Contrôles vétérinaires en course d’endurance : critères d’alerte - Pratique Vétérinaire Equine n° 161 du 01/01/2009
Pratique Vétérinaire Equine n° 161 du 01/01/2009

Article de synthèse

Auteur(s) : Antoine Seguin

Fonctions : DMV Camp del Pous, 48500 Banassac

Lors d’une épreuve d’endurance, le vétérinaire doit savoir détecter les chevaux pour lesquels continuer la course serait dangereux et/ou qui nécessitent des soins.

En France, l’endurance équestre moderne est née en 1975. Dès le début de cette nouvelle discipline, la profession vétérinaire s’est trouvée associée à son développement.

Rôle et responsabilité du vétérinaire

Ces dernières années ont vu l’endurance prendre une ampleur tant nationale qu’internationale. Elle est devenue la deuxième discipline fédérale en nombre de compétiteurs et d’épreuves organisées. Cependant, ce sport a été montré du doigt comme pouvant mettre en danger la santé, voire la vie, des chevaux.

La profession vétérinaire compte parmi elle de nombreux cavaliers de haut niveau en endurance. Elle a largement participé à la mise en place des règles qui régissent cette discipline, en particulier à la lumière des connaissances en physiologie de l’effort de longue durée et des observations effectuées sur le terrain des capacités de récupération du cheval d’endurance.

Les vétérinaires sont impliqués à différents niveaux dans la discipline :

- ils sont garants de la protection et du bien-être animal ;

- ils jouent un rôle majeur de juge en contrôlant les critères responsables de l’élimination d’un concurrent et du classement final de l’épreuve ;

- ils interviennent comme conseillers techniques pour les organisateurs et les cavaliers ;

- enfin, ils peuvent à tout moment être amenés à intervenir comme clinicien dans des conditions particulières et pour des affections spécifiques.

Tout vétérinaire qui accepte de participer aux contrôles des chevaux sur une épreuve d’endurance doit savoir détecter les signes précoces d’un risque pathologique, et ce à partir d’un examen clinique sommaire.

Ces signes d’alerte sont développés dans cet article. Leur prise en compte doit permettre d’arrêter le cheval avant que toute affection ne se déclare. Si certains d’entre eux correspondent à des critères d’élimination définis par les règlements, d’autres, plus subjectifs, font appel à la connaissance des affections spécifiques de l’endurance et à l’expérience du praticien.

Pendant une compétition d’endurance, lorsqu’un cheval se présente au contrôle vétérinaire, la première question à laquelle doit répondre le praticien, garant avant tout de la protection et du bien-être animal, est celle de son aptitude à continuer la course sans danger (fit to continue).

Si les critères de jugement sont connus, ils doivent être appréciés dans un laps de temps extrêmement réduit et toute erreur peut se révéler préjudiciable, pour le cheval si sa santé ou sa vie sont mises en danger, ou pour le cavalier s’il est éliminé à tort.

Temps de récupération

Le temps de récupération se calcule en faisant la différence entre l’heure d’arrivée à l’étape et l’heure d’entrée au vet-gate (encadré 1).

Les bons chevaux de niveau national ou international ont en général des temps de récupération inférieurs à cinq minutes. Le vétérinaire doit être capable d’interpréter rapidement la carte vétérinaire pour calculer ce temps de récupération. Des systèmes de chronométrage électronique sont récemment apparus. Ainsi, un transpondeur placé sur un collier ou sur le filet du cheval est détecté par une antenne sur la ligne d’arrivée et à l’entrée du vet-gate. Il permet l’édition d’une fiche de chronométrage sur laquelle le temps de récupération est calculé automatiquement.

La fréquence cardiaque et le temps de récupération sont à mettre en relation. Selon le niveau de l’épreuve, une fréquence cardiaque maximale, au-dessus de laquelle le cheval est éliminé, est définie (56 à 64 pulsations par minute). Pour descendre en dessous de ce seuil, le cheval dispose, après son arrivée à l’étape, d’un temps de récupération limité (de 20 à 30 minutes suivant le niveau de l’épreuve). Si la fréquence cardiaque ne diminue pas en conséquence dans la limite du temps imparti, le concurrent est éliminé. Toute fréquence cardiaque proche de 64 pulsations par minute après un temps de récupération supérieur à 10 minutes est un signe d’alerte majeur pour le praticien, qui doit approfondir son examen et, éventuellement, demander un réexamen du cheval dans les minutes précédant son départ (photo 1).

Ce réexamen permet de vérifier si ce temps de récupération allongé est à mettre en relation avec une insuffisance de préparation du cheval ou avec une gestion inadaptée de l’épreuve par le cavalier. Dans les deux cas, le réexamen de l’animal met en évidence des paramètres comparables aux normes physiologiques d’un cheval au repos. Dans le cas contraire, il est possible de suspecter une affection débutante nécessitant l’élimination du cheval, sa mise sous observation et, éventuellement, son traitement. La remarque faite par le cavalier d’un temps de récupération inhabituellement long pour un cheval doit également alerter le vétérinaire.

Critères de type A

Dans cette catégorie sont habituellement classés les critères quantitativement mesurables.

Fréquence cardiaque

Dans un vet-gate, la fréquence cardiaque est mesurée par auscultation. Dans certains pays, elle peut également être évaluée par cardiofréquencemètre (photo 2). Cette méthode a l’avantage de ne jamais mettre en cause l’honnêteté du praticien, mais n’est pas toujours fiable. Elle ne dispense pas d’une auscultation, nécessaire à l’appréciation des bruits cardiaques et d’éventuels troubles du rythme. La fréquence cardiaque est mesurée sur une minute, le vétérinaire s’assurant qu’aucun élément extérieur générateur de stress ne puisse la faire augmenter.

Toute fréquence cardiaque éliminatoire, c’est-à-dire supérieure aux normes réglementaires (64 pulsations par minute à partir du niveau 2*) après 20 minutes de récupération, constitue un signe d’alerte. En effet, une tachycardie persistante est un symptôme à mettre en relation avec une déshydratation, un coup de chaleur, des coliques débutantes ou un syndrome d’épuisement.

Une fréquence cardiaque persistant au-dessus de 75 pulsations par minute entraîne quasi systématiquement la mise sous traitement du cheval. En effet, sa décroissance après l’arrêt de l’effort est linéaire et le cheval d’endurance recouvre habituellement une fréquence de repos en une heure environ. La persistance d’une fréquence cardiaque élevée signe un désordre métabolique ou l’apparition d’une affection spécifique (colique, fourbure, etc.).

Située entre 64 et 75 pulsations, elle requiert une mise sous surveillance du cheval, dont le cas est reconsidéré une demi-heure à une heure plus tard.

Fréquence respiratoire

La fréquence respiratoire n’est habituellement pas rigoureusement mesurée. Elle l’est seulement lorsque le cheval semble en polypnée ou en inversion, c’est-à-dire quand elle devient supérieure à la fréquence cardiaque.

Élevée, elle entraîne obligatoirement une prise de température. Associée à une température supérieure à 39,5 °C, elle constitue également un signe d’alerte, car cela met en évidence une thermorégulation inefficace pouvant être liée à une déshydratation ou à un coup de chaleur.

Temps de réplétion capillaire

Le temps de réplétion capillaire est le signe le plus fiable permettant de suspecter une déshydratation débutante ou installée. Mesuré après une pression du doigt sur la gencive (photo 3), s’il est supérieur ou égal à trois secon-des, c’est un signe de déshydratation et d’alerte majeure.

L’examen des autres critères doit alors être approfondi. Les conditions climatiques, objectivées par l’indice de confort (qui intégre la température et le taux d’hygrométrie), en général disponible sur les épreuves, doivent être prises en compte.

Le vétérinaire questionne également le cavalier sur les quantités d’eau consommées par le cheval depuis le départ. La décision d’éliminer celui-ci peut alors être prise et une fluidothérapie est entreprise.

Durée de conservation du pli de peau

Systématiquement mesuré à la pointe de l’épaule (photo 4), le pli de peau reste un signe de faible fiabilité, variable d’un cheval à l’autre, et lié à l’état d’engraissement du tissu sous-cutané autant qu’au niveau de déshydratation.

Température rectale

Outre sa relation déjà évoquée avec une polypnée éventuelle, la température rectale doit être prise au cours du contrôle initial qui a lieu avant l’épreuve, lors d’anomalies constatées pour la fréquence cardiaque ou la couleur de la muqueuse oculaire. Cette mesure permet d’éviter de laisser participer à l’épreuve un cheval en phase d’incubation d’une maladie.

Pendant la course, la température rectale n’est habituellement pas prise, car c’est une mesure un peu longue et dangereuse à effectuer sans une légère contention chez certains chevaux (pied levé, pli de peau).

La température est prise lors de polypnée pour juger si la thermorégulation s’effectue correctement et si le risque de coup de chaleur est écarté.

Critères de type B

Ce sont les critères uniquement qualitatifs, donc non mesurables.

Aspect général et comportement

Le comportement est un élément extrêmement important. Il convient de savoir faire la distinction entre l’état de repos, voire de somnolence, dans lequel peuvent se présenter certains chevaux, souvent de grande qualité sportive, et un syndrome d’épuisement débutant. En général, les autres critères permettent de faire la différence.

Les chevaux présentant une nervosité excessive ou hennissant au cours du contrôle doivent être surveillés.

Le vétérinaire doit aussi être particulièrement attentif aux signes, même frustes, de coliques qui n’ont pu se manifester tant que le cheval était en mouvement sur la piste, en particulier s’il cherche à se coucher sur l’aire de contrôle (photo 5). L’avis du cavalier est également à prendre en compte et il ne faut pas hésiter à le questionner sur le comportement habituel de sa monture en course et sur son appréciation de l’état de forme de celle-ci.

Bruits cardiaques anormaux et troubles du rythme

Lors du contrôle initial, des blocs auriculo-ventriculaires sont souvent repérés, mais ils disparaissent en général à l’effort. Des souffles peuvent également être entendus, mais ils n’interdisent pas la participation à la compétition s’ils sont anciens et qu’ils ont fait l’objet d’un diagnostic étiologique. En revanche, l’apparition d’extra- systoles ou de souffles à l’effort constitue un signe d’alerte qui doit entraîner l’élimination et la mise sous surveillance du cheval. Des examens complémentaires ultérieurs (échographie, électrocardiographie, test d’effort) sont conseillés pour préciser l’avenir sportif du cheval. Lors de contrôles en cours d’épreuve, des variations du rythme sont parfois notées. Même avec une fréquence moyenne basse, elles doivent être prises en compte car elles peuvent représenter un signe de fatigue.

Flutter diaphragmatique

Le flutter diaphragmatique est une contraction du diaphragme synchrone de la contraction cardiaque. Il s’observe dans le creux et le fuyant du flanc, d’un ou des deux côtés. Il peut être permanent ou intermittent. Il est habituellement considéré comme un signe précoce de déséquilibre hydroélectrolytique, d’hypocalcémie en particulier, se manifestant par un trouble de la conduction du nerf phrénique. Selon les règlements, il est éliminatoire. En général, il rétrocède spontanément, mais sa persistance au-delà d’une demi-heure requiert la mise en place d’un traitement, qui consiste en une perfusion de gluconate de calcium.

Couleur de la muqueuse oculaire

L’appréciation de la couleur des muqueuses est un critère subjectif. Toute couleur “anormale” doit être prise en considération en fonction des autres critères.

Bruits intestinaux

La diminution progressive des bruits intestinaux est physiologique chez le cheval d’endurance. Néanmoins, le vétérinaire doit prendre en compte une baisse précoce au cours de l’épreuve, ainsi qu’une disparition totale de ces bruits, qui constitue un signe de déshydratation.

Plaies

Toute plaie douloureuse ou s’aggravant en cours d’épreuve est un motif d’élimination. Le garrot, le passage de sangle et la bouche doivent être particulièrement surveillés.

Boiteries

Les boiteries sont le premier motif d’élimination en endurance. Une boiterie est éliminatoire si elle est observable de façon permanente sur un aller-retour de 40 m en ligne droite au trot. Le cavalier doit présenter son cheval dans un trot régulier, rênes longues, afin de laisser la tête libre. Les vétérinaires observent le cheval uniquement en ligne droite. L’avis de deux vétérinaires est requis pour éliminer un cheval. Dans les compétitions internationales, les décisions sont prises à la majorité après un vote à bulletins secrets. Sans vouloir diagnostiquer l’origine de la boiterie sur l’aire de trotting, le praticien doit s’interroger particulièrement sur les boiteries des membres postérieurs et leur possible corrélation avec un trouble métabolique tel qu’une myosite ou une crampe, qui pourraient nécessiter la mise sous traitement du cheval.

Depuis deux ans, de plus en plus de cas de fracture spontanée sont observés sur les épreuves importantes (plus de 10 cas depuis le début de la saison 2008-2009 aux Émirats arabes unis, selon le Dubaï Equine Hospital).

Aussi toute boiterie importante nécessite-t-elle l’intervention immédiate du vétérinaire traitant de l’épreuve.

Réexamen ou inspection de récupération

Depuis le 1er janvier 2009, le terme de “réexamen” a été remplacé dans les règlements de la Fédération équestre internationale par celui d’“inspection de récupération” (recovery inspection) (encadré 2). L’utilisation de cette nouvelle nomenclature va se mettre en place progressivement.

Hormis certains vet-gates lors desquels un réexamen est prévu systématiquement pour tous les chevaux, ce contrôle s’effectue à la demande du vétérinaire ou, éventuellement, du cavalier. Il ne doit être réalisé qu’à bon escient, à partir d’un premier examen douteux, car il représente une gêne pour le concurrent et est réalisé sur le temps de repos du cheval à l’étape.

Il convient de prêter particulièrement attention aux fréquences cardiaques élevées qui peuvent être liées à la prise d’aliments : un cheval qui s’est alimenté durant la période de repos voit sa fréquence cardiaque s’élever. Les autres critères, en particulier le test de récupération, sont alors utiles pour apprécier son adaptabilité à un effort supplémentaire. Lors du réexamen, une boiterie intermittente détectée lors du passage au vet-gate peut être infirmée ou confirmée.

Lors de différents contrôles avant, pendant et à l’arrivée d’une épreuve d’endurance, un examen clinique de chaque cheval est effectué selon un protocole qui s’est progressivement normalisé et codifié. Un certain nombre de critères sont retenus et notés sur la carte vétérinaire. Dans certains cas, le vétérinaire doit faire appel à son sens de clinicien et peut être amené à apprécier d’autres éléments que ceux habituellement retenus.

Enfin, les contrôles vétérinaires en endurance représentent un travail d’équipe, et, à tout moment, il convient de mettre en commun les observations et les réflexions de plusieurs confrères afin de prévenir toute erreur d’appréciation qui pourrait influencer le classement de l’épreuve ou mettre en jeu la responsabilité professionnelle du praticien.

Éléments à retenir

- Le temps de récupération, la fréquence cardiaque et le temps de remplissage capillaire sont les critères objectifs les plus importants lors d’un contrôle vétérinaire en compétition d’endurance.

- Le comportement du cheval et les informations données par le cavalier sont importants à analyser.

- Les causes de boiteries de forte intensité doivent être recherchées rapidement.

- Le réexamen ou l’inspection de récupération, qui ne doit être demandé qu’à bon escient, permet d’interpréter des critères de récupération douteux.

Encadré 1 : Vet-gate

Les épreuves d’endurance sont, selon leur niveau, à vitesse limitée ou libre.

Lors des épreuves à vitesse limitée (distance inférieure ou égale à 90 km), tous les chevaux sont présentés au vétérinaire 30 minutes après leur arrivée à l’étape. Celui-ci contrôle que l’animal peut continuer ou être classé (s’il s’agit de l’arrivée) selon des critères définis par le règlement.

À partir du niveau national 1* 90 km, les épreuves sont à vitesse libre et les contrôles se déroulent sous forme de vet-gates. Lors d’un vet-gate, le cavalier dispose d’un temps de 20 à 30 minutes après son arrivée à l’étape pour présenter son cheval au vétérinaire. Il le fait quand il estime que la fréquence cardiaque est descendue au-dessous d’un seuil limite défini par le niveau de la compétition.

Le chronomètre est arrêté quand le cheval entre dans l’aire de vet-gate, et son temps d’entrée est avalisé si la fréquence cardiaque mesurée par le vétérinaire est inférieure à celle définie par le règlement. Le cheval dispose alors d’un temps de repos obligatoire de 30 à 50 minutes défini dans l’avant-programme par le jury, avant de repartir sur l’étape suivante. Si à son entrée dans le vet-gate sa fréquence cardiaque est supérieure à la limite autorisée, le cavalier a le droit de représenter le cheval une seconde fois. Le temps de la première entrée est alors annulé et le chronomètre n’est arrêté qu’à la seconde.

Si, lors du second passage, la fréquence cardiaque est toujours au dessus du seuil défini ou que le temps imparti pour entrer dans l’aire de vet-gate est dépassé, le cheval est éliminé.

Encadré 2 : Réexamen

Sur tous les contrôles, le vétérinaire peut demander un réexamen du cheval avant son départ pour la prochaine étape. Ce second examen est systématique pour tous les animaux lors des derniers vet-gates des épreuves de plus de 90 km. Ce réexamen a, à l’origine, été mis en place pour détecter des chevaux qui présentaient des critères acceptables au vet-gate, mais dont une dégradation de l’état dans les minutes suivantes était suspectée. Il peut également être mis en œuvre pour bénéficier de plus de calme et de temps pour analyser les cas litigieux. Les chevaux peuvent être présentés sellés ou non, selon le choix du cavalier, et l’examen doit avoir lieu dans les 10 minutes précédant le départ. Tous les critères sont réévalués et le test de récupération trouve alors tout son intérêt (encadré 3).

Après au moins une demi-heure de récupération, le cheval doit avoir recouvré des paramètres cliniques se rapprochant de ceux d’un cheval au repos.

Encadré 3 : Test de récupération

Le test de récupération ou test de Ridgway, du nom du vétérinaire américain qui l’a formalisé, donne des éléments d’informations sur le niveau de récupération du cheval lors d’un contrôle vétérinaire (photo 6).

La fréquence cardiaque est mesurée une première fois (FC1). Le cheval fait ensuite un aller-retour au trot sur une distance de 40 m et le vétérinaire mesure une seconde fois la fréquence cardiaque une minute après le départ au trot (FC2).

Le test est considéré comme positif si FC2 > FC1 + 4. Lors de positivité, le résultat est alors analysé en fonction de la fréquence cardiaque de base et des autres critères métaboliques.

Pour les chevaux en bonne condition physique, une bonne adaptabilité à l’effort est souvent observée avec FC2 < FC1.

Ce test peut être réalisé lors de tous les contrôles et trouve son plein intérêt lors du réexamen.

En savoir plus

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Demonceau T. Guide de formation aux contrôles vétérinaires des raids équestres d’endurance. Prat. Vét. Équine. 1992;24(2):145-149.

Dwyer RM. The practical diagnosis and treatment of metabolic conditions in endurance horses. Equine Prat.: J. Equine Med. Surg. Pract. 1986;8(8):21-33.

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