Un travail de recherche sur 60 fermes laitières québécoises effectué sur une année a permis d’identifier des concentrations tolérables de déoxynivalénol (DON) et de zéaralénone (ZON) et son métabolite béta-ZOL dans la ration et l’urine. Les seuils sont plus bas que ceux suggérés dans des travaux antérieurs réalisés en conditions expérimentales.