Aliments humides et hygiène urinaire : retour sur une évidence - Le Point Vétérinaire n° 329 du 01/10/2012
Le Point Vétérinaire n° 329 du 01/10/2012

ALIMENTATION DES CHIENS ET DES CHATS

DOSSIER

Auteur(s) : Bernard-Marie Paragon

Fonctions : Service Alimentation, ENV d’Alfort,
7 avenue du Général-de-Gaulle,
94704 Maisons-Alfort Cedex

L’alimentation du chat, petit buveur, doit lui procurer suffisamment d’eau pour prévenir les affections urinaires par la dilution. La réalisation de cet objectif nécessite souvent l’utilisation de nourriture au moins en partie humide.

Les affections du bas appareil urinaire (ABAU) représentent une composante importante des consultations vétérinaires. Aux États-Unis, elles constitueraient de 4 à 10 % de leurs motifs et atteindraient de 0,34 à 0,64 % des chats [8]. En France, dans une enquête réalisée dans 11 cliniques entre 1985 et 1991, elles ne concernaient que 2,2 % des consultations félines [19]. Ce taux est de 2,4 % à l’ENV -d’Alfort, sur l’année universitaire 2010-2011 (pour 11  167 cas) et inférieur à 1 % chez les chiens (pour 22 131 cas) [C. Maurey, communication personnelle]. Selon les statistiques du Banfield Pet Hospital, regroupant 770 structures aux États-Unis (400 000 chats et 2,1 millions de chiens en 2010), l’incidence est de 4,8 % pour les cystites félines, et inférieure à 1 % pour les ABAU des chiens [1].

Qu’il s’agisse du chien ou du chat, il est désormais admis que les caractéristiques physico-chimiques de l’urine constituent un facteur essentiel de la survenue de ces affections. C’est particulièrement le cas des formes obstructives impliquant la formation d’un urolithe (les autres formes ont souvent des composantes somatiques majoritaires).La dilution urinaire, en augmentant le volume produit et, par voie de conséquence, la fréquence des mictions, modifie les paramètres de cristallisation des substances lithogènes en jouant notamment sur le niveau de sursaturation des urines pour les différents sels en solution et facilite l’élimination des éventuels cristaux en formation. C’est un facteur de protection reconnu. Ce processus est mesuré par le ratio de sursaturation (RSS), rapport du produit d’activité d’un sel sur son produit de solubilité thermodynamique. Ce paramètre permet d’évaluer le risque de formation de calcul.

1 L’eau et son métabolisme chez les carnivores domestiques

Importance de l’eau chez les carnivores

L’eau est le composant principal des organismes animaux. De l’ordre de 60 % de la masse corporelle chez un adulte, cette teneur oscille de 75 % pour un individu maigre à 50 %, voire moins, chez un obèse (80 % chez le nouveau-né).

Véhicule des nutriments jusqu’aux différents organes et assurant l’évacuation des déchets issus de leur métabolisme, l’eau participe à toutes les grandes fonctions. C’est aussi la première urgence chronologique. Avec une alimentation humide en milieu naturel, ou à base de conserves en milieu domestique, les carnivores peuvent subsister presque sans apport d’eau en nature [5, 12, 26]. Avec une alimentation partiellement ou totalement sèche, un abreuvement devient incontournable. Surtout si les conditions ambiantes (température élevée) ou le régime alimentaire augmentent les pertes en eau (teneur en sel, teneur en fibres). C’est notamment le cas chez les individus dont la fonction rénale n’est pas optimale (individus âgés en phase initiale de décompensation rénale ou très jeunes individus dont la fonction rénale est encore immature).

L’eau est le premier des besoins nutritionnels. C’est l’équivalent d’au minimum 5 à 10 % des réserves corporelles (soit environ 30 à 60 ml/kgPC [kilo de poids corporel]) qui sont excrétées quotidiennement et doivent être compensées. Cela ne laisse que quelques jours de survie lors d’une privation complète.

L’eau est aussi le support majeur de la thermorégulation par ses propriétés physiques (chaleur spécifique et chaleur de vaporisation élevées). Les conditions de vie et d’hébergement des animaux doivent être prises en compte en raison de leur impact sur les éléments du bilan hydrique.

Les entrées

L’eau disponible pour l’organisme a une double origine ?: exogène et endogène.

L’EAU EXOGÈNE

L’eau exogène est la voie principale d’approvisionnement. Elle est constitutive de 5 à 10 % du poids des aliments secs (croquettes), et de plus de 70 % des aliments humides (conserves, produits frais). Cet apport doit être complété par de l’eau de boisson, surtout avec une alimentation majoritairement sèche. Chiens et chats n’ont pas le même comportement (photo 1). Selon Burger et coll., la quantité totale d’eau bue par un chat recevant un aliment sec n’atteint pas 50 % de celle ingérée avec un aliment humide (figure 1, photo 2) [5]. Les chiens, eux, ajustent leur consommation d’eau en fonction de l’humidité de leur ration, surtout les races de grand format (labrador) (figure 2).

Dans les conditions pratiques, selon la composition de la ration (et notamment de sa teneur en NaCl) et des conditions ambiantes, le volume d’eau bue quotidiennement varie de 40 à 80 ml/kgPC chez le chien (soit un rapport de 1 à 2), versus 20 à 60 ml/kgPC chez le chat, sans pouvoir néanmoins atteindre l’ingéré hydrique observé avec un aliment humide.

Il a été montré que les chiens et les chats peuvent vivre normalement sans abreuvement complémentaire sur un régime à base de viande ou de poissons frais (teneur en eau de 67 à 73 % ; ratio eau/matière sèche entre 2 et 2,7 ml/g). En revanche, la gestion de leur bilan hydrique devient problématique si les aliments sont partiellement séchés (teneur en eau de 59 à 63 % ; ratio eau/matière sèche entre 1,4 et 1,7 ml/g) (photo 3) [21].

L’EAU ENDOGÈNE

L’eau endogène provient de l’oxydation des éléments organiques mis à la disposition du métabolisme intermédiaire. Ce catabolisme oxydatif génère en moyenne 10 à 12 g d’eau pour 100 kcal d’énergie métabolisée, soit environ 10 g pour 100 g d’aliments humides et 40 g pour 100 g d’aliments secs. La production d’eau endogène ne peut satisfaire à elle seule le besoin hydrique global des carnivores. Elle n’en couvre que 10 % à 15 % du besoin.

Les sorties

L’eau quitte l’organisme en fonction de pertes insensibles (inévitables) et de pertes sensibles (modulables).

Chez les carnivores, les pertes insensibles sont principalement respiratoires (importantes par halètement chez le chien : 20 à 40 ml/kgPC/j) ou salivaires (plus modestes mais significatives chez le chat qui humidifie son pelage notamment par forte chaleur). Les pertes par respiration cutanée sont toujours modérées en raison de la couverture pileuse, comme d’ailleurs celles liées à la production sudorale.

Les pertes sensibles sont principalement urinaires. Elles sont prioritaires, obligatoires et régulées par l’hormone antidiurétique (ADH) dont la sécrétion est stimulée par un apport insuffisant en eau. Le système rénine-angiotensine, d’une part, et l’atriopeptine, d’autre part, modulent les mouvements de l’eau au prorata de ceux du sodium.

Dans des conditions normales, un chien produit en moyenne un volume d’urine de 20 à 40 ml/kgPC/j. Ce volume peut être significativement inférieur chez certaines races (de 15 et 20 ml/kgPC/j chez le schnauzer miniature par exemple) qui, effectuent des mictions moins fréquentes [24].

Pour un chat, l’intervalle se situe entre 15 et 30 ml/kgPC/j, parfois moins en alimentation sèche et parfois davantage chez les animaux âgés dont la fonction rénale s’est altérée, avec un volume urinaire dépassant 30 ml/kgPC/j [12, 13, 20]. Pour une hygiène optimale du bas appareil urinaire, au moins 60 % de l’eau consommée devrait être excrétée par les voies urinaires de façon à maintenir une dilution du milieu et un drainage vésical suffisant. Ce n’est pas systématiquement le cas avec les aliments secs. Ce phénomène varie avec le procédé de fabrication des aliments ou en fonction de leur richesse en protéines, en amidon ou en fibres [7, 13].

La densité urinaire se situe habituellement entre 1,015 et 1,045 chez le chien et 1,035 et 1,060 chez le chat [18]. Elle peut atteindre des valeurs plus élevées lors de déficit prolongé d’abreuvement (supérieures à 1,075 chez le chien et supérieures à 1,085 chez le chat) [27].

Les pertes fécales sont également obligatoires mais peu modulables. Elles sont indépendantes de l’humidité de la ration. Elles sont fonction de la richesse en substrats indigestibles mais fermentescibles par le microbiote digestif (anciennement appelée flore digestive) comme par exemple les fibres alimentaires solubles.

Chez les animaux prédisposés aux ABAU, il semble important de limiter ces pertes fécales en eau. Toute fuite excessive par cette voie réduit d’autant la quantité d’eau éliminée par l’urine [12]. Un équilibre entre fibres insolubles et fibres solubles doit être trouvé pour maintenir la teneur en eau des fèces dans la fourchette optimale de 60 à 75 %. Cela assure également une exonération fécale confortable.

Vers une recommandation

L’eau étant le véhicule exclusif des nutriments et déchets dans l’organisme, et le principal agent de la thermorégulation, il est logique d’asseoir une recommandation sur des paramètres prenant en compte ces deux fonctions principales.

Si les apports en eau doivent être, d’une part, en lien avec la nécessaire répartition et diffusion de la chaleur produite par le métabolisme (fonction du poids métabolique – P0,75), et d’autre part, fonction des pertes d’eau au sein de l’organisme (chez les mammifères fonction de P0,80), il est possible de rapprocher les apports nécessaires en eau de l’énergie ingérée sur une base de 1 ml d’eau par kcal consommée, pour le chien (figure 3). Le chat semble être sensiblement plus économe [22, 23].

Un lien est établi depuis longtemps entre la consommation d’aliment et d’eau [6]. Un rapport eau/matière sèche (MS) peut constituer un repère objectif simple à valider. Un ratio supérieur à 3 g d’eau/g MS consommée peut être retenu, notamment pour le chien (figure 4). C’est en concordance avec l’estimation précédente de 1 g d’eau par kcal, puisque 1 g de matière sèche apporte entre 3 et 4 kcalEM (Énergie Métabolisable).

Pour le chat, plus économe en eau à l’instar des animaux adaptés aux conditions désertiques, un ratio inférieur à 3 peut être proposé [22]. Une valeur minimale de 2 est retenue, bien que des paramètres urinaires plus favorables (tels qu’une diurèse plus élevée, ou une densité urinaire plus faible) à la prévention des ABAU soient associés à la valeur optimale de 3 [12]. Dans ce calcul doivent être intégrées à la fois l’eau bue et celle consommée avec l’aliment en tenant compte de la quantité de sel présent dans l’aliment.

Pour l’une ou l’autre estimation, il s’agit de valeurs indicatives modulables à la hausse en fonction de la gravité du risque associé à un sous-abreuvement de l’animal. Notamment s’il est prédisposé aux ABAU (surtout dans un contexte de prévention de récidives). La présence de sel surajouté en quantité significative (au-delà de 1 % de la MS) est également un facteur d’augmentation de la prise d’eau.

2 Quelles adaptations alimentaires pour une hygiène urinaire optimale ?

Une hygiène urinaire optimale passe par un ingéré aqueux maximal et une dilution urinaire suffisante. Pour ce faire, deux moyens principaux peuvent être mis en œuvre séparément ou conjointement : un recours à des rations humides et/ou l’addition de sel (NaCl).

Humidité des aliments et gestion du risque ABAU

Il ressort des nombreuses publications comparant aliments secs et aliments humides que le ratio eau (g)/MS (g) consommées est clairement plus protecteur car plus élevé avec les aliments humides.

CHEZ LE CHAT

Le chat ne peut compenser totalement la faiblesse en eau intrinsèque des aliments secs. La concentration de ses urines reflète cette incapacité (tableau 1).

Ce constat a conduit à l’implication des aliments secs comme facteur de risque pour les chats prédisposés aux ABAU [4]. Le passage à une alimentation humide réduit la prévalence des cystites tant obstructives qu’idiopathiques chez le chat [17].

Une récente publication complète cette approche (tableau 2) [3]. Les auteurs ont ajouté une quantité croissante d’eau à une base alimentaire sèche unique, de telle sorte que l’humidité de la ration passe de 6,3 % (aliment sec) à 25,4 % puis 53,2 % et finalement 73,3 %. L’impact de cette humidité croissante a été apprécié sur les paramètres urinaires (volume et densité) et l’ingéré hydrique quotidien de 6 chats sains.

Avec l’accroissement de l’humidité contenue dans l’aliment, la quantité d’eau bue diminue (elle est divisée par 6). Mais l’ingéré hydrique total augmente (+ 30 % environ pour la ration la plus humide par rapport aux trois autres), de même que le ratio eau/matière sèche (il passe de 1,6 à 3). Par ailleurs, le volume urinaire s’accroît alors que la densité urinaire diminue (confirmant en tous points les observations antérieures de Gaskell) [9]. Cela conduit parallèlement à une réduction significative du niveau de sursaturation des urines, notamment vis-à-vis de l’oxalate de calcium.

CHEZ LE CHIEN

Une étude similaire a été conduite par les mêmes auteurs chez le chien [2]. Ils ont associé une quantité croissante d’un aliment humide (H) à un aliment sec (S) sur la base de leur valeur énergétique respective afin d’obtenir quatre régimes : 1) 100 % S ; 2) 75 % S/25 % H ; 3) 50 % S/50 % H et 4) 100 % H. L’humidité de la ration passe ainsi de 6,6 % à 25 % puis 43 % et finalement 80 % (tableau 3).

L’effet de cette humidité croissante a été apprécié sur les paramètres urinaires (volume et densité) ainsi que sur le niveau de sursaturation en oxalate de calcium et l’ingéré hydrique quotidien de 5 chiens sains appartenant à des races de petit format et connues pour leur prédisposition aux lithiases urinaires à oxalates de calcium.

Avec l’accroissement de la part de l’aliment humide, une tendance non significative à l’augmentation du volume urinaire est observée alors que la densité urinaire diminue. Cela peut expliquer la réduction significative du niveau de sursaturation de l’urine en oxalate de calcium. Ces résultats complètent des données publiées antérieurement par la même équipe, soulignant l’influence bénéfique d’une alimentation humide sur les paramètres urinaires de chiens de différents formats [25]. De cet essai, comparant deux aliments (A : sec, 7 % humidité versus B : humidifié, 73 % humidité), il ressort que le B accroît la consommation totale d’eau et le volume urinaire de 30 % environ, et décroît la densité urinaire. Cet effet est plus net et particulièrement intéressant chez les races miniatures (schnauzers nains) en raison de leur production urinaire particulièrement réduite (tableau 4). Chez eux, le niveau de sursaturation des urines en oxalate de calcium se trouve réduit de façon significative.

Au final, il apparaît que l’accroissement de l’ingéré hydrique exerce, à lui seul, un effet déterminant sur les paramètres urinaires. C’est une mesure préventive majeure des ABAU chez le chat et le chien, par dilution des composants lithogènes présents dans l’urine et par abaissement du taux de saturation à un niveau permettant de limiter le risque de cristallisation.

Addition de sel (NaCl) et gestion du risque ABAU

Chez le chat et le chien, le lien entre taux de sodium alimentaire et consommation d’eau est bien documenté, le sel stimulant la soif [6].

CHEZ LE CHAT

D’une façon constante chez le chat, avec un apport en sel qui augmente, il est observé un accroissement corrélé de l’ingéré hydrique et du volume urinaire, et une baisse de la densité urinaire (tableau 5) [10, 15, 16, 28]. Ceux dont la fonction rénale est dégradée répondent de façon plus aléatoire et ne peuvent recevoir qu’un enrichissement prudent [15].

CHEZ LE CHIEN

De façon moins nette, le chien accroît sa consommation hydrique avec l’augmentation de l’ingéré sodique [5]. L’enrichissement en sel est également corrélé à un volume urinaire accru, sans impact notable sur la densité urinaire, mais avec un abaissement significatif le niveau de sursaturation en oxalate de calcium (chez le labrador comme chez le schnauzer nain). Un taux de sodium de 0,3 g/100 kcal remplit parfaitement cet objectif sans risque collatéral identifié [25]. Il ne paraît ni justifié ni opportun de dépasser cette valeur.

Conclusion

La consommation d’eau associée à une alimentation humide totale ou partielle (mixed feeding) a des conséquences positives sur les paramètres urinaires des carnivores domestiques (volume urinaire accru et densité réduite) (photo 4). Elle diminue significativement le risque d’ABAU en réduisant le niveau de sursaturation des urines. Cette composante peut être renforcée par la présence de sel à un niveau significatif, cette seule addition jouant également un rôle bénéfique incontestable sur la prévention du risque d’ABAU associé au régime constitué d’aliments secs. Au vu des données publiées, il semble opportun, dans les races et pour les individus à risque ABAU, de privilégier une alimentation humide au moins partielle, sans pour autant négliger l’importance d’autres facteurs (niveau de saturation des urines et pH urinaire).

Références

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