Urolithiase obstructive et rupture de la vessie chez un taureau charolais de 5 ans au pâturage - Le Point Vétérinaire expert rural n° 378 du 01/09/2017
Le Point Vétérinaire expert rural n° 378 du 01/09/2017

UROLOGIE DES BOVINS

Cas clinique

Auteur(s) : Geoffroy Dell’Omini*, Vincent Herry**, Christophe Roy***, Jean-Louis Roque****, Pierre-Michel François*****, Alexis Ferrieres******, Nicolas Herman*******

Fonctions :
*Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
**École nationale vétérinaire de Toulouse,
pathologie des ruminants,
23, chemin des Capelles, 31300 Toulouse
*** Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
**** Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
***** Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
****** Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
******* Clinique vétérinaire des Mazets, route de Saussac,
15400 Riom-ès-Montagnes
********École nationale vétérinaire de Toulouse,
pathologie des ruminants,
23, chemin des Capelles, 31300 Toulouse

Assez peu décrites en médecine bovine, les obstructions urétrales proximales sont les plus fréquentes chez les bovins à l’engraissement. Cet article décrit un cas original d’urolithiase chez un taureau au pâturage en montagne.

À l’automne 2016, un taureau charolais âgé de 5 ans au pâturage dans une prairie permanente de 2 ha du Cantal est vu pour une anorexie, un abattement et une diarrhée hémorragique.

CAS CLINIQUE

1. Jour 1 : suspicion diagnostique

Anamnèse

Le taureau, accompagné de 2 vaches multipares et leurs 2 veaux, a été introduit 4 mois auparavant sur une praire permanente d’estive de 2 ha composée majoritairement de graminées et implantée sur des sols volcaniques acides. Les animaux disposent de deux points d’abreuvement : une rivière et une source. Aucune complémentation alimentaire et minérale n’est pratiquée. Une visite du propriétaire est effectuée tous les 2 jours en moyenne.

Examen clinique

À l’examen à distance, le taureau est très abattu, avec une note d’état corporel de 3, un flanc gauche légèrement creusé (score de remplissage du rumen : 3/5) et d’importantes souillures fécales noirâtres périanales.

À l’examen rapproché, l’animal présente une déshydratation modérée, des muqueuses oculaires rosées, une température rectale de 37,9 °C, une tachycardie modérée (90 battements/min), sans tachypnée (24 mouvements/min) et une absence de contractions ruminales. La percussion-auscultation et la succussion des flancs (bruit de flot) ne révèlent aucune anomalie. La palpation transrectale confirme la diarrhée crémeuse, hémorragique (sang en nature), avec la présence de morceaux de la membrane intestinale finement délités. La vessie est distendue (environ 30 cm de diamètre) et ne se vidange pas par pression transrectale. Aucune anomalie palpable du pôle caudal du rein gauche n’a été mise en évidence. En raison de l’absence de miction, aucune analyse d’urine n’a pu être réalisée. L’examen et la palpation des poils du prépuce ne retrouvent pas de caillot de sang ni de petits calculs.

En résumé, chez ce taureau, une absence de contractions ruminales, une tachycardie modérée, une diarrhée hémorragique, crémeuse, sans hyperthermie, et une réplétion vésicale marquée sont observées.

À ce stade de l’examen clinique, l’hypothèse principale est une atteinte du système urinaire à l’origine de la réplétion vésicale, d’un syndrome urémique et de la diarrhée.

Son origine peut être :

- postrénale : absence de vidange vésicale, d’origine obstructive (urolithiase, néoplasme, abcès, hématome du corps caverneux) ou nerveuse ;

- rénale : insuffisance rénale aiguë (intoxication végétale, médicamenteuse ou toxique) ou chronique (pyélonéphrite) ;

- prérénale (déshydratation). Une atteinte rénale ou prérénale semble beaucoup moins probable, en raison de la réplétion vésicale et de l’absence d’anomalie détectable lors de la palpation du pôle caudal du rein gauche.

Une atteinte digestive distale reste possible, à l’origine de la diarrhée hémorragique : bactérienne, virale, voire une péritonite.

Traitement et examens complémentaires

Un traitement symptomatique est mis en place à base d’amoxicilline retard (sous forme de trihydrate, 15 mg/kg), de butylbromure de scopolamine (0,2 mg/kg/j), de métamizole sodique (25 mg/kg/j) et de NaCl 0,9 % (5 l, 56 mg/kg une fois).

Une prise de sang est réalisée sur héparinate de lithium. L’analyse de biochimie plasmatique révèle une azotémie sévère confirmant le syndrome urémique (tableau 1).

2. Jour 2 : confirmation

Le taureau est revu le lendemain. Son état général n’a pas évolué et les mêmes anomalies cliniques sont observées (abattement, tachycardie, réplétion vésicale, diarrhée avec la présence de sang en nature).

L’azotémie sanguine sévère et la déshydratation modérée du taureau semblent devoir écarter une origine prérénale. En raison de l’absence de plantes toxiques retrouvées sur la parcelle, ainsi que de l’importante quantité d’herbe restant à pâturer, une intoxication végétale à l’origine d’une insuffisance rénale aiguë (IRA) semble très peu probable.

La réplétion sévère de la vessie, plus importante que la veille, conforte l’hypothèse d’une atteinte postrénale à l’origine du syndrome urémique par défaut de vidange de la vessie. L’absence de signes neurologiques est en défaveur d’une absence de vidange de la vessie d’origine nerveuse (encadré).

Le traitement symptomatique entrepris la veille, hormis la perfusion, a été prolongé. Le taureau meurt entre le troisième et le quatrième jour.

3. Jour 4 : autopsie

Une autopsie réalisée sur place dans un délai maximal évalué à 24?heures post-mortem confirme l’hypothèse clinique d’une obstruction urétrale proximale par des calculs, à l’origine d’une rupture vésicale et de la mort de l’animal (tableau 2).

DISCUSSION

1. Étiologie

En élevage des ruminants, les urolithiases obstructives sont des maladies sporadiques évoluant très souvent vers la mort des animaux. Les urolithiases seraient la cinquième cause de mortalité dans les feedlots nord-américains [8]. La prédisposition aux obstructions urinaires chez les ruminants mâles résulte de la combinaison de plusieurs facteurs, à la fois anatomiques (urètre assez étroit et long), physiologiques (fort catabolisme musculaire) et alimentaires (abreuvement parfois limité, rations riches en silice et en oxalates, en concentrés, ratio phosphore [P]/calcium [Ca] élevé) [8].

Chez les bovins, la majorité des calculs se retrouvent dans l’inflexion sigmoïde du pénis, près de l’insertion du muscle rétracteur, une zone de diamètre minimal de l’urètre (figure 2) [4, 8]. La localisation des calculs dans la portion pelvienne de l’urètre est moins fréquente, mais constitue la deuxième localisation préférentielle en raison du rétrécissement occasionné par le passage sur le pubis.

Différents types de calculs peuvent être retrouvés chez les bovins (tableau 3) [4, 8-10].

Les calculs de calcium (oxalate, carbonate, phosphate) sont très majoritairement retrouvés chez des animaux au pâturage. L’ingestion d’une grande quantité d’oxalates de calcium solubles par les ruminants n’aurait que très peu d’effets sur la concentration urinaire en oxalates (utilisation microbienne des oxalates dans le rumen), mais conduirait cependant à une production accrue de carbonate de calcium [6].

2. Physiopathologie

La formation de calculs à partir de composés normalement présents dans l’urine est bien souvent une conséquence de variations de facteurs physico-chimiques comme la concentration de l’urine ou son pH [9]. Un défaut d’abreuvement, à l’origine d’une augmentation de la concentration de l’urine, une ration riche en potassium (pH urinaire élevé) ou un ratio Ca/P inadapté sont d’importants facteurs de risque de lithiase urinaire [6, 7, 12].

La découverte d’un calcul de type carbonate de calcium chez un animal au pâturage, comme dans le cas présent, n’est pas surprenante. Les facteurs à l’origine de sa formation le sont un peu plus. Il est probable que la conjonction d’éléments aggravants comme une herbe riche en potassium (pH urinaire alcalin) et en oxalate possiblement couplée à un défaut d’abreuvement (sporadique ou chronique) soit à l’origine de la formation des calculs urinaires.

3. Diagnostic d’un uropéritoine

Les complications des urolithiases obstructives sont les ruptures de l’urètre, caractérisées par un gonflement diffus des tissus sous-cutanés de l’abdomen ventral, et les ruptures vésicales. Les ruptures de la vessie sont plus rares chez les bovins. Chez les vaches, elles peuvent survenir à la suite d’un accident obstétrical ou, plus rarement, de la formation d’adhérences après une chirurgie de l’ouraque, voire de façon consécutive à l’introduction brutale d’une sonde d’insémination [4]. Chez les taureaux, les ruptures de la vessie sont majoritairement secondaires à une obstruction du flux urinaire, la plus courante de ces obstructions étant les urolithes. Plus rarement, elles sont associées à des compressions ou à des strictions urétrales (hématome pénien, abcès, tumeurs, voire atonie vésicale chronique d’origine nerveuse) [2, 3, 6, 8].

Plusieurs éléments ont permis de considérer comme de l’urine le liquide récolté dans la cavité abdominale lors de l’autopsie, dont le plus évident est le contexte d’une vessie perforée chez un taureau qui n’urine pas (tableau 4). De plus, l’analyse biochimique du liquide abdominal recueilli révèle une concentration élevée en créatinine, probablement deux fois supérieure à la valeur sanguine, permettant ainsi de confirmer l’uropéritoine [2]. La mesure de la concentration en créatinine d’un épanchement semblerait l’élément le plus fiable pour établir un uropéritoine [11].

4. Traitement chirurgical

La localisation de l’obstruction limite l’utilisation des techniques chirurgicales classiques lors d’obstruction distale (urétrostomie périnéale et antépubienne). Une urétrostomie périnéale avec rétropulsion du calcul aurait pu être réalisée, mais n’a pas été proposée [5]. Deux autres traitements chirurgicaux étaient également possibles, bien que très difficiles à pratiquer : la marsupialisation de la vessie et la pose d’une sonde de cystotomie. Cette dernière méthode a donné d’excellents résultats chez de petits ruminants à court et moyen terme [4]. L’animal est placé en décubitus latéral et la vessie est approchée par voie paramédiane. La cystotomie est réalisée, puis une sonde de Foley est insérée à travers l’incision et suturée à la vessie après le gonflement d’un ballonnet situé dans celle-ci (pour prévenir le refoulement de la sonde). Le cathéter de Foley est ensuite suturé à la paroi abdominale en plusieurs points séparés.

Le succès de l’intervention est très variable et dépend de la durée de l’obstruction avant la chirurgie, de l’état de l’animal et des tissus environnants, d’une rupture éventuelle de l’urètre associée et de la localisation des calculs. Dans la pratique courante, il semble assez difficile de mettre ces chirurgies invasives en œuvre, lesquelles restent souvent réservées au domaine universitaire.

5. Moyens de prévention

En raison du mauvais pronostic et du coût relativement élevé du traitement d’une urolithiase obstructive, une attention toute particulière doit être apportée à la prévention des calculs urinaires. La gestion de la ration est primordiale. Les facteurs de risque identifiés, bien que différents selon le type de calcul, incluent un abreuvement insuffisant ou irrégulier, une dureté de l’eau élevée, un pH urinaire alcalin (calculs de carbonate, struvite) ou très acide (calculs de cystine ou d’acide urique), une infection urinaire, un ratio Ca/P inadéquat (> 2 ou < 1), un apport élevé en magnésium (struvite) et une ration pauvre en fibres (struvite) [12].

Les mesures générales de prévention des calculs urinaires chez des ruminants au pâturage sont un apport en eau potable régulier à une température proche de celle de l’air ambiant et une complémentation en sel pour favoriser l’abreuvement [6, 7]. Les mesures spécifiques pour prévenir les calculs de calcium sont de diminuer les apports en calcium (arrêt de la complémentation, plantes riches en oxalates) et d’obtenir un ratio Ca/P proche de 1,2:1. En cas d’épidémie, si le retrait des animaux exposés de la pâture est impossible, l’ajout de sels anioniques à la ration (chlorure d’ammonium 0,5 à 2 % de la matière sèche ingérée, soit environ 45 g/j pour un bovin à l’engrais, ou sels anioniques à balance cation/anion [BACA] négative du commerce utilisés comme moyen de prévention de la fièvre de lait), favorisant l’abreuvement et la production d’urines plus acides, est recommandé [6, 9]. L’examen cytologique des urines de bovins sains exposés peut permettre un diagnostic étiologique des calculs, et ainsi d’orienter les mesures préventives à mettre en œuvre.

Conclusion

Les solutions face à une obstruction urétrale proximale par des calculs sont assez limitées et très difficiles à mettre en œuvre en pratique. La connaissance de la composition minérale des calculs, ainsi que des facteurs de risque d’apparition des urolithiases facilite le développement de stratégies préventives de surveillance. La correction des facteurs favorisants et la mise en place de mesures spécifiques permettent de minimiser le risque de formation des calculs, de dissoudre les calculs existants et de réduire le taux de rechute.

Références

  • 1. Acierno MJ, Labato MA. Canine incontinence. Compend. Intern. Med. 2006;28 (8):591-600.
  • 2. Braun U, Nuss K. Uroperitoneum in cattle: ultrasonographic findings, diagnosis, and treatment. Acta Vet. Scand. 2014;57:36-39.
  • 3. Buranakarl C, Kijtawornrat A, Angkanaporn K et coll. Effect of bethanechol on canine urinary bladder smooth muscle function. Res. Vet. Sci. 2001;71:175-181.
  • 4. Ewold JM, Jones ML, Miesner MD. Surgery of obstructive urolithiasis in ruminants. Vet. Clin. North Am. Food Pract. 2008;24:455-465.
  • 5. Gasthuys F, Steenhaut M, De Moor A, Sercu K. Surgical treatment of urethral obstruction due to urolithiasis in male cattle: a review of 85 cases. Vet. Res. 1993;133 (20):522-526.
  • 6. Hay L. Prevention and treatment of urolithiasis in sheep. Vet. Rec. 1991;12:87-91.
  • 7. Lipismita S, Ashok KP, Chinmoy M et coll. Nutritional strategies to prevent urolithiasis in animals. Vet. World. 2011;4 (3):142-144.
  • 8. Makhdoomi DM, Gazi MA. Obstructive urolithiasis in ruminants - a review. Vet. World. 2013;6 (4):233-238.
  • 9. Manning RA, Blanney BJ. Epidemiological aspects of urolithiasis in domestic animals in Queensland. Austr. Vet. J. 1986;63:423-424.
  • 10. McIntosh GH, Pulsford MF, Spencer WG, Rosser H. A study of urolithiasis in grazing ruminants in South Australia. Austr. Vet. J. 1974;50 (8):345-350.
  • 11. Russel KE, Roussel AJ. Evaluation of the ruminant serum chemistry profile. Vet. Clin. North Am. Food Pract. 2007;23 (3):403-426.
  • 12. Sahinduran S, Buyukoglu T, Gulay MS, Tasci F. Increased water hardness and magnesium levels may increase occurrence of urolithiasis in cows from the Burdur region (Turkey). Vet. Res. Com. 2007;31:665-671.
  • 13. Torres B, Serakides R, Caldeira F et coll. The ameliorating effect of dantrolene on the morphology of urinary bladder in spinal cord injured rats. Pathol. Res. Pract. 2011;207 (12):775-779.

Conflit d’intérêts

Aucun.

Mécanismes neurologiques contrôlant le remplissage et la vidange de la vessie

→ La vessie comporte deux parties : le dôme, constitué du muscle détrusor et du trigone vésical, et le col vésical, composé du sphincter interne (muscles lisses) et du sphincter externe (muscles striés). Lorsqu’il est détendu, le détrusor permet le remplissage passif de la vessie. Lorsqu’il se contracte et que les sphincters se relâchent, il permet la vidange de la vessie.

→ Sur le plan fonctionnel, le cycle urinaire est divisé en deux phases : une phase de remplissage et une phase de vidange. Le système orthosympathique (L1-L6) est responsable de la continence par un relâchement du détrusor et une contraction du sphincter interne. Le système somatique (nerfs sacrés et pudendal) contrôle la fermeture du sphincter externe. L’étirement de la vessie entraîne l’émission de signaux sensitifs, intégrés dans l’encéphale et à l’origine de la phase de vidange. Le système parasympathique contrôle donc la phase de vidange en coordonnant la contraction de la vessie et la relaxation des sphincters (figure 1).

→ Un dysfonctionnement de la contraction des muscles lisses de la vessie peut avoir une origine neurologique lésionnelle, consécutive à une atteinte spinale, ou fonctionnelle. En raison du rôle important de l’innervation parasympathique dans la régulation de la vidange vésicale, des médicaments parasympathomimétiques sont couramment utilisés en médecine tant humaine que vétérinaire (hors résumés des caractéristiques du produit) pour contrôler la miction. Parmi eux, le béthanéchol, un parasympathomimétique direct agissant sur les récepteurs muscariniques et possédant des propriétés prokinétiques, est couramment administré pour contracter le détrusor (vidange de la vessie), mais il est contre-indiqué dans un contexte de lithiase urinaire obstructive [3]. L’alfuzosine (orthosympatholytique, α-bloquant) peut être utilisée pour relâcher le sphincter lisse, ou encore le dantrolène, un myorelaxant des muscles squelettiques qui permet un relâchement du sphincter strié [13].

Points forts

→ Les calculs urinaires les plus fréquemment retrouvés chez les bovins au pâturage sont ceux de carbonate de calcium.

→ La mesure de la concentration en créatinine d’un épanchement abdominal semble l’élément le plus fiable pour confirmer un uropéritoine.

→ Un déficit d’abreuvement, et une ration riche en potassium ou en céréales sont d’importants facteurs de risque de lithiase urinaire.

→ En cas d’épidémie de calculs au pâturage, si le retrait des animaux exposés de la pâture est impossible, l’ajout de sels anioniques à la ration est recommandé.

REMERCIEMENTS

À Marie-Noëlle Lucas et au Pr François Schelcher pour les résultats d’histologie.

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