Échecs de transfert d’immunité colostrale : abord par la médecine factuelle - Le Point Vétérinaire expert rural n° 370 du 01/11/2016
Le Point Vétérinaire expert rural n° 370 du 01/11/2016

INFECTIONS NÉONATALES DES BOVINS

Étude

Auteur(s) : Élise Gicquel*, Sébastien Buczinski**

Fonctions :
*ENV de Toulouse,
23, chemin des Capelles,
31076 Toulouse Cedex 03
** Département des sciences cliniques,
Faculté de médecine vétérinaire,
Université de Montréal, Saint-Hyacinthe,
Québec, Canada
e.gicquel_14@envt.fr

La détection par réfractométrie des échecs de transfert d’immunité passive au veau a commencé à être évaluée récemment par méta-analyse de publications scientifiques sur le sujet.

Les veaux, agammaglobulinémiques à la naissance, sont dépendants de la buvée du colostrum en raison de la placentation épithéliochoriale maternelle. Une prise colostrale dans les 6 heures suivant la naissance est ainsi indispensable pour assurer la protection du veau contre l’ensemble des agents pathogènes environnants. Elle lui procure des anticorps (immunoglobulines G [IgG]) et d’autres facteurs immunitaires (cellules ou cytokines) [21]. Lorsque le transfert d’immunité passive (TIP) est inadéquat, le risque de morbidité et de mortalité augmente. Récemment, une méta-analyse a estimé que chaque cas de défaut de TIP coûte à l’éleveur de 60 à 80 € pour des veaux de races laitières et allaitantes [17]. Ainsi, évaluer le TIP est essentiel économiquement. Il s’agit d’améliorer l’efficacité de l’élevage des génisses de remplacement et des futurs bovins à l’engrais. Encore faut-il disposer de tests diagnostiques le permettant.

CONTEXTE ET OBJECTIFS : QUELLE EXACTITUDE DE LA RÉFRACTOMÉTRIE ?

L’évaluation de la concentration des IgG dans le sang est un moyen fiable d’évaluer le TIP [21]. Différentes méthodes employées actuellement permettent de déterminer si la prise colostrale a été efficace ou non en mesurant la concentration des IgG dans le sérum des veaux à la naissance. Les techniques couramment utilisées telles que l’immunodiffusion radiale (IDR) ou le procédé de dosage immunologique par turbidimétrie (IT) sont difficiles à mettre en place directement à la ferme. Des recherches ont été menées sur des solutions alternatives permettant de réaliser le test sur place, d’obtenir le résultat immédiatement et à moindre coût. Se pose alors la question de l’exactitude diagnostique du test utilisé.

1. Technique de référence : l’immunodiffusion radiale

Le dosage des IgG sériques par IDR est généralement considéré comme un gold standard, ce qui signifie que cette méthode présente une sensibilité (Se) et une spécificité (Sp) respectivement de 100 % en fonction du seuil choisi (10, 12 ou 16 g/dl, par exemple). Ce test (de même que l’IT) est fréquemment utilisé comme référence pour vérifier l’exactitude diagnostique d’autres examens en comparant les résultats obtenus par chacune des méthodes.

2. La réfractométrie en pratique : deux échelles

La réfractométrie est souvent citée comme une technique simple d’emploi, praticable régulièrement sur le terrain. Il existe des réfractomètres optiques, dont le résultat peut dépendre de l’opérateur effectuant la mesure. Les modèles digitaux affichent, quant à eux, des valeurs numériques objectives (photos 1 et 2).

Les résultats peuvent être donnés sur une échelle des protéines totales (PT) en g/dl. Une seconde façon de rapporter cette réfractance est l’échelle de Brix, avec une expression du résultat en pourcentages de Brix (chaque pourcent correspondant à 1 g de sucre dilué dans 100 g d’eau). Les rapports de recherches sur la réfractométrie aboutissent à des seuils et à des valeurs d’exactitude de ces derniers variés (en termes de Se et de Sp à diagnostiquer les défauts de TIP)(1). Il est difficile pour les praticiens de savoir quelle valeur accorder à telle ou telle étude, donc quelle exactitude présente tel ou tel seuil. Il conviendrait d’y remédier avant de modifier les pratiques d’élevage.

MÉTHODE : ABORD SYNTHÉTIQUE ET RIGOUREUX VIA LA MÉDECINE FACTUELLE

1. Quelles interrogations sur les “tests TIP” ?

Le praticien lisant les études sur les méthodes diagnostiques de l’efficacité du TIP peut se poser des questions précises :

– quelle est la plus valide d’un point de vue scientifique (absence de biais) ?

– est-ce que ces travaux s’appliquent à mes conditions de pratique de vétérinaire en zone laitière (applicabilité) ?

– quel est le meilleur seuil permettant de correctement diagnostiquer un échec de transfert d’immunité passive chez un veau ?

– quel est le risque de mal classer un animal ?

– comment justifier l’utilisation d’un tel test auprès de l’éleveur ?

La médecine factuelle permet de répondre à ces interrogations.

2. La méta-analyse comme exemple de réponse “médecine factuelle”

Une revue systématique et de méta-analyse peut, par exemple, être effectuée. Cela consiste à résoudre une question donnée en s’appuyant sur toutes les preuves scientifiques disponibles dans les articles publiés. Tous les résultats de recherches menées sur un sujet donné sont synthétisés de manière rigoureuse. Parallèlement, différentes techniques sont utilisées pour les analyser. Il en découle une véritable mise à jour des connaissances des praticiens, aboutissant à faire évoluer leur pratique quotidienne.

Cette démarche a été appliquée à l’été 2016 afin d’évaluer l’exactitude diagnostique du réfractomètre en échelles des protéines totales et de Brix chez le veau (projet de recherche sous la direction de Sébastien Buczinski).

MATÉRIEL POUR LA MÉTA-ANALYSE

Pour rédiger la revue sur la détection du défaut de TIP, des études publiées et non publiées (littérature grise) sur ce sujet ont été recherchées, dans différentes bases de données informatiques : PubMed, CAB Abstracts, S-PAC (Searchable Proceedings of Animal Conferences) et Google Scholar.

L’intérêt d’utiliser différentes bases de données est d’augmenter la sensibilité de notre recherche bibliographique. Au total, 1 291 références ont été trouvées. La recherche, qui doit être la plus exhaustive possible, a été effectuée sur la base des mots clés suivants : immune passive transfert, calves, IgG, serum, refractometer.

Une démarche de tri de ces articles en plusieurs étapes et selon différents critères a été appliquée, pour ne garder, in fine, que les études rapportant les données nécessaires aux analyses réalisées par la suite. Par exemple, si ces travaux ne mesuraient pas les IgG sériques avec le réfractomètre ou bien que le test de référence n’était pas l’IDR ou l’IT, ils étaient éliminés de la revue. En effet, ils ne correspondaient pas à nos critères d’inclusion.

Le critère principal était la présence de valeurs de Se et de Sp pour les seuils utilisés dans l’étude. L’objectif était en effet de construire des tables de contingence 2 × 2 résumant les valeurs des vrais et des faux positifs ou négatifs (VP, FP, FN et VN)(1).

RÉSULTATS OBTENUS DANS LA REVUE

1. Nombre d’études

Seize études ont été conservées [3-8, 10, 11-16, 18-20]. Cela représente un total de 4 387 veaux échantillonnés. Chaque essai rapporte au moins un seuil de détection du défaut de TIP, établi en échelle des PT et/ou en échelle de Brix. Sur l’ensemble des études incluses, seulement cinq rapportaient spécifiquement des seuils de Brix et quatorze des seuils selon l’échelle des PT. Trois études donnaient des résultats à la fois pour les échelles de Brix et des PT. Un minimum de cinq références mentionnant un seuil donné a été considéré comme nécessaire pour le prendre en compte dans nos résultats et notre conclusion (tableaux 1 et 2).

2. Seuils

Pour l’échelle des PT, trois seuils peuvent être présentés :

– 5 g/dl (relevé dans cinq études) ;

– 5,2 g/dl (6 études) ;

– et 5,5 g/dl (6 études).

En ce qui concerne l’échelle de Brix, nous n’avons obtenu, au maximum, que trois références pour chaque seuil, ce qui est insuffisant au regard de nos critères : 7,8 %, 8 % et 8,4 %.

DISCUSSION : EXPLICITER LES ECARTS DE SE ET DE SP

Les écarts des valeurs de Se et de Sp observés peuvent être dus à différents facteurs, en particulier la variabilité intra- et interétudes. En effet, les recherches présentent des méthodologies différentes, s’appuient sur des populations animales dissemblables, avec des prévalences variables de défaut de TIP. Elles n’appliquent pas non plus exactement les mêmes procédures dans l’échantillonnage et la réalisation des tests.

1. Prendre en compte la prévalence

La prévalence du défaut de TIP étant assez faible dans la majorité des études, la Se du test se trouve être souvent le facteur limitant : elle est évaluée sur un faible nombre d’animaux, donc est obtenue avec davantage de variabilité (les intervalles de confiance [IC] apparaissent larges). À l’extrême, dans les données de recherche de Villarroel et coll. (2013), la prévalence est de 0 %, ce qui entraîne une incapacité à calculer la Se du test dans cette étude [20].

Les prévalences d’échec de TIP chez les veaux étudiés varient globalement de 0 à 86 %. Dans les groupes d’animaux considérés en bonne santé apparente, la prévalence reste faible et varie de 0 à 36 %. Lorsque les recherches ont été effectuées à la fois chez des animaux malades et chez d’autres en bonne santé, le taux d’échecs de TIP augmente, pouvant atteindre 56 %. Une prévalence de 86 % a été obtenue dans une étude menée uniquement chez des animaux réellement malades. L’applicabilité du test est ici questionnable : les individus malades peuvent être déshydratés. L’interprétation des résultats du test ne peut être appliquée de la même façon chez un veau sain.

2. Autres facteurs

D’autres covariables potentielles ont été relevées pour chacune des études incluses (encadré 1).

Leur influence a été recherchée en menant des analyses statistiques plus approfondies [1, 9]. Néanmoins, le faible nombre d’études concernées en limite l’interprétation possible.

Lors de l’interprétation des résultats d’un test TIP, il convient d’être le plus objectif possible, pour ne pas introduire de biais [2]. Dans cette revue, seules les études de cohorte ont été prises en compte, en raison du risque de biais dit “spectral” (encadré 2).

Après avoir sélectionné les études à inclure dans la revue et évalué les biais potentiels, il convient d’évaluer l’applicabilité (tableau 3). Cela renforce la crédibilité de la revue systématique ou de la méta-analyse. Un outil informatique appelé QUADAS-2 (Quality Assessment of Diagnostic Accuracy Studies 2) est utilisé pour cette mesure.

Dans le cas étudié, les risques de biais concernaient majoritairement la sélection des individus et la réalisation du test index, à savoir la mise en place des mesures des IgG sériques par réfractométrie. Les difficultés d’applicabilité portaient essentiellement sur la sélection des individus et la référence standard.

Conclusion

Les tests diagnostiques sont intéressants à utiliser dans la pratique quotidienne, à condition de bien cerner la question à laquelle ils doivent aider à répondre et en ayant conscience de leurs limites.

Notre étude visait en définitive à mettre en avant différents seuils acceptables pour que les tests courants d’évaluation du défaut de TIP puissent être utilisés sereinement en pratique, dans tel ou tel contexte. Le facteur limitant reste le faible nombre d’études retenues (seulement 16). Dès lors, il est actuellement difficile de trancher objectivement sur l’influence de divers facteurs sur les résultats obtenus. D’autres travaux sur ce sujet méritent d’être effectués afin de confirmer ou d’infirmer les tendances observées, donc d’infléchir les pratiques de terrain en toute connaissance de cause.

  • (1) Voir la fiche “Valeurs de sensibilité et de spécificité : intérêt dans l’étude d’un test diagnostique” des mêmes auteurs, dans ce numéro.

Références

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  • 18. Tyler JW, Hancock DD, Parish?SM et coll. Evaluation of 3 assays for failure of passive transfer in calves. J. Vet. Intern. Med. 1996;10 (5):304-307.
  • 19. Tyler JW, Parish SM, Besser TE et coll. Detection of low serum immunoglobulin concentrations in clinically Ill calves. J. Vet. Intern. Med. 1999;13:40-43.
  • 20. Villarroel A, Miller Taylor B, Johnson ED et coll. Factors affecting serum total protein and immunoglobulin G concentration in replacement dairy calves. Adv. Dairy Res. 2013;1 (2):1-5.
  • 21. Weaver DM, Tyler JW, Van Metre DC et coll. Passive transfer of colostral immunoglobulins in calves. J. Vet. Intern. Med. 2000;14:569-577.

Conflit d’intérêts

Aucun.

Points forts

→ Sur l’échelle de Brix, les études sont trop peu nombreuses, et aucun seuil optimal n’a été mis en évidence dans cette revue.

Les études cas-témoins peuvent influencer particulièrement les?résultats de performances d’un test (par effet de la présélection). Seules les études de cohorte ont été prises en compte.

ENCADRÉ 1
Variables pouvant affecter la sensibilité et la spécificité pour le “diagnostic TIP”

→ Prévalence du défaut de transfert d’immunité passive (TIP).

→ Type d’étude (cohorte versus cas-témoins).

→ Révision des publications : relecture ou non par un comité (“peer-reviewed”).

→ Âge des veaux au moment de l’échantillonnage (plus ou moins de 8 jours).

→ Test de référence standard utilisé (immunodiffusion radiale ou turbidimétrie).

→ Mesure de l’immunoglobuline (Ig) G ou d’IgG-1 pour définir l’échec de TIP.

→ Utilisation de réfractomètres optiques ou digitaux.

→ Méthodes de conservation des échantillons (réfrigérés ou congelés).

→ Type de veau étudié (laitier ou de boucherie).

ENCADRÉ 2
Influence du type d’étude sur les résultats : cas-témoins et biais spectral

Les études cas-témoins peuvent influencer particulièrement les résultats de performances d’un test : une présélection est effectuée dans la population sur laquelle les recherches vont être menées (figure) [2]. Deux groupes sont constitués : celui des veaux en échec de transfert d’immunité passive et celui pour lequel le transfert immunitaire est correct. Pareille sélection de la population et la réalisation des tests se réalisent en deux étapes. Une surestimation des performances du test est à craindre, puisque l’état de santé de l’animal est connu a priori (il a été défini au préalable comme un critère d’inclusion de cas ou de témoin). En?conditions d’utilisation pratique d’un test, cela ne sera pas le cas.

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