Prise en charge de la douleur chez l'âne - Pratique Vétérinaire Equine n° 158 du 01/04/2008
Pratique Vétérinaire Equine n° 158 du 01/04/2008

Auteur(s) : Nora S. Matthews

Fonctions : DVM, DACVA
College of Veterinary Medicine
Texas A & M University
College Station, TX, USA

La douleur est parfois plus délicate à traiter chez l'âne que chez le cheval, en raison d'une expression plus fruste et du manque de données pour cette espèce.

Le traitement de la douleur chez le cheval a fait l'objet de nombreuses études et revues dans la littérature vétérinaire [12, 15, 24]. Les chevaux présentant des signes souvent violents, le contrôle de la douleur est rapidement mis en œuvre pour prévenir les blessures qu'ils se font ou qu'ils infligent au personnel. Même lorsque le cheval manifeste des signes plus légers, une observation attentive de son comportement permet en règle générale de détecter la souffrance [21].

Cela n'est pas vrai pour l'espèce asine chez laquelle les signes comportementaux de la douleur sont similaires mais beaucoup moins démonstratifs et ont tendance à s'exprimer tardivement au cours du processus pathologique.

Chez l'âne, il est par conséquent prudent de prescrire un traitement analgésique lorsqu'une affection à composante douloureuse est suspectée, même si les signes de souffrance ne sont pas flagrants.

Évaluation de la douleur

Dans l'espèce asine, comme chez les chevaux, plusieurs molécules peuvent être utilisées pour la gestion médicamenteuse de la douleur, suivant le type et l'intensité de celle-ci. Il est essentiel de surveiller l'animal pour s'assurer de l'adéquation du traitement et de l'absence d'effets indésirables. Les réponses à la douleur pour un même stimulus varient d'un individu à un autre et d'une espèce à une autre.

Jusqu'à une période récente, il était généralement admis que les ânes avaient tendance à être plus stoïques que les chevaux et à présenter un seuil de douleur beaucoup plus élevé. La revue de F. H. Regan dans ce numéro revisite ce concept en partant du constat que les modifications comportementales dues à la douleur chez le cheval ont aussi été observées chez des ânes atteints d'affections similaires. Chez ces derniers, la douleur peut passer inaperçue en raison d'un manque d'observations, ou d'évaluations réalisées par un œil inattentif ou inexpérimenté.

Le suivi des variations de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire peut être utile dans l'appréciation de la douleur et de son intensité.

Ces paramètres peuvent être également modifiés par d'autres facteurs, comme le stress. Toutefois, le retour à la normale de ces paramètres à la suite de l'administration d'un traitement analgésique est un signe d'efficacité thérapeutique (fréquence cardiaque de 40 à 50 battements/min ; pression artérielle systolique de 120 à 140 mmHg ; fréquence respiratoire de 20 à 30 mouvements/ min).

Gestion médicale de la douleur

Analgésie balancée

Le concept d'analgésie balancée, applicable chez l'âne, semble intéressant. Il s'agit d'associer des molécules analgésiques de différentes classes thérapeutiques n'agissant pas sur les mêmes récepteurs de la douleur ou sur la même partie des voies de celle-ci pour obtenir un effet additif, voire synergique, tout en diminuant la dose nécessaire de chaque médicament, donc les effets secondaires. Par exemple, en traitement postopératoire, une association de phénylbutazone, pour ses effets anti-inflammatoires sur le tissu traumatisé, et d'un opioïde comme le butorphanol, pour son effet analgésique central et périphérique, est fréquemment employée (). Ce principe s'applique aussi à la gestion de la douleur chronique (durant plus de trois mois), laquelle a perdu son caractère protecteur pour devenir un processus débilitant qui nécessite le recours à plusieurs molécules analgésiques [11].

Analgésie préventive

L'analgésie préventive présente des avantages à exploiter lorsqu'il est possible de prévoir la survenue de la stimulation douloureuse (stimulus chirurgical, examen diagnostique entraînant une douleur, etc.). L'administration préventive d'une substance analgésique avant que le stimulus douloureux n'apparaisse permet de prévenir une hypersensibilité post-traumatique et de diminuer la quantité d'analgésique nécessaire pour contrôler la douleur. En revanche, quand la douleur est imprévisible (trauma, maladie), un traitement analgésique d'attaque est souvent requis, avant d'instaurer une thérapeutique d'entretien, soit par un dosage plus faible, soit par l'arrêt d'un des principes actifs initialement administrés.

Anti-inflammatoires non stéroïdiens

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS, analgésiques non morphiniques, analgésiques de niveau 1 selon la classification de l'Organisation mondiale de la santé ou OMS) ont une place prépondérante dans l'arsenal thérapeutique équin depuis longtemps. La phénylbutazone, la flunixine, le carprofène, le kétoprofène, le méloxicam et le firocoxib sont largement utilisés selon leur disponibilité, leur coût et l'effet attendu. Ils sont efficaces dans le traitement de la douleur ayant une composante inflammatoire et d'intensité légère à modérée. L'association des AINS à d'autres molécules comme les morphiniques permet de contrôler des douleurs modérées à sévères. Chez l'âne, de nombreux AINS ont une demi-vie plus courte que chez le cheval. Il est donc conseillé de modifier la dose ou l'intervalle d'administration en fonction de cette donnée. Cependant, les dosages et les intervalles d'administration optimaux n'ont pas été déterminés dans cette espèce et seules des recommandations sont disponibles (voir le “Dose recommandée et demi-vie des anti-inflammatoires non stéroïdiens dans l'espèce asine”). Il appartient au clinicien d'adapter la dose de ces molécules selon la réponse obtenue lors du traitement et de détecter l'apparition d'effets secondaires gastro-intestinaux et rénaux. Lorsque le risque de toxicité est plus élevé (déshydratation, insuffisance rénale préexistante, vieillesse), il convient d'administrer la dose minimale effective, voire d'opter pour un autre analgésique qu'un AINS.

La phénylbutazone a une demi-vie de 1,7 heure chez l'âne de taille moyenne, de 1,4 heure chez l'âne miniature et de 3,6 heures chez le cheval [14, 16]. Il est possible qu'il soit nécessaire de l'administrer plus fréquemment ou à une dose plus élevée chez l'âne que chez le cheval. Les effets toxiques gastro-intestinaux de la phénylbutazone sont retrouvés chez l'âne, mais avec une prévalence beaucoup plus faible que chez le cheval (T. Taylor, communication personnelle 2007). Cette observation est peut-être due à un métabolisme différent chez l'âne. En effet, la phénylbutazone est plus rapidement dégradée chez ce dernier et en plus grande quantité en oxyphenbutazone, métabolite actif et moins toxique.

La flunixine et le méloxicam ont aussi une demi-vie plus courte chez l'âne que chez le cheval [4, 23]. En revanche, le kétoprofène a une demi-vie d'une durée équivalente dans les deux espèces, mais des taux plasmatiques plus faibles chez l'âne que chez le cheval ; ainsi, il est susceptible d'être moins efficace [20]. Le carprofène a une demi-vie plus longue chez l'âne et une seule administration par jour peut s'avérer suffisante [17]. Pour l'instant, aucune information n'est disponible sur un nouvel AINS, le suxibizone (Danilon. Janssen Animal Health, Saunderton, UK) ou sur le firocoxib (Equioxx. Merial LTD, Deluth, GA, USA). Le suxibizone est métabolisé en phénylbutazone, avec probablement un métabolisme aussi rapide. Cela reste cependant à confirmer par l'obtention de données pharmacocinétiques chez l'âne.

Une part de la réussite du traitement analgésique repose sur la prise complète de la dose administrée. Les AINS administrés per os n'ont en général pas très bon goût. La phénylbutazone en poudre peut, par exemple, être mélangée avec de la mélasse, du sirop de maïs ou encore de la compote de pommes, et administrée avec une seringue doseuse (). Du pain ou des biscuits recouverts de confiture peuvent aussi être proposés. Il existe également des seringues contenant un AINS dans une pâte ou un gel aromatisé.

Chez le cheval, l'application cutanée d'un AINS (Diclofénac crème®, Idexx pharmaceuticals) est efficace pour traiter une inflammation locale [2]. La crème a été spécialement formulée pour traverser la peau du cheval. Son efficacité chez l'âne, qui a un épiderme apparemment plus épais et possède davantage de fascias sous-cutanés sur certaines parties du corps, reste à prouver.

Morphiniques

Une petite variété d'opioïdes (butorphanol, 0,02 à 0,04 mg/kg ; buprénorphine, 0,006 mg/kg) a été utilisée dans l'espèce asine, le plus souvent en association avec un sédatif du type α2-agoniste (xylazine, détomidine), pour réaliser des interventions chirurgicales chez un animal debout (). Aucune donnée pharmacocinétique n'existe ni aucune étude d'efficacité n'a été entreprise, mais il semble possible d'employer chez l'âne le même morphinique que chez le cheval, et à une dose équivalente, avant d'évaluer les effets obtenus et d'ajuster la dose si nécessaire.

L'administration d'un morphinique par voie péridurale a prouvé son efficacité chez l'homme, le chien et le cheval, mais, jusqu'à maintenant, son action est insuffisante chez l'âne [6, 19]. Cet échec n'est pas élucidé, mais pourrait partiellement être expliqué par le fait que la technique et le site optimal d'injection n'ont pas été étudiés, ni la densité des récepteurs morphiniques dans la moelle épinière distale.

L'application de dispositif transdermique, tel que le patch de fentanyl (Durogésic®) présente l'avantage d'une voie d'administration non invasive et apporte une analgésie continue de 48 à 72 heures. Chez le cheval, les taux plasmatiques efficaces sont atteints dans les quatre heures après la pose du timbre. Aucune information équivalente n'est disponible chez l'âne. Cependant, un âne de 50 kg a été traité avec un timbre de 50 μg/h. Les taux plasmatiques mesurés sont adéquats et une efficacité a été démontrée (communication personnelle de l'auteur). Un soulagement de l'état douloureux a été noté et maintenu pendant une semaine par le changement du timbre toutes les 48 heures. Sur la base de ce cas, trois timbres à 50 μg/h pour un âne de taille moyenne pesant aux alentours de 150 kg semblent requis.

α2-agonistes

Les α2-agonistes (xylazine, détomidine, romifidine) sont généralement utilisés pour apporter une analgésie et une sédation pour des interventions diagnostiques ou thérapeutiques chez un animal debout. La détomidine a été étudiée chez l'âne dans un modèle de coliques et a démontré son efficacité analgésique [10]. Elle offre aussi une analgésie cutanée testée par la sensibilité à la piqûre d'épingle et la stimulation électrique [6, 18].

L'analgésie obtenue avec les α2-agonistes a une durée proportionnelle à la dose administrée et est de bonne qualité, permettant la pratique de la chirurgie chez un animal debout. Cependant, la dose nécessaire pour une bonne analgésie postopératoire peut entraîner une sédation trop profonde et indésirable à long terme. Des perfusions continues à la place de bolus répétés offriraient une analgésie continue, tout en minimisant l'effet sédatif. Toutefois, les données pharmacocinétiques nécessaires à l'élaboration d'une telle perfusion ne sont pas disponibles chez l'âne. Selon notre expérience, les α2-agonistes peuvent être utilisés chez l'âne aux mêmes doses et avec des indications semblables que chez le cheval.

Anesthésiques locaux

L'efficacité des anesthésiques locaux semble comparable dans les espèces équine et asine. La lidocaïne et la bupivacaïne, respectivement à courte et à longue durées d'action, sont utilisables dans une large variété de techniques (infiltration régionale, anesthésie tronculaire, etc.) [1]. La lidocaïne a fait la preuve d'une bonne efficacité par voie péridurale [19]. Le site d'injection conseillé chez l'âne est le deuxième espace intercoccygien (chez le cheval, le premier espace est recommandé) [19, 22].

L'administration systémique de lidocaïne en perfusion continue est utilisée chez le cheval pour ses propriétés prokinétique et analgésique. Les données pharmacocinétiques et d'efficacité manquent pour l'espèce asine.

Autres analgésiques

La kétamine est principalement employée comme un anesthésique, mais elle apporte aussi une analgésie somatique chez le cheval quand elle est administrée en perfusion continue à la dose de 0,4 à 0,8 mg/kg/h. En inhibant les récepteurs N-méthyl-D-aspartate (NMDA), cette molécule réduit l'activité des neurones en réponse à un stimulus nociceptif de la moelle épinière et leur hypersensibilisation. Aucune information n'a été publiée chez l'âne. Seuls des rapports anecdotiques sont disponibles pour l'espèce équine dans le traitement de la douleur des brûlures et de la fourbure. Un article récent a montré la présence d'une lésion nerveuse sensorielle chez les chevaux atteints de fourbure, ce qui justifierait l'administration de la kétamine dans le traitement de la douleur d'origine neuropathique des chevaux fourbus [9]. Le processus pathologique de la fourbure est certainement similaire chez l'âne. Ce dernier peut probablement supporter la même dose de kétamine sans effets secondaires, sachant qu'il métabolise cette molécule plus vite que le cheval [13]. Cependant, une dose plus élevée peut être nécessaire pour conférer un niveau d'analgésie adéquat.

Des multiperfusions continues comme la “pentafusion” (lidocaïne, détomidine, morphine, kétamine et acépromazine) sont utilisées sans aucune autre information que l'expérience du praticien sur leur efficacité et leurs effets secondaires chez les équidés.

Le tramadol est un opioïde atypique à action centrale qui inhibe aussi la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline. Sans autorisation de mise sur le marché (AMM) vétérinaire, il est largement utilisé dans la gestion de la douleur chez le chien et le chat. Une étude chez le cheval semble prouver qu'il est absorbé oralement et qu'il est efficace à la dose de 5 mg/kg [8]. De nouveau, aucune donnée n'est disponible chez l'âne. Cette molécule a été administrée en association avec de la kétamine par voie intramusculaire dans le traitement des coliques chez le cheval [3]. Cette procédure a été considérée comme efficace, sans précision sur les doses utilisées. Sur la base du succès obtenu dans les autres espèces, le tramadol est probablement efficace chez l'âne.

La gabapentine, analogue structural du neurotransmetteur inhibiteur acide γ-amino-butyrique (GABA), est un anti-convulsivant avec des propriétés analgésiques dont le mécanisme d'action reste non élucidé, et qui sont mises à profit dans le traitement de l'allodynie et de l'hyperalgie rencontrées dans la douleur neuropathique. Occasionnellement utilisée chez le cheval à la dose de 2,5 mg/kg per os toutes les huit heures, elle est prescrite en dernier ressort quand la douleur est réfractaire à tout autre traitement [5]. Même si aucune information sur l'utilisation et l'efficacité de la gabapentine n'est disponible pour l'âne, il est envisageable de l'utiliser aussi dans des cas de douleur extrême.

Acupuncture

Les méridiens ont été identifiés chez l'âne et sont similaires à ceux du cheval [25].

La mise en œuvre de l'acupuncture est sans doute profitable, même si elle n'a pas été documentée.

Comparées aux informations sur l'évaluation et le traitement de la douleur disponibles chez le cheval, celles publiées pour l'espèce asine restent minces. Les manifestations douloureuses chez l'âne semblent similaires à celles observées chez le cheval, mais paraissent moins intenses et moins fréquemment exprimées, ce qui entraîne une sous-estimation de la nécessité de traiter la douleur dans cette espèce. Avec le développement de l'intérêt pour l'espèce asine, de nouvelles données seront probablement disponibles et la douleur sera mieux gérée.

Éléments à retenir

> La supposée stoïcité de l'âne n'est en fait qu'un manque d'extériorisation de la douleur chez cet animal et/ou un défaut d'observation de la part d'un investigateur non averti.

> Certaines molécules analgésiques ont une demi-vie plus courte chez l'âne, et leur administration doit donc être adaptée en fonction de la réponse obtenue.

> La plupart des molécules analgésiques connues chez le cheval sont utilisables chez l'âne, en adaptant les doses administrées à la réponse de l'individu.

Références

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