Phæohyphomycose à A. alternata chez une chatte - Le Point Vétérinaire n° 236 du 01/06/2003
Le Point Vétérinaire n° 236 du 01/06/2003

DERMATOLOGIE FÉLINE

Pratiquer

CAS CLINIQUE

Auteur(s) : Thierry Cabail

Fonctions : Clinique vétérinaire
15, avenue du Maréchal-Juin
34110 Frontignan

Alternaria alternata est un champignon contaminant parfois isolé lors de mycose profonde chez le chat. Les atteintes multicentriques ont rarement été rapportées.

Une chatte européenne âgée de onze ans est présentée à la consultation pour des lésions podales qui provoquent de graves difficultés locomotrices, accompagnées d’une atteinte de l’état général.

Cas clinique

1. Anamnèse

Les lésions sont apparues deux ans auparavant par une tuméfaction du troisième orteil du membre antérieur droit, suivie d’une fistulisation. Des périodes de rémission alternent avec des phases de fistulisation, jusqu’à l’apparition de lésions nodulaires et ulcérées qui gagnent ensuite les extrémités des deux membres postérieurs.

Aucune contamination humaine ou animale n’est signalée et aucun traitement n’a été administré jusqu’au jour de la consultation.

2. Examen clinique

La chatte est maigre, dégage une odeur nauséabonde et répugne à se déplacer. Lorsqu’elle s’y résout, elle laisse des traces sanguinolentes sur son passage. Les muqueuses sont pâles. Ni hyperthermie, ni hypertrophie ganglionnaire ne sont notées.

À l’examen rapproché, des lésions nodulaires ulcérées, qui détruisent complètement un coussinet plantaire du membre antérieur droit, sont mises en évidence (PHOTO 1). Les lésions sont situées autour des coussinets plantaires des membres postérieurs. Une zone dépilée, jouxte latéralement la formation nodulaire sur le membre postérieur droit (PHOTO 2). Deux nodules ulcérés coalescents affectent le postérieur gauche (PHOTO 3).

3. Hypothèses diagnostiques

Les hypothèses diagnostiques recouvrent les dermatoses nodulaires et ulcératives chroniques multicentriques : tumeurs, pyodermites profondes, mycoses profondes et poxvirose.

L’âge de l’animal, ainsi que la nature des lésions, conduisent à placer la suspicion de tumeurs métastatiques au premier rang des hypothèses diagnostiques et à pratiquer des clichés radiographiques pulmonaires et une biopsie.

4. Examens complémentaires

Radiographie

La forte suspicion de métastases de tumeur pulmonaire conduit à réaliser d’emblée des clichés thoraciques pour tenter de mettre en évidence cette lésion. Ces clichés ne montrent aucune image anormale.

Biopsie cutanée

La biopsie cutanée est l’examen de choix lors de dermatoses nodulaires et ulcératives. Des prélèvements sont donc réalisés au Biopsy-punch® au niveau de la lésion nodulaire du membre antérieur droit et dans la zone de dépilation du membre postérieur droit.

À l’histologie et sur les deux prélèvements, l’épiderme apparaît nécrotique et ulcéré, ou hyperplasique et hyperkératosique. Le derme est le siège d’une infiltration cellulaire inflammatoire granulomateuse riche en grands macrophages spumeux et en cellules géantes plurinucléées. Certains macrophages contiennent, phagocytées dans leur cytoplasme, des structures ovoïdes ou bourgeonnantes, en pseudo-hyphes, assez allongées et ramifiées, qui apparaissent septées et prennent la coloration rouge de l’acide périodique Schiff (PHOTOS 4 ET 5). L’aspect histologique est celui d’une dermite granulomateuse diffuse d’allure fongique.

Mise en culture

Après réception des résultats, d’autres biopsies sont réalisées pour essayer de typer le champignon responsable. Conservées dans le sérum physiologique, elles sont expédiées à l’École nationale vétérinaire de Nantes. Une culture sur milieu de Sabouraud additionné de chloramphénicol, incubée à 27 °C, permet d’isoler une colonie d’Alternaria alternata sous sa forme filamenteuse.

Dans le même temps, un prélèvement de poils est pratiqué à la limite de la zone dépilée du membre postérieur droit, puis mis en culture sur un milieu gélosé classique. Après une quinzaine de jours, une colonie de A. alternata se développe. La diagnose est réalisée par examen direct dans le bleu lactique. Des macroconidies mûriformes et dictyospores caractéristiques du genre Alternaria sont observées (PHOTO 6) : les fuseaux sont pluriseptés dans les sens longitudinal et transversal, brun clair ou foncé et d’aspect mûriforme, disposés en chaînes simples ou ramifiées.

Tests de dépistage d’une infection par les rétrovirus

L’atteinte par un champignon contaminant comme A. alternata peut être favorisée par une infection concomitante par les virus FeLV ou FIV. Un dépistage sanguin est donc réalisé et se révèle négatif.

Examens sanguins

La numération-formule (NF) révèle une anémie (hématocrite : 20,2 %, hémoglobine : 6,9 g/l) probablement consécutive aux pertes sanguines chroniques dues aux ulcérations et au manque d’appétit de la chatte.

5. Diagnostic

Les résultats des examens complémentaires permettent d’établir le diagnostic de phæohyphomycose à Alternaria alternata.

6. Traitement

Une intervention chirurgicale serait difficile et seul un traitement médical est instauré. Le traitement des mycoses profondes fait classiquement appel aux dérivés azolés et en particulier au kétoconazole, ici administré sous sa forme buvable (Nizoral®(1), choisi pour sa facilité d’approvisionnement, mais retiré du marché depuis), à la dose de 5 mg/kg, matin et soir, mélangé à l’alimentation.

Une amélioration spectaculaire se produit dans le mois qui suit le début du traitement. Après deux mois d’administration, toutes les lésions ont disparu (PHOTOS 7 ET 8), seul un œdème au niveau du troisième doigt du membre antérieur droit subsiste. Par précaution, la chatte est traitée pendant cinq mois, soit au moins trois mois après la disparition des lésions.

Elle n’a pas présenté, à ce jour, de récidive.

Discussion

1. Hypothèses diagnostiques

Les hypothèses diagnostiques font intervenir les causes de dermatoses nodulaires et ulcératives chroniques multicentriques : tumeurs, pyodermites profondes, mycoses profondes et poxvirose.

Tumeurs

• Les tumeurs primitives sont généralement uniques et peuvent être d’origine épithéliale (épithélioma spinocellulaire, papillome, carcinome des glandes sudorales, tricho-épithélioma, etc.), conjonctive (mastocytome, complexe fibrosarcome) ou lymphopoïétique (lymphome).

• Dans l’espèce féline, les tumeurs métastatiques proviennent le plus souvent de tumeurs pulmonaires primitives. Lors d’une étude [17] sur une série de soixante-quatre chats atteints d’un carcinome digité, 8 (12 %) ont présenté un carcinome épidermoïde. Dans les cinquante-six autres cas (88 %), le carcinome était une métastase d’une tumeur pulmonaire.

Dans la plupart des cas, plusieurs doigts sont atteints simultanément. Les métastases concernent plus fréquemment les membres antérieurs. Une onychomadèse (chute spontanée de l’ongle commençant par la matrice), des ulcérations et un œdème sont en général présents. La radiographie révèle alors, outre la tumeur pulmonaire primitive, une ostéolyse des phalanges.

La moyenne d’âge des animaux atteints est d’environ douze ans et le pronostic est sombre : le temps de survie moyen est de quatre semaines.

Pyodermites profondes

Les pyodermites profondes sont généralement secondaires à un traumatisme et se traduisent par des granulomes ou par des abcès qui ont tendance à fistuliser.

Elles sont dues à :

- des bactéries non spécifiques : Staphylococcus, Pseudomonas, Proteus, Pasteurella, etc. ;

- des bactéries spécifiques, beaucoup plus rarement : Nocardia, mycobactéries.

Elles n’atteignent qu’exceptionnellement plusieurs membres simultanément et leur diagnostic s’effectue par culture bactérienne classique pour les premières ou sur milieu spécifique pour les secondes, suivie d’une coloration de Ziehl et d’une histologie.

Mycoses profondes

Les mycoses profondes (voir l’ENCADRÉ “Les différentes mycoses profondes”) sont plus fréquentes sur la face et sur les extrémités des membres en raison de leur origine généralement traumatique.

Leur diagnostic repose sur la cytologie, l’histologie et la mise en culture fongique [2, 9].

Poxvirose

En présence de lésions suppurées, nodulaires, ulcérées, situées sur les membres d’un chat qui vit à la campagne et qui est chasseur, il convient de prendre en compte l’hypothèse d’une atteinte par un poxvirus [7]. Généralement, les poxviroses évoluent favorablement vers la guérison spontanée, sauf en cas de surinfection (pyodermite, infection par le FIV, etc.).

Le diagnostic est histologique : des inclusions typiques sont mises en évidence dans les kératinocytes.

2. Examens complémentaires

La caractérisation de l’agent causal est délicate.

Il convient d’effectuer les prélèvements biopsiques en double exemplaire et de les placer pour moitié dans le formol à destination du laboratoire d’histologie ; l’autre partie est mise en culture dans du sérum physiologique. Le non-respect de cette précaution oblige à répéter les biopsies (donc les anesthésies générales).

Il n’est possible d’affirmer qu’un champignon contaminant isolé par culture constitue un agent fongique pathogène qu’après avoir confirmé sa présence au sein des lésions. Bien entendu, l’efficacité du traitement antifongique renforce le diagnostic.

Étiologie

Une phæohyphomycose est une infection fongique profonde d’aspect polymorphe (nodule, ulcère, abcès fistulisé ou non) provoquée par un champignon pigmenté brun qui se développe dans les tissus sous forme filamenteuse ou de levure. Les phæohyphomycoses ne produisent pas de grains, ce qui les différencie des mycétomes.

En culture, ces champignons développent un mycélium pigmenté en brun par la présence de mélanine. Cette pigmentation peut se retrouver dans les lésions ou faire défaut [2] comme dans le cas décrit : les biopsies profondes ont montré un tissu plutôt lardacé et hémorragique.

Ces mycoses sont rares, mais certainement sous-diagnostiquées car il est facile de les confondre avec des abcès ou des tumeurs. Ces champignons appartiennent à une soixantaine d’espèces (pour la plupart des Dematiaceae). Les plus fréquemment isolés sont A. alternata, Alternaria sp., Bipolaris, Cladosporium, Exophiala, Drechslera, Moniliella, Phialophora, Curvularia, Dissitimurus, etc. [2]. Ce sont des contaminants fréquents ou occasionnels, saprophytes qui vivent sur le sol dans les végétaux en décomposition ou des pathogènes de plantes. Ils sont donc fréquemment retrouvés au laboratoire en tant que contaminants dans les cultures de champignons, ce qui habituellement ne leur donne aucune valeur de pathogène. En revanche, les champignons du genre A. alternata, qui sont les plus fréquemment isolés dans l’air de Paris (devant Aspergillus et Penicillium), sont souvent impliqués dans les allergies respiratoires [15].

Les phæohyphomycoses à Alternaria ont été décrites dans de nombreuses espèces : l’homme, le chien [5, 18, a], le chat [3, 12, 14], le cheval, la chèvre, le daim, etc. Les cas cliniques publiés chez le chat concernent essentiellement des animaux d’âge moyen, qui ont le plus souvent accès à l’extérieur, à poil court, alors que les mycétomes semblent atteindre plutôt les chats à poil long [6, 13].

4. Pathogénie

Les Alternaria sont des champignons qui ne se développent pas naturellement chez les mammifères. Ils sont présents à la surface de la peau des personnes et des animaux ; ces derniers sont le plus souvent exposés à l’infection à l’occasion d’un traumatisme inoculant.

Chez le chat, les rétrovirus FIV et FeLV, connus pour leur pouvoir immunosuppressif, sont rarement mis en évidence dans les cas de phæohyphomycose décrits dans la littérature. Une éventuelle déficience de la réponse lymphocytaire a été recherchée chez un chat atteint par A. alternata en testant la réponse de ses lymphocytes in vivo (injection de phytohémagglutinine par voie intradermique) et in vitro (test à la concanavaline A), mais en vain [3].

Une autre étude [11] montre que les chats porteurs du virus FIV hébergent beaucoup plus fréquemment des levures (Cryptococcus neoformans et Candida albicans) et des dermatophytes (Microsporum canis) : par exemple, les cultures de M. canis sont trois fois plus souvent positives chez les chats FIV+ que chez les chats sains.

Ce portage asymptomatique devrait logiquement prédisposer aux infections fongiques profondes liées aux traumatismes. Rien ne semble cependant prouver actuellement que les phæohyphomycoses sont plus fréquentes chez les chats infectés par les rétrovirus. En revanche, leur expression clinique risque d’être plus sévère et de plus mauvais pronostic chez ces derniers car le traitement est d’autant plus difficile que l’animal est davantage immunodéprimé.

Certains genres semblent plus pathogènes que d’autres : si les Alternaria, responsables de cas de phæohyphomycose décrits dans la littérature (A. alternata, A. infectoria, A. tenuissima), restent toujours cantonnés au niveau de la peau et du conjonctif sous-cutané, voire aux cavités nasales [3], d’autres genres, et en particulier Cladosporium, peuvent disséminer par voie hématogène et se localiser dans des organes profonds, par exemple au niveau du système nerveux central [16].

Dans le cas décrit, l’atteinte de trois membres peut s’expliquer de différentes façons :

- par l’inhalation de spores par voie pulmonaire, suivie du passage dans le sang et arrêt dans les capillaires des extrémités. Cela n’a toutefois jamais été décrit pour Alternaria, à la différence de Cladosporium ;

- par la dissémination par voie hématogène du membre antérieur droit aux membres postérieurs ;

- l’hypothèse la plus probable est la survenue d’inoculations successives lors de microtraumatismes, par l’étalement d’un véritable film mycosique sur l’ensemble du corps lors de la toilette.

Chez l’homme, le pouvoir pathogène de ces champignons est très souvent lié à l’existence d’un facteur d’immunosuppression. Dans une étude incluant des cas humains de dermatose à Alternaria [1], l’atteinte est épidermique ou dermique, parfois les deux, mais jamais systémique, même lorsque le point de départ est endonasal. Dans une grande majorité de cas, la dermatose à Alternaria survient chez des malades qui reçoivent un traitement lourd (transplantation rénale, maladie de Cushing, leucose, lymphome), ainsi que chez des patients traités par les corticoïdes (lupus érythémateux discoïde et disséminé, polyarthrite chronique, arthrite rhumatoïde, asthme grave, syndrome néphrotique, etc.). Parfois, une simple corticothérapie locale suffit, comme dans un cas de traitement de psoriasis. Sur les cinquante-six cas répertoriés dans l’étude, seuls huit n’ont présenté aucun signe d’immunodépression.

5. Traitement

Le kétoconazole est réputé hépatotoxique. Aussi la propriétaire a-t-elle été prévenue de la possibilité d’apparition d’effets secondaires (vomissements, diarrhée, anorexie, etc.). Un dosage des enzymes hépatiques effectué à la fin du traitement n’a pas montré des résultats significativement différents de ceux obtenus avant sa mise en œuvre.

Le kétoconazole conserve son intérêt (il existe une spécialité vétérinaire, le Kétofungol®(2)) malgré l’existence de dérivés triazolés comme l’itraconazole(3) (10 mg/kg par voie orale, en une prise quotidienne), réputé plus efficace et moins toxique. Lorsqu’il sera disponible pour l’espèce féline, l’utilisation de l’itraconazole(3) sera avantageuse, d’autant plus qu’il se présentera sous une forme sirop, pratique d’emploi chez le chat.

Il convient de traiter le chat plusieurs mois après la guérison clinique. Le traitement est d’autant plus long que le statut immunitaire de l’animal est dégradé.

Chez l’homme, certains malades atteints de dermatose à Alternaria et qui reçoivent des traitements immunodépresseurs guérissent lorsque leurs doses de corticoïdes sont diminuées ou que leur syndrome de Cushing est traité [1]. À l’inverse, des patients non immunodéprimés récidivent et ne guérissent qu’après des années de traitements divers, malgré l’exérèse apparemment complète du granulome fongique.

Les pododermatites félines sont beaucoup moins fréquentes que les pododermatites canines en raison de la rareté des pyodermites dans l’espèce féline. Le pied, lorsqu’il est atteint de façon spécifique, est souvent l’objet de lésions nodulaires ulcérées et suppuratives pour lesquelles la biopsie est fréquemment diagnostique [8].

Le traitement des mycoses profondes, long et hasardeux, quelquefois mal toléré, devrait associer, lorsque cela possible, exérèse chirurgicale et traitement médical. Son succès dépend du statut immunitaire de l’animal. Il est indispensable de rechercher les rétroviroses intercurrentes pour affiner le pronostic.

  • (1) Médicament à usage humain.

  • (2) Pas d’AMM validée dans cette espèce.

  • (3) Médicament réservé à l’usage hospitaliers

Les différentes mycoses profondes

Mycoses cutanées et sous-cutanées

- mycétomes : lésions pseudotumorales souvent fistulisées dont le pus contient des grains, dues à des champignons ou à des bactéries ;

- phæohyphomycoses : mycoses dues aux champignons bruns ;

- panniculites à Pythium et mucorales, etc.

Mycoses profondes systémiques

- cryptococcose ;

- histoplasmose ;

- blastomycose ;

- coccidioïdomycose ;

- sporotrichose ;

- aspergillose ;

- protothécose.

ATTENTION

Le traitement des mycoses profondes fait classiquement appel aux dérivés azolés et en particulier au kétoconazole.

Remerciements à F. Degorce (Laboratoire d’anatomie pathologique vétérinaire du Sud-Ouest : LAPVSO) au Pr Bourdeau (ENV Nantes) pour les mises en culture, à C. Ibisch (ENV Nantes) et à Blaise Hubert.

Points forts

En présence de nodules et d’ulcérations sur plusieurs membres, l’hypothèse de mycose profonde ne peut être exclue.

Lors de dermatose nodulaire, l’histologie constitue l’examen complémentaire essentiel.

Le diagnostic de mycose profonde à champignon contaminant n’est établi que lorsque celui-ci est retrouvé en profondeur sous l’épiderme sur les coupes histologiques.

Le traitement est aléatoire et dépend fortement du statut immunitaire de l’animal.

En savoir plus

- Chermette R. Les examens de laboratoire utilisables en mycologie chez les carnivores domestiques. Point Vét. 1994 ; 26 (Biologie clinique) : 464-480.

- Guillot J, Chermette R. Le traitement des mycoses des carni- vores domestiques. Point Vét. 1997 ; 28(185) : 1649-1659.

- Weber I, Guillot J, Mialot M. Mycose systémique chez le chat. Traitement de la cryptococcose féline. Point Vét. 2001 ; 32(216) : 18.

  • 1 - Badillet G. Les alternarioses cutanées. Revue de la littérature. J. Mycol. Med. 1991 ; 118 : 59-71.
  • 2 - Bourdeau P. Dermatomycoses non dermatophytiques des carnivores. Encyclopédie Vétérinaire. Ed. Elsevier, Paris. 1996. Dermatologie 1000 : 1-23.
  • 3 - Dhein CR, Leathers CW, Padhye AA et coll. Phaeohyphomycosis caused by Alternaria alternata in a cat. J. Amer. Vet. Med. Assn. 1988 ; 193(9) : 1101-1103.
  • 4 - Ferrer L, Fondati A. Mycoses profondes. In : Guaguère E, Prélaud P. Guide pratique de dermatologie féline. Prat. Med. Chir. Anim. Comp. 2000 ; 5(n° spécial) : 1-11.
  • 9 - Hubert B, Delmas H, Carlotti DN et coll. Les mycoses intermédiaires et systémiques chez le chat en Europe. Prat. Méd. Chir. Anim. Comp. 1993 ; 28 : 257-270.
  • 11 - Mancianti F, Giannelli C, Bendinelli M et coll. Mycological findings in feline immunodeficiency virus-infected cats. J. Med. Vet. Mycol. 1992 ; 30 : 257-259.
  • 12 - Outerbridge CA, Myers SL, Summerbell RC. Phaeohyphomycosis in a cat. Canine Vet. J. 1995 ; 36(10) : 629-630.
  • 14 - Roosje PJ, De Hoog GS, Koeman JP et coll. Phaeohyphomycosis in a cat caused by Alternaria infectoria. Mycoses.1993 ; 36 : 451-454.
  • 17 - Van Der Linde-Sipman JS, Van Der Ingh TS. Primary and metastatic carcinomas in the digits of cats. Vet. Quart. 2000 ; 22(3) : 141-145.
Abonné au Point Vétérinaire, retrouvez votre revue dans l'application Le Point Vétérinaire.fr