peut fournir des renseignements sur l’agent responsable de diarrhées chez le chiot.
de diarrhées de sevrage. Il en est de même pour les virus (dont le parvovirus), diagnostiqués par les techniques Elisa et par PCR. Les résultats de cultures bactériennes sont interprétés avec précaution.
l’environnement et les conditions de vie jouent un rôle dans son déclenchement.
lors de diarrhées dans un élevage, afin d’éviter la transmission des agents pathogènes.
(GEA) sans atteinte de l’état général, un traitement de soutien suffit le plus souvent en première intention (jeûne, pansement digestif, anti-émétique et vermifugation).
malgré un traitement symptomatique, une antibiothérapie peut être prescrite durant 3 à 5 jours (colistine, sulfaguanidine).
(syndrome fébrile, choc septique, signes d’occlusion) avec une suspicion de bactériémie, une antibiothérapie à large spectre est justifiée.
de la fièvre, des muqueuses anormales (souvent grisâtres), une leucocytose ou une leucopénie, une déviation de la courbe d’Arneth à gauche et la présence de polynucléaires neutrophiles toxiques.
de gastro-entérites chroniques sont distingués : l’intolérance ou l’hypersensibilité alimentaire, les gastro-entérites répondant aux antibiotiques et celles répondant au traitement immunomodulateur.
sont nécessaires pour déterminer la conduite thérapeutique à tenir (bilan sanguin, imagerie).
est rarement indiquée en première intention en cas de gastro-entérite chronique.
après des examens complémentaires, en cas de signes de bactériémie, de suspicion de gastro-entérite répondant aux antibiotiques et de colite ulcérative histiocytaire du boxer.