend ainsi la démarche et ­comprend ses erreurs. Celui-ci repart chez lui avec d’autres demandes. Trois ou quatre séances de feed-back sont généralement requises pour aboutir à un protocole de recherche adéquat. Cette activité se déroule sur 1 mois environ.

L’étudiant est ensuite mis au contact des éléments à observer (cadavres, pièces anatomiques, résultats de laboratoire, images radiographiques, scans de résonance magnétique, etc.). Les instruments nécessaires et le support humain (tuteurs) sont mis à sa disposition. Des collègues médecins ou vétérinaires sont sollicités (photo 3). Une période d’entraînement est organisée. Le tuteur responsable évalue le moment où l’étudiant est apte à mener les observations seul. Ce dernier est largement laissé maître de ses manipulations. Pendant ce temps, le texte initial est revu régulièrement. Les résultats et leur discussion y sont ajoutés. En fin de parcours, certains travaux sont suffisamment élaborés pour être communiqués en congrès. En général, un complément de travail est nécessaire pour aboutir à une publication internationale.

Cette dernière phase est très importante. Son succès dépend de la motivation de l’étudiant et des réponses du promoteur à ses demandes.

Il s’agit d’identifier rapidement les forces et les faiblesses du protocole, de diriger le candidat dans la poursuite des points forts et de lui fournir un feed-back positif. Il convient aussi d’exprimer rapidement ses doutes vis-à-vis des étudiants non motivés ou qui ne répondent pas aux sollicitations.

Conclusion

L’expérience du département vétérinaire de l’université de Namur montre qu’il est possible d’intéresser les jeunes à la recherche et qu’ils sont performants. Cependant, l’enquête ne concerne qu’un nombre limité d’étudiants. L’intervention pédagogique mise en place est à même de développer des compétences recherchées pour les praticiens équins. Le statut d’étudiant-chercheur doit donc être encouragé. L’espoir est permis de voir grandir une génération de jeunes praticiens sensibilisés à l’approche critique et à l’utilisation de la recherche pour améliorer leur pratique professionnelle.

  • 1. Coisnon C, Vandeweerd JM. Effectuer une synthèse méthodique : exemple de l’efficacité des nutraceutiques. Point Vét. 2011;320:68-72.
  • 2. Diez C, Arkenau C, Meyer-Wentrup F. The German medical dissertation-Time to change? Acad. Med. 2000;75:861-863.
  • 3. Frishman WH. Student research projects and theses: Should they be a requirement for medical school graduation? Heart Dis. 2001;3:140-144.
  • 4. Houlden RL, Raja JB, Collier CP et coll. Medical students’ perceptions of an undergraduate research elective. Med. Teach. 2004;26 (7):659-661.
  • 5. Prince MJ, Felder RM, Brent R. Does faculty research improve undergraduate teaching? An analysis of existing and potential synergies. J. Engineer. Educ. 2007;96(4):283-294.
  • 6. Reinders JJ, Kropmans TJ, Cohen-Schotanus J. Extracurricular research experience of medical students and their scientific output after graduation. Med. Educ. 2005;39:237.
  • 7. Segal S, Lloyd T, Houts PS et coll. The association between students’ research involvement in medical school and their postgraduate medical activities. Acad. Med. 1990;65:530-533.
  • 8. Vandeweerd JM, Buczinski S, Lebrun L et coll. La synthèse méthodique: un outil d’information scientifique mis à la disposition du praticien. Prat. Vét. Équine. 2010;42 (168):65-73.
  • 9. Vandeweerd JM, Diguet AC, Bailly?C et coll. L’étude ex vivo : un moyen pour améliorer sa pratique quotidienne. Prat. Vét. Équine. 2014;184:52-55.
  • 10. Vandeweerd JM, Dugdale A, Romainville M. Validation of a psychometric instrument to assess motivation in veterinary bachelor students. J. Vet. Med. Educ. 2014;41(3):265-274.
  • 11. Vandeweerd JM, Nisolle JF. Construire une génération de jeunes chercheurs. Colloque Narilis 2016, Mont-Godinne, Belgique.
  • 12. Weller R, May SA. Factors influencing clinical students’ perceptions of an embedded research project and associated publication output. J. Vet. Med. Educ. 2013;40(2):119-127.

CONFLIT D’INTÉRÊTS : AUCUN

ÉLÉMENTS À RETENIR

• Les praticiens vétérinaires sont détenteurs de données cliniques essentielles et devraient être associés à la recherche.

• Les étudiants vétérinaires sont capables de se motiver pour la recherche et de publier.

• Offrir un projet de recherche répondant aux intérêts des étudiants, apporter les moyens de le réaliser, respecter les promesses et encourager, telles sont les clés pour bien former un étudiant-chercheur.

ENCADRÉ 1 : AVANTAGES DU STATUT D’ÉTUDIANT-CHERCHEUR IDENTIFIÉS PAR L’ENQUÊTE

1. Découverte de l’activité de la recherche

• Opportunité de découvrir un autre aspect du métier de vétérinaire (11/20).

• Apprendre une démarche (9/20).

• Découvrir des techniques scientifiques (1/20).

2. Acquisition de compétences transversales

• Recherche et critique des publications (9/20).

• Rigueur dans l’observation (4/20).

• Autonomie, autogestion, initiative (3/20).

• Responsabilité (1/20).

• Collaboration, sens social (4/20).

• Organisation (2/20).

• Respect des délais (1/20).

• Utilisation des tableaux (1/20).

• Amélioration de l’anglais (3/20).

• Maîtrise de Power Point (1/20).

• Présentation orale (3/20).

• Réalisation de posters (2/20).

• Capacité à hiérarchiser (2/20).

• Apprentissage de l’échec (1/20).

• Capacité à prendre du recul (2/20).

3. Amélioration des savoirs et?des?habiletés spécifiques

• Élargissement des connaissances (6/20).

• Ajout d’une composante pratique à?l’apprentissage (12/20).

4. Préparation de l’avenir

• Amélioration du curriculum vitae (8/20).

• Rédaction et publication d’un article scientifique, en vue de spécialisation (12/20).

• Rencontre avec des professionnels, élaboration d’un réseau (6/20).

• Ouverture au métier académique (1/20).

• Apprentissage de la rédaction d’un?travail de fin d’études (2/20).

• Approche factuelle de la médecine vétérinaire (EBM) (9/20).

5. Développement du sentiment de fierté, de confiance, d’utilité, et de l’estime de soi (9/20)

« L’envie de participer à quelque chose de plus grand. »

« Cela permet d’être “spécialiste” dans un sujet qui nous plaît. »

« Cela fait “grandir” mentalement. »

« Vivre des expériences hors normes pour des années de bachelier : notamment une conférence à l’étranger. »

Le nombre d’étudiants qui ont émis l’idée en question est indiqué (X/20). Les citations de certains étudiants sont reprises entre guillemets.

ENCADRÉ 2 : FACTEURS FAVORISANT LE DISPOSITIF

• Moyens matériels mis à la disposition des étudiants.

• Encadrement.

• Accès à des congrès.

• Stimulation à la publication.

• Respect des promesses.

• Choix personnel du sujet : « Le sujet fait tout » ; « Il faut que le sujet soit apprécié par l’étudiant pour qu’il y voie un intérêt. »

• Frais de déplacement, rémunération.

• Prix, récompense.

• Crédits (ECTS).

Les citations de certains étudiants sont reprises entre guillemets.

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