Carcinome épidermoïde des cavités nasales et des sinus paranasaux chez un cheval - Pratique Vétérinaire Equine n° 147 du 01/07/2005
Pratique Vétérinaire Equine n° 147 du 01/07/2005

Auteur(s) : E. Sanna Passino*, G.-M. Careddu**, L. Manunta***, M. Conti****, P. Muzzetto*****

Fonctions :
*Clinica Chirurgica Veterinaria
**Clinica Chirurgica Veterinaria
***Clinica Chirurgica Veterinaria
****Dipartimento di Scienze Radiologiche
Université de Sassari
Via Vienna, 2 07100 Sassari (SS), Italie
*****Clinica Chirurgica Veterinaria

Chez le cheval, l’incidence des tumeurs des cavités nasales et des sinus paranasaux est faible. Elles évoluent souvent lentement et sont diagnostiquées tardivement, ce qui limite les possibilités de traitement.

Ces dernières années, les descriptions de néoplasie des cavités nasales et des sinus paranasaux du cheval ont considérablement augmenté [8, 28]. L’incidence de ces affections reste toutefois faible et difficile à quantifier car les cas rapportés sont pour la plupart isolés ou concernent seulement quelques individus.

Cet article décrit un cas de carcinome épidermoïde peu différencié des cavités nasales et des sinus paranasaux chez un étalon et fait une synthèse des formes tumorales référencées dans la littérature.

Cas clinique

Un pur-sang anglais mâle âgé de dix ans est présenté à la consultation en raison d’une déformation importante dans la région frontale, nasale et maxillaire gauche ( et ). L’anamnèse rapporte qu’une légère déformation a été repérée trois mois auparavant et que la croissance a ensuite été rapide.

L’examen médical met en évidence un écoulement nasal intermittent et purulent, des bruits respiratoires augmentés, une photophobie et une ataxie modérée. Les limites de la tuméfaction ne sont pas nettes, mais celle-ci s’étend jusqu’à l’œil gauche qu’elle occlut ().

Les dimensions et les caractéristiques de la néoformation ne permettent pas d’envisager une intervention chirurgicale. L’état général de l’animal, bon au début, se dégrade rapidement au point de nécessiter une euthanasie.

L’examen post-mortem permet de définir avec plus de précision l’extension et les caractéristiques de la tumeur. La lésion s’est développée aux dépens des tissus mous et des parties squelettiques de la tête (), oblitérant la cavité nasale gauche, les sinus maxillaire, nasal et frontal du côté gauche et une partie de ceux du côté droit. La boîte osseuse présente une érosion marquée et des zones étendues sont méconnaissables, voire totalement détruites (). La cloison nasale, les cornets dorsaux et ventraux, les cornets ethmoïdaux et la lame cribleuse de l’ethmoïde sont également en grande partie rongés (). Le néoplasme a envahi la cavité encéphalique à travers cette dernière structure ().

L’examen histologique permet d’établir un diagnostic de carcinome épidermoïde peu différencié, avec une kératinisation focale ().

La tête du cheval, prélevée immédiatement après l’euthanasie, est examinée grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM). L’appareil utilisé (Siemens) est doté d’un magnéton de puissance 1 tesla, avec les paramètres suivants :

- temps de répétition (TR) = 600 ms ;

- temps d’écho (TE) = 15 ms ;

- écart entre deux plans de section successifs = 10 mm.

La série d’images obtenues avec des coupes à sections coronale (transversale verticale), sagittale médiane, paramédiane et transversale dans le sens dorso-ventral a permis de définir plus précisément l’implication des différentes portions anatomiques et l’extension de la néoplasie (, , et ).

Discussion

Épidémiologie et étiologie

Dans la littérature ancienne, la description des cas de néoplasie des cavités nasales et des sinus paranasaux du cheval n’est pas assez complète pour les classer. Actuellement, les méthodes de recherche plus avancées permettent en revanche d’identifier et de classifier ces tumeurs de façon plus précise.

Chez le cheval, les tumeurs semblent survenir plus fréquemment dans les sinus paranasaux que dans la cavité nasale. Les publications anciennes rapportent que les tumeurs des cavités nasales représentent plus d’un tiers des cas (environ 36 %), mais des statistiques plus récentes font état d’une proportion de 6 % [Bergman (1914) et Forsell (1913) cités par 6, Leuthold cité par 7, 14].

Tremaine [28], à partir d’une étude statistique portant sur quelque quatre-vingts chevaux suivis pour des lésions non spécifiques des cavités nasales ou paranasales de 1978 à 1997, a remarqué que les formations tumorales bénignes (hématome progressif de l’ethmoïde, amyloïdose nasale, athérome, polype nasal) sont trois fois plus fréquentes que les lésions malignes (56 cas, contre 22).

Les observations des auteurs confirment cette donnée [24]. En médecine humaine, les néoplasmes des sinus nasaux sont rares et ne dépassent pas 3 % des tumeurs de la tête et du cou [23].

Selon les données de la littérature, certaines régions anatomiques sont prédisposées au développement de tumeurs de types particuliers. Même si chaque zone de la région naso-sinusale du cheval peut être le siège de tumeurs de différents types histologiques, il a été observé que les carcinomes à cellules pavimenteuses et les tumeurs osseuses (sarcomes) ont une incidence majeure dans le sinus maxillaire, alors que les tumeurs épithéliales glandulaires (adénocarcinomes) sont plus fréquentes dans les sinus des régions ethmoïdale et frontale [8, 24].

Les prédispositions topographiques pour certaines tumeurs pourraient s’expliquer par la présence de muqueuses de types histologiques différents dans ces régions naso-sinusales. Ainsi, l’incidence élevée des tumeurs épithéliales et glandulaires dans la région ethmoïdale pourrait être en relation avec la présence de glandes de Bowman dans cette zone.

Les tumeurs malignes de la cavité nasale du cheval les plus courantes sont les carcinomes spinocellulaires du sinus maxillaire. Cependant, il n’est pas toujours possible de déterminer s’ils prennent naissance dans le sinus ou dans la cavité buccale [8, 12, 14, 17].

En ce qui concerne l’âge de survenue de la maladie, dans une étude portant sur vingt-huit cas de tumeur du sinus nasal chez le cheval [11], dix-sept tumeurs épithéliales, de type glandulaire ou superficiel, sont diagnostiquées chez des animaux de quatorze ans d’âge moyen (de neuf à vingt-cinq ans), et les tumeurs ostéo-fibreuses et osseuses sont découvertes chez des chevaux âgés de quatre ans en moyenne (de trois semaines à neuf ans).

Tableau clinique

Cliniquement, les néoplasmes des cavités nasales et des sinus paranasaux sont caractérisés par une apparition insidieuse, une évolution lente et une mauvaise réponse au traitement. La rareté de ces tumeurs ne permet pas une description précise de leur évolution clinique ni de la façon dont elles doivent être traitées. Toutefois, lors de tumeur épithéliale, de type glandulaire ou superficiel, les premiers signes cliniques évocateurs n’apparaissent généralement qu’après cinq mois d’évolution, alors que, pour les autres types de tumeurs, ils tendent à se manifester plus tôt (après trois mois environ).

Dans les différents cas observés, le signe principal est un écoulement nasal unilatéral, qui est généralement purulent ou mucopurulent et d’odeur nauséabonde. Une épistaxis, phénomène fréquent chez le chien, survient rarement, lorsque l’affection est passée à la chronicité [20].

Une obstruction des voies aériennes est présente chez 50 % des chevaux affectés (unilatérale dans 30 % des cas et bilatérale dans 70 % des cas) [6, 13, 15]. L’obstruction nasale bilatérale se révèle particulièrement invalidante pour le cheval et peut mettre en jeu le pronostic vital, au point de requérir parfois une trachéotomie.

Les tuméfactions faciales se manifestent dans 82 % des cas et certains animaux peuvent présenter plusieurs déformations [13, 14, 19]. Les principales zones touchées sont les régions maxillaires, oculaires et périoculaires, frontales et nasales.

Lors d’obstruction du canal lacrymo-nasal, l’épiphora est un autre signe caractéristique.

Les manifestations nerveuses sont rares et n’apparaissent que lorsque le sinus sphéno-palatal est touché, entraînant des dommages des nerfs crâniens II (optique) et V (trijumeau), à l’origine d’une cécité et de névralgies faciales. Un hématome progressif de l’ethmoïde peut aussi engendrer des manifestations nerveuses consécutives à l’action érosive sur les os du crâne [5, 24].

La dysphagie et l’halitose sont deux autres signes documentés lors de tumeurs qui atteignent le palais dur. Il est donc utile, lors de suspicion de néoplasie maxillaire, d’examiner cette région pour rechercher un éventuel tissu néoplasique ou des ulcérations de la muqueuse.

Dans certains cas de néoplasie du sinus nasal, une déformation de la voûte palatine a été rapportée aussi bien chez des chevaux que chez des chiens [11, 16, 19, 20, 22].

Si les tumeurs des cavités nasales et des sinus paranasaux sont localement agressives, en revanche, elles métastasent rarement, même à long terme. Ce phénomène a également été documenté chez l’homme [23]. Selon les données de nombreux auteurs, lors de tumeurs épithéliales, glandulaires et superficielles, les ganglions lymphatiques sont rarement touchés et, lorsque cela se produit, les métastases concernent les ganglions lymphatiques sous-mandibulaires, rarement les ganglions rétro-pharyngiens. D’après les statistiques les plus récentes, 72 % des animaux présentent une tuméfaction lymphatique unilatérale et seulement 12 % une atteinte bilatérale [8, 14]. Ces taux, en apparente contradiction avec le faible pouvoir métastatique de ces tumeurs, s’expliqueraient par le fait que la tuméfaction lymphatique locale et régionale n’est pas consécutive, le plus souvent, à des métastases, mais à une lympho-adénopathie secondaire à des réactions inflammatoires péritumorales.

Diagnostic

Lorsque la consultation a lieu à un stade évolué de la tumeur (comme dans la plupart des cas observés par les auteurs), il est relativement aisé d’établir un diagnostic général de néoplasie. Il est en revanche souvent plus difficile de déterminer le siège initial de la lésion, même en ayant recours à des moyens diagnostiques modernes [8].

Dans la plupart des cas, l’examen endoscopique n’apporte pas d’informations supplémentaires, en raison de l’obstruction due à la tumeur et de la conformation des cavités naso-sinusales, qui limitent les explorations.

La recherche IRM in vivo chez le cheval nécessite un équipement adapté [25].

Le résultat de biopsies dépend de la technique de prélèvement utilisée. Ainsi, un examen histologique d’un prélèvement superficiel ne reflète pas, bien souvent, la masse tumorale principale sous-jacente. Il est possible d’obtenir des informations intéressantes en réalisant des biopsies en profondeur, en plusieurs endroits, et en utilisant l’échoguidage pour plus de précision.

Traitement

Le traitement à long terme de ces tumeurs n’a généralement pas été décrit.

Souvent, la prise en charge chirurgicale est techniquement difficile (voire impossible) et est rarement résolutive :

- d’une part, la tumeur est fréquemment diagnostiquée lorsqu’elle est de dimension importante et qu’elle a partiellement ou totalement infiltré différentes cavités des régions paranasales ;

- d’autre part, l’accès chirurgical à certaines régions (par exemple, les sinus sphéno-palatins) est difficile.

Il existe, en outre, un risque élevé d’hémorragies importantes et difficiles à juguler, car cette région anatomique est richement vascularisée.

Le pronostic de tumeurs malignes de ce siège traitées chirurgicalement est toujours réservé, voire défavorable, en raison de récidives fréquentes [22].

L’association d’un traitement chirurgical et d’une radiothérapie a également donné des résultats décevants [13, 19].

L’incidence des néoplasies des cavités nasales et des sinus paranasaux du cheval est faible. Cependant, ces tumeurs sont diagnostiquées plus fréquemment depuis quelques années. Les cas de tumeurs malignes traitées avec succès sont rares. En revanche, les formations tumorales bénignes sont identifiées et traitées plus facilement.

Éléments à retenir

> Certaines régions naso-sinusales sont prédisposées au développement de tumeurs de types particuliers. Par exemple, les carcinomes à cellules pavimenteuses et les tumeurs osseuses ont une incidence majeure dans le sinus maxillaire, alors que les tumeurs épithéliales glandulaires sont plus fréquentes dans les sinus des régions ethmoïdale et frontale.

> Cliniquement, les néoplasmes des cavités nasales et des sinus paranasaux sont caractérisés par une apparition insidieuse et une évolution lente.

> La consultation a lieu souvent à un stade évolué de la tumeur et il est relativement aisé d’établir un diagnostic clinique de néoplasie. Des biopsies multiples, en profondeur, peuvent permettre de déterminer le type histologique de la lésion.

> Le pronostic des tumeurs malignes de la région naso-sinusale traitées chirurgicalement est toujours réservé, voire défavorable, en raison de récidives fréquentes.

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