Traiter les envenimations par les chenilles - Le Point Vétérinaire n° 247 du 01/07/2004
Le Point Vétérinaire n° 247 du 01/07/2004

TOXICOLOGIE DU CHAT ET DU CHIEN

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CONDUITE À TENIR

Auteur(s) : Catherine Demory*, Christelle Decosne-Junot**, Audrey Muguet-Chanoix***, Isabelle Goy-Thollot****

Fonctions :
*Le Quart de Dinay
71360 Épinac
**Unité SIAMU
École nationale vétérinaire de Lyon
69280 Marcy-l'Étoile

Les chenilles processionnaires du pin occasionnent régulièrement des accidents parfois dramatiques chez le chien et chez le chat. Un traitement efficace et précoce permet d’éviter une issue parfois fatale.

Lors de suspicion d’une envenimation par les chenilles processionnaires du pin(1), le premier conseil à donner au propriétaire de l’animal par téléphone est d’éviter de toucher le chien ou le chat et de ne pas le rincer, au risque de provoquer la rupture et la dissémination des poils urticants. Pour les mêmes raisons, il convient d’empêcher l’animal de se frotter et de le laisser à jeun, en vue d’une éventuelle tranquillisation pour la réalisation d’une décontamination soignée. Plus le traitement est précoce, plus les conséquences de l’envenimation sont minimisées (chute de la langue notamment).

Première étape : le traitement des lésions locales

Le traitement est symptomatique. Il convient de manipuler l’animal avec des gants.

Un traitement éliminatoire sous tranquillisation est primordial pour éviter la rupture des poils urticants encore présents sur le chien.

1. Lésions cutanées

L’application d’une gaze humide ou d’une bande adhésive permet d’ôter les poils non implantés sans les casser [5].

L’eau vinaigrée calmerait la douleur [3].

Si les symptômes sont marqués, la dermatite est traitée de façon classique : après la tonte et la désinfection de la zone atteinte, des corticoïdes sont administrés par voie locale ou générale.

2. Lésions oculaires

L’élimination des poils non implantés peut être tentée par un rinçage abondant de l’œil et de ses annexes, mais le risque de pénétration des poils est élevé [5].

Selon le résultat de l’examen ophtalmologique approfondi, le traitement symptomatique d’une kératite ou d’une simple conjonctivite est réalisé (corticothérapie et antibioprophylaxie locales).

Si les poils urticants sont implantés en grand nombre, un “épluchage cornéen” est à envisager [12].

3. Lésions buccales et digestives

Le traitement de la glossostomatite consiste à éliminer rapidement la source d’inflammation, puis à lutter principalement contre l’œdème et à éviter les complications septiques.

• Dans un premier temps, une gaze humide est appliquée sur la langue afin d’éliminer le plus grand nombre de poils possible [5]. Des rinçages de la cavité buccale sont effectués toutes les deux heures, puis de manière plus espacée, à l’aide d’une solution alcaline (bicarbonate de sodium à 1,4 % dilué de moitié) qui aurait pour effet d’inactiver la toxine acide [5].

• Une désinfection locale est entreprise (rinçage à l’aide d’une solution de povidone iodée diluée au 10e) et une antibiothérapie prolongée (dix jours au minimum) est mise en place par voie parentérale, à l’aide d’un principe actif qui diffuse dans la cavité buccale (spiramycine).

• Des corticoïdes à action rapide, administrés par voie générale, sont utilisés pour leurs propriétés anti-œdémateuses et anti-inflammatoires : succinate de méthylprednisolone (0,5 à 1 mg/kg/12 h par voie intraveineuse) ou dexaméthasone (0,1 à 0,2 mg/kg par voie intraveineuse).

• Le traitement anti-inflammatoire et anti-infectieux par voie générale peut être complété localement par l’application d’une pommade sur la face dorsale de la langue (par exemple Cortanmycétine® : prednisolone + chloramphénicol) (PHOTO 1).

Les phénomènes vasculaires de l’inflammation peuvent être modérés par des douches d’eau froide régulières, si l’animal est coopératif.

Il convient de prendre en charge la douleur par l’application locale de produits anesthésiques (Xylocaïne® Visqueuse 2 %(2) ou Tronothane®(2)) et l’administration de morphiniques(2) par voie générale.

• La gastrite et l’œsophagite sont traitées classiquement à l’aide d’un pansement gastro-intestinal à base de phosphate d’alumine (Phosphaluvet®, 1 ml/kg, trois fois par jour, par voie orale) et d’anti-acides (cimétidine(2), 10 mg/kg, trois fois par jour, par voie intraveineuse ou ranitidine(2), 2 mg/kg, deux à trois fois par jour, par voie intramusculaire ou orale) associés à une courte diète. Les premiers vomissements après l’accident ne sont pas forcément néfastes puisqu’ils permettent l’élimination des chenilles éventuellement ingérées [6].

• D’autres traitements à visée anti-inflammatoire sont cités dans la littérature, mais ils ne semblent pas d’une grande efficacité.

L’injection in situ d’héparine(2), en particulier au niveau du sillon disjoncteur pour prévenir la nécrose ischémique de la langue (injection de 10 ml d’une solution diluée au 10e), a été proposée [3], mais ne semble pas ralentir la progression des lésions [1, 5].

L’utilisation d’aprotinine(3) (Antagosan®, Trasylol®) est également citée pour ses propriétés inhibitrices des enzymes protéolytiques et de la libération de médiateurs de l’inflammation (plasmine, kallicréines plasmatique et tissulaire) [11, a]. Elle est utilisée surtout lors d’envenimation ophidienne, rapidement après la morsure, à de fortes doses (250 000 unités antikallicréine/10 kg par voies locale et/ou intraveineuse) [11]. Elle peut également être administrée à de plus faibles doses, à raison de 50 000 à 100 000 unités, dès les premiers symptômes. Les injections sont renouvelées deux fois par jour par voie intraveineuse car ce produit est rapidement éliminé par l’organisme [12, a]. Cette molécule est contre-indiquée lors de CIVD, en raison de ses propriétés antifibrinolytiques lorsqu’elle est administrée à forte dose [11]. Il est également contre-indiqué de lui associer une héparinothérapie, une corticothérapie et l’administration de tétracyclines.

Les anti-histaminiques peuvent également être utilisés localement (quelques gouttes de prométhazine(2), Phénergan® sur la langue) ou par voie générale (0,2 à 0,4 mg/kg par voie intraveineuse ou intramusculaire) [1, 5].

4. Lésions des voies respiratoires supérieures

Dans les premières heures qui suivent l’envenimation, une attention particulière doit être portée à l’évolution et à l’extension des phénomènes inflammatoires de la région oropharyngée, en particulier à l’apparition d’une dyspnée inspiratoire et d’une tuméfaction sous-cutanée en région laryngée. Si un œdème laryngé se développe, il convient de pratiquer une trachéotomie d’urgence pour lever l’obstruction des voies respiratoires supérieures (voir l’ENCADRÉ “Réalisation d’une trachéotomie”).

Seconde étape : prévention et traitement des complications

Le traitement et la prévention des complications nécessitent souvent l’hospitalisation de l’animal pendant quelques jours.

1. Traitement des symptômes généraux

• Une fluidothérapie intraveineuse permet de prévenir et de corriger la déshydratation de l’animal atteint de glossostomatite, qui ne peut ni s’abreuver, ni s’alimenter. Elle permet de rétablir la volémie, de maintenir la perfusion tissulaire et de corriger les déséquilibres hydro-électriques et acidobasiques préalablement évalués.

• Une héparinothérapie est instaurée afin de prévenir une CIVD et les phénomènes thrombo-emboliques qui apparaissent lors de glossite nécrotique sévère. L’administration d’héparine(2), qui se lie à l’antithrombine III, permet d’inactiver les facteurs de coagulation plasmatique dans la phase d’hypercoagulabilité.

• Lors de CIVD avérée, le traitement est fondé sur l’administration d’héparine(2), associée à une transfusion de sang total ou de plasma. L’apport d’antithrombine III par les produits sanguins est indispensable car la surconsommation de l’antithrombine (mesure inférieure de 40 % à la norme) rend moins efficace l’héparinothérapie.

• Plusieurs protocoles d’héparinothérapie existent [4] (mais aucune étude ne démontre la supériorité de l’un par rapport à l’autre) :

- la dose minimale : 5 à 10 UI/kg par voie sous-cutanée d’héparinate de calcium(2) (Calciparine® sous-cutanée), trois fois par jour ;

- la faible dose : 100 à 200 UI/kg par voie sous-cutanée, trois fois par jour ;

- la dose intermédiaire : 300 à 500 UI/kg par voie sous-cutanée ou intraveineuse, trois fois par jour ;

- la forte dose : 750 à 1 000 UI/kg par voie sous-cutanée ou intraveineuse, trois fois par jour.

L’emploi de la dose minimale n’induit pas d’allongement du temps de céphaline activée. Sa mesure est réalisée deux heures après une injection (délai qui correspond au pic maximal d’action) et juste avant l’administration suivante afin d’ajuster la dose au besoin.

Si, en revanche, des signes sévères de micro-embolisation surviennent (dyspnée, hypoxie, insuffisance rénale aiguë, insuffisance hépatique aiguë), des fortes doses sont administrées d’emblée [4]. L’efficacité serait toutefois controversée.

2. Réalimentation de l’animal

• La réalimentation est entreprise si possible rapidement, à l’aide d’une alimentation molle (croquettes humidifiées et mixées).

Si l’amélioration de la glossostomatite ne permet pas une mobilité linguale et la déglutition le lendemain de l’accident, il convient de mettre en place une alimentation entérale assistée (PHOTO 4).

• Pour ces lésions, qui touchent les voies digestives supérieures et entraînent une anorexie de quelques jours seulement, des sondes naso-œsophagienne (voir l’ENCADRÉ “Technique de pose d’une sonde naso-œsophagienne”), d’œsophagostomie ou de pharyngostomie sont utilisées (voir le TABLEAU “Critères de choix des techniques de nutrition entérale [•]”) [8].

• Les besoins nutritionnels de l’animal sont estimés en fonction de son poids (voir l’ENCADRÉ “Calcul des besoins nutritionnels d’un animal hospitalisé”).

• L’alimentation est réalisée à l’aide d’une ration liquide tiédie, susceptible d’être administrée facilement par une sonde (dont la sonde nasale, de faible diamètre). Les aliments vétérinaires équilibrés, de densité énergétique élevée et hautement assimilables, sont adaptés à la convalescence et à l’hospitalisation (voir l’ENCADRÉ “Produits vétérinaires indiqués chez des animaux convalescents et susceptibles d’être administrés par une sonde”).

• La ration quotidienne est idéalement répartie en trois repas [2, 9, b], voire plus pour les chats [9]. Il convient de respecter la capacité stomacale de l’animal, estimée à 80 ml/kg (moins si l’animal a subi une période de jeûne) et d’espacer les repas de trois heures au minimum pour permettre la vidange gastrique [8].

• Un rinçage de la sonde à l’eau tiède après chaque repas est conseillé afin d’éviter son obstruction.

Lors du retrait des poils urticants, le personnel soignant doit porter une blouse, des gants et des lunettes de protection afin d’éviter sa propre envenimation.

  • (1) Voir l’article du même auteur “Le diagnostic de l’envenimation par les chenilles processionnaires”, dans ce numéro.

  • (2) Médicament à usage humain.

  • (3) Médicament réservé à l’usage hospitalier.

Réalisation d’une trachéotomie

Matériel

• Sonde : les sondes en silicone sont bien tolérées par la muqueuse trachéale. Le diamètre extérieur représente 60 à 75 % du diamètre trachéal et la longueur optimale est de six à sept anneaux trachéaux. En urgence, les sondes d’intubation orotrachéale peuvent être utilisées.

• Trousse chirurgicale de base.

• Matériel d’antisepsie, champs et gants stériles.

Technique

• La technique décrite est la technique chirurgicale de pose d’une sonde de trachéostomie qu’il convient de respecter au mieux lors de la réalisation d’une trachéotomie d’urgence.

• Le chien est anesthésié ou une infiltration locale est pratiquée s’il est conscient. Il est placé en décubitus dorsal (membres antérieurs maintenus le long du thorax et cou en extension, surélevé par un coussin).

• La trachée cervicale est abordée grâce à une incision médioventrale, en regard des premiers anneaux trachéaux. Les muscles sterno-hyoïdiens sont séparés sur le plan médian et réclinés latéralement. Le tissu conjonctif péritrachéal est disséqué. Il convient de veiller à ne pas léser les structures anatomiques : nerf laryngé récurrent, carotide, jugulaire, vaisseaux thyroïdiens ou œsophage. La trachée est immobilisée entre le pouce et l’index et le ligament annulaire est incisé entre deux anneaux (3-4 ou 4-5). L’incision de ces derniers est à éviter car elle peut entraîner une rétraction ou une sténose lors de la cicatrisation. La mise en place de fils de traction autour des anneaux adjacents au site de trachéotomie permet de faciliter l’introduction de la sonde (PHOTO 2).

• Après la mise en place de la sonde, les muscles sterno-hyoïdiens sont rapprochés (points simples), la peau est suturée (points lâches autour du tube) et une compresse stérile imprégnée d’antiseptique est placée entre la canule et la peau.

• La sonde peut être suturée à la peau ou attachée autour du cou (PHOTO 3).

Soins postopératoires

• Une antibiothérapie est mise en place. Des soins locaux sont réalisés toutes les deux heures, puis trois fois par jour.

• Toutes les deux à six heures, puis trois fois par jour, la canule est retirée, nettoyée et désinfectée (bain d’eau oxygénée à 10 volumes, puis trempage dans une solution antiseptique).

• Les voies respiratoires sont humidifiées au moins toutes les deux heures par instillation (puis réaspiration) de 1 à 5 ml de sérum physiologique ou par des nébulisations régulières.

• La sonde est supprimée dès que les voies respiratoires supérieures sont à nouveau perméables. La plaie cicatrise alors par seconde intention.

D'après [7,10].

Technique de pose d’une sonde naso-œsophagienne

Matériel

• Sonde en PVC ou silicone (plus souple) de petite taille (5 CH pour les chats et les chiens de moins 15 kg, et 8 CH pour les autres) avec liseré radio-opaque de préférence.

• Système de marquage de la sonde (feutre indélébile ou sparadrap).

• Agents d’anesthésie locale, voire agents tranquillisants.

• Matériel de fixation : kit chirurgical, agrafes, colle cyanoacrylate, etc.

• Sérum physiologique stérile.

• Collerette.

Technique

• L’anesthésie locale est obtenue par instillation dans la narine de Xylocaïne®(2) en spray si l’animal est craintif.

• La longueur de sonde à introduire est mesurée (voir la FIGURE “Sondage naso-œsophagien : longueur de sonde à introduire”).

• La sonde est introduite chez l’animal en décubitus sternal, dont la tête est maintenue de la main gauche (pour un droitier) en position physiologique, afin de favoriser la déglutition (voir la FIGURE “Sondage naso-œsophagien : passage de la sonde”).

• Le bon positionnement de la sonde peut être vérifié par divers moyens :

- l’instillation de 3 à 5 ml de sérum physiologique stérile qui ne doit déclencher de toux ;

- l’introduction de 10 ml d’air, puis la recherche de borborygmes, par auscultation stomacale ;

- la réalisation d’une radiographie thoracique de profil. Si la sonde n’est pas radio-opaque, un liquide de contraste stérile à usage intraveineux (Omnipaque®(2), Lopamiron®(2)) est injecté auparavant.

• La sonde peut être fixée :

- à l’aide d’une suture cutanée après la réalisation d’un laçage chinois ;

- par des ailettes de sparadrap qui sont suturées, agrafées ou collées à la peau.

Le premier point est placé le plus près possible du nez (éviter le contact avec les moustaches chez le chat). La sonde peut passer entre les yeux ou le long du maxillaire, mais évite le champ visuel de l’animal.

• Le dispositif est protégé à l’aide d’une collerette.

D'après [8, 10, 13, 14, b].

Calcul des besoins nutritionnels d’un animal hospitalisé

Plusieurs formules de calcul existent. Deux d’entre elles sont mieux adaptées à l’évaluation

• Première méthode. D’après [8, 13] :

- Dans un premier temps, Le besoin énergétique de base (BEB) est calculé :

- Le besoin énergétique définitif (BED) est ensuite déterminé en modulant le BEB, au moyen de coefficients qui prennent en compte différentes situations (statut physiologique, comportemental ou pathologique).

BED = BEB x facteur(s) choisi(s)

• Seconde méthode. D’après [10].

Une formule permet de calculer directement le besoin énergétique d’entretien d’un animal en cage (BEEC) qui ne présente pas de trouble particulier. Elle tient directement compte de l’inactivité et du stress de l’hospitalisation.

Produits vétérinaires (liste non exhaustive) indiqués chez des animaux convalescents et susceptibles d'être administrés par une sonde

Aliments susceptibles d’être administrés à la sonde, suivant les indications de la notice

- Fortol® C+

- Nergycare®

- Réanimyl®

- Waltham® Canine/Feline convalescence support (Sec)

- Etc.

• Aliments humides, pouvant être administrés à la sonde après dilution dans de l’eau(1) et/ou mixage

- Prescription Diet® Canine/Feline a/d

- Waltham® Canine convalescence support (Boîte)

- Etc.

(1) Tenir compte de la dilution pour le calcul de la densité énergétique de la ration.

Remerciements à Solveig Astier.

ATTENTION

• Une héparinothérapie est instaurée afin de prévenir une CIVD et les phénomènes thrombo-emboliques qui apparaissent lors de glossite nécrotique sévère.

• Lors de CIVD avérée, l’héparinothérapie est associée à une transfusion de sang total ou de plasma.

À lire également

a - Jaffres P. Un cas d’envenimation par les chenilles processionnaires chez un chien. L’Action Vét. 1997 ; 1414 : 11-14.

b - Viguier E. Les techniques d’alimentation entérale. L’Action Vét. 2002 ; Édition spéciale chirurgie : 28-34.

En savoir plus

- Bourgeois A. Les chenilles processionnaires en France. La lutte contre la chenille processionnaire du pin. Thèse de doctorat vétérinaire. ENV Alfort. 2003 : 122 p.

- Garnier E. Geste de base. Pose d’une sonde de trachéostomie. Point Vét. 2001 ; 32(219) : 82-83.

- Garnier E. Geste de base. Technique de pose d’une sonde naso-œsophagienne. Point Vét. 2000 ; 31(204) : 69-71.

- Garnier E. Geste de base. Technique de pose d’une sonde d’œsophagostomie. Point Vét. 2000 ; 31(205) : 173-175.

  • 1 - Blanchard G. Érucisme chez le chien. À propos de six observations cliniques dans le sud-est de la France. Rec. Méd. Vét. 1994 ; 170 : 9-16.
  • 2 - Blanchard G, Paragon B. L’alimentation de l’animal hospitalisé chez le chien et chez le chat. Le nouveau praticien. 2002 ; Hors-série hospitalisation : 25-29.
  • 3 - Charmot P. La chenille processionnaire du pin et son importance médicale, Thaumatopoea pityocampa. Schiff. Thèse de doctorat vétérinaire, ENV Lyon. 1987 : 132 p.
  • 4 - Couto CG. Disorders of hemostasis. In: Small animal internal medecine. 2e éd. Mosby. Inc. St Louis. 1998 ; 89 : 1203-1206.
  • 5 - Darrasse L. La chenille processionnaire du pin, contribution épidémiologique et clinique. Thèse de doctorat vétérinaire. ENV Toulouse. 1991 : 49 p.
  • 6 - Gleyze D. Envenimation des carnivores domestiques par les vipères, les chenilles processionnaires et les batraciens. Étude clinique et épidémiologique d’après les données du CNITV de 1991 à 1993. Thèse de doctorat vétérinaire. ENV Lyon. 1995 : 108 p.
  • 7 - Hedlund CS. Surgery of the upper respiratory system. In : Small animal surgery. 2e éd. Mosby, Inc. St Louis. 2002 : 720-721.
  • 8 - Hidalgo A, Masse P, Sarrau S et coll. Sondes de nutrition entérale, les différentes techniques de pose chez le chien et le chat. Le nouveau praticien. 2002 ; Hors-série hospitalisation : 69-74.
  • 9 - Hill RC. Alimentation en soins intensifs. Dans: Le livre Waltham de la nutrition clinique du chien et du chat. Ed. Wills JM, Simpson KW. 1996 : 41-57.
  • 10 - Pariaut R. Les gestes techniques en urgence. Fiche de procédure. Thèse de doctorat vétérinaire. ENV Lyon. 2002 : 126 p.
  • 11 - Pineau X, Romanoff C. Envenimation des carnivores domestiques. Rec. Méd. Vét. Spécial. 1995 ; Toxicologie des carnivores domestiques : 183-191.
  • 12 - Poisson L, Boutet JP, Paillassou P et coll. Quatre cas d’envenimation par les chenilles processionnaires du pin chez le chien. Point Vét. 1994 ; 25(158) : 992-1002.
  • 13 - Seim III HB, Fossum TW. Postoperative care of the surgical patient. In : Small animal surgery. 2e éd. Mosby, Inc. St Louis. 2002 : 69-91.
  • 14 - Simpson KW, Elwood CM. Techniques de soutien nutritionnel entéral. Dans : Le livre Waltham de la nutrition clinique du chien et du chat. Ed. Wills JM, Simpson KW. 1996 : 59-67.
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