Le choix d’un stimulant pharmacologique de l’appétit nécessite une démarche raisonnée et une prise en compte de tous les facteurs interférant, tels que la douleur et l’étiologie d’une affection. Parmi toutes les molécules utilisables, seules la cyproheptadine et la mirtazapine sont actuellement recommandées pour cette indication, en prescription hors autorisation de mise sur le marché, n’existant que sous forme de spécialité humaine. Ces molécules présentent une meilleure tolérance chez le chat et des effets secondaires indésirables moins importants et mieux contrôlables en ajustant la dose administrée dans les cas d’insuffisance rénale chronique ou d’insuffisance hépatique.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans Le Point Vétérinaire n°370 de novembre 2016.