La détection d’un inconfort de couchage à partir d’une évaluation diagnostique globale - Le Point Vétérinaire expert rural n° 313 du 01/03/2011
Le Point Vétérinaire expert rural n° 313 du 01/03/2011

LE SUIVI INTÉGRÉ EN ÉLEVAGE

Cas clinique

Auteur(s) : Luc Mounier*, Laurent Alves de Oliviera**, Marie-Anne Arcangioli***, Joos PTM Noordhuizen****

Fonctions :
*Groupe de médecine des populations, VetAgro Sup
Campus vétérinaire de Lyon
UR 1213 herbivores, Inra
ENV de Lyon, 1, avenue Bourgelat,
69280 Marcy-L’Étoile
**Groupe de médecine des populations, VetAgro Sup
Campus vétérinaire de Lyon
ENV de Lyon, 1, avenue Bourgelat,
69280 Marcy-L’Étoile
***Groupe de médecine des populations, VetAgro Sup
Campus vétérinaire de Lyon
ENV de Lyon, 1, avenue Bourgelat,
69280 Marcy-L’Étoile
****Groupe de médecine des populations, VetAgro Sup
Campus vétérinaire de Lyon
ENV de Lyon, 1, avenue Bourgelat,
69280 Marcy-L’Étoile

Un inconfort de couchage peut être à l’origine de troubles de la reproduction ou de la production laitière. Une évaluation diagnostique globale a permis de mettre en évidence cet inconfort non détecté par l’éleveur.

L’apport d’un abord global en élevage dans le traitement d’affections multifactorielles est maintenant bien établi. À partir d’un cas pratique, cet article montre qu’une telle approche, associée à une observation du comportement des bovins, peut aider à la résolution de troubles plus variés, tels que, par exemple, un inconfort de couchage avec des répercussions sur la production des animaux [5].

Dans notre approche de l’élevage, nous suivons les étapes établies par Arcangioli et coll. et Mounier et coll. [1, 6].

DESCRIPTION DE L’ÉLEVAGE

Il s’agit d’un élevage de la région Rhône-Alpes de 30 vaches laitières de race prim’holstein logées en stabulation libre à logettes, avec un quota de 170 000 l de lait. Le premier vêlage a lieu à l’âge de 24 mois et le pourcentage de primipares est d’environ 20 %.

1. Visite de l’élevage

Le 12 janvier, l’éleveur prend rendez-vous car il a constaté une mauvaise consommation alimentaire et une baisse de la production de lait à la suite de la rentrée à l’étable. Il s’interroge également sur les performances de reproduction, qui ne lui semblent pas satisfaisantes.

Pour répondre à la demande de l’éleveur, nous décidons d’aborder les troubles dans leur globalité. Pour cela, nous suivons la démarche structurée déjà décrite [6]. Celle-ci débute par une confirmation du problème soulevé par l’éleveur et, s’il est avéré, la visite se poursuit par une analyse plus approfondie des affections et des facteurs de risque associés.

La confirmation du problème s’effectue grâce à une évaluation diagnostique globale de l’élevage (EDG), décrite par Arcangioli et coll., à savoir une évaluation des animaux, de leur environnement et des documents d’élevage disponibles [1].

Observation des animaux

Pour l’évaluation des animaux, même si une observation globale de l’ensemble du troupeau est souvent préconisée, il est parfois intéressant de focaliser son attention plus particulièrement sur certains groupes d’individus. En effet, une évaluation globale satisfaisante peut masquer des disparités très importantes entre les différents groupes. Ainsi, lorsque des troubles de la reproduction sont suspectés, l’évaluation doit s’effectuer en tenant compte des stades de lactation, avec une préférence pour l’observation des vaches en début de lactation ou au tarissement [2]. Dans ce cas, nous avons distingué les vaches en tout début de lactation (0 à 50 jours après vêlage), au pic (50 à 70 jours après vêlage) et en fin de lactation (+ de 200 jours après vêlage), ainsi que celles en fin ou en cours de tarissement. Cette approche permet de se faire une idée de la gestion de l’alimentation dans l’élevage. Il convient d’évaluer la transition alimentaire autour du vêlage par l’intermédiaire de sa répercussion sur l’état corporel des animaux, l’éventuelle présence d’un déficit énergétique en début de lactation. En effet, la période de transition de la gestation à la lactation, c’est-à-dire les 3 semaines précédant et suivant le vêlage, est une phase critique du cycle. La principale diminution du bilan énergétique se produit au cours des 3 premières semaines de lactation, avec une perte d’état corporel conséquente pendant au moins 50 jours [4].

Pour gagner du temps, il peut être utile, au préalable, de faire le tour des vaches avec l’éleveur et de les différencier, à l’aide d’un crayon marqueur, en fonction du groupe “stade de production” auquel elles appartiennent.

Cette EDG donne les résultats suivants : les notes d’état corporelles ainsi que celles de remplissage du rumen sont trop basses pour les vaches en début de lactation. De plus, la diminution des notes d’état est supérieure à 1 point entre la fin de gestation et le pic de lactation (tableau 1).

En plus de ces observations classiques, des protubérances à l’aspect de “bosses” au niveau des apophyses épineuses ont été notées chez une grande majorité d’animaux (photo 1).

Une fois ces caractérisations effectuées, nous demandons à l’éleveur de lâcher les bêtes pour évaluer leur motricité. Malgré la forte proportion de vaches panardes et quelques individus présentant des difficultés locomotrices, aucune boiterie manifeste n’a été notée.

Une dernière phase importante de l’évaluation des animaux concerne leur comportement, notamment lors du couchage. La règle est que l’observateur ne doit pas interférer. Il est donc recommandé de sortir de l’aire d’exercice et d’attendre 5 à 10 minutes avant d’enregistrer le comportement naturel.

Dans cet élevage, de nombreuses vaches hésitent à se coucher et restent debout, immobiles ou en ruminant (environ 40 % des animaux), même après un long moment après la distribution de l’aliment (photo 2). En temps normal et en stabulation libre, qu’elle soit paillée ou composée de logettes, une vache met entre 5 et 10 secondes à se coucher (sans hésitation et sans rester debout dans la logette) et plus de 90 % des animaux doivent ruminer en position allongée 2 heures après la distribution de l’alimentation.

Observation de l’environnement et l’analyse des données

En plus de l’observation des animaux, l’EDG comprend une évaluation de l’environnement et une analyse des données d’élevage disponibles (trois derniers contrôles laitiers, bilan de reproduction, carnet sanitaire). Cette étude peut être réalisée préalablement à la visite ou ultérieurement, une fois rentré au cabinet.

Ici, l’observation de l’environnement met en évidence un nombre de couchages, d’accès à l’auge, et une longueur d’abreuvoir suffisants par rapport aux normes recommandées (une place de couchage au moins et un accès à l’auge par animal, 60 cm d’abreuvoir linéaire pour 10 vaches, avec au minimum deux points d’eau). La largeur du couloir d’alimentation est relativement étroite (3,5 m, alors que la norme est de 4 m au minimum ; 2 vaches doivent pouvoir se croiser pendant qu’une autre mange). Les vaches quittent prématurément l’aire d’alimentation alors qu’il reste encore une quantité importante de nourriture dans l’auge. Les logettes sont en béton, propres et bien paillées. L’ambiance générale du bâtiment est correcte bien que l’aire de raclage ne soit pas suffisamment propre.

L’analyse des documents, récupérés avant la visite, révèle un intervalle vêlage-vêlage allongé, notamment en raison d’un intervalle vêlage-première insémination artificielle trop long. Cela peut s’expliquer par une difficulté d’expression ou de détection des chaleurs. Cette hypothèse semble confirmée par le faible pourcentage de chaleurs observées rapidement après vêlage (seulement 39 % de chaleurs observées avant 70 jours de lactation) et par la forte irrégularité des intervalles entre les chaleurs ou les inséminations (32 % d’intervalles irréguliers). De plus, de nombreuses chutes de production et des rapports taux butyreux/taux protéique (TB/TP) augmentés (> 1,4) pour les vaches en début de lactation, en lien probable avec l’amaigrissement constaté, sont notés (tableau 2).

2. Confirmation du trouble et hypothèses de départ

D’après notre analyse globale, nous constatons effectivement une baisse de production, des performances de reproduction non satisfaisantes et des vaches qui ne se trouvent pas en état de début de lactation, ce qui traduit le manque d’ingestion rapporté par l’éleveur. Deux éléments principaux peuvent être à l’origine de ces dysfonctionnements : un probable déficit énergétique en début de lactation et un défaut de confort de couchage.

Le déficit énergétique en début de lactation a pour conséquences un amaigrissement des vaches, des chutes de production et une difficulté d’expression ou de détection des chaleurs. Durant cette période, ce déficit dépend beaucoup plus de l’ingestion d’énergie que de la dépense énergétique pour la production de lait. En effet, la production laitière du premier mois dépend essentiellement du niveau génétique de l’animal. Si l’aliment ne fournit pas assez d’énergie pour la production, en revanche, celle-ci ne baisse pas dans un premier temps, mais la vache puise dans ses réserves pour produire. Or l’apport d’énergie dépend de la densité énergétique de la ration servie et surtout de la quantité ingérée. Ici, le déficit énergétique, s’il est confirmé, pourrait être dû soit à un déséquilibre de la ration, soit à une mauvaise transition au vêlage, ou alors à une consommation insuffisante des vaches, notamment en début de lactation.

Le défaut de confort de couchage peut être à l’origine des maladies de pied, qui joueraient un rôle sur la mauvaise expression des chaleurs. Il est suspecté par la faible motivation des vaches à aller se coucher, par leur état de propreté (elles se couchent peu dans les logettes) et par les lésions sur le dos des animaux qui méritent un examen plus approfondi, mais font penser à des chocs répétés avec les barres de séparation des logettes. De plus, ce défaut de couchage pourrait diminuer le temps de la rumination et la motivation des animaux à se relever pour aller manger, et ainsi accroître le déficit énergétique.

Pour confirmer nos hypothèses, nous décidons alors de procéder à une analyse plus approfondie de la situation, notamment par une confirmation du déficit énergétique, une vérification de la ration des animaux et une observation détaillée du couchage des vaches, associée à un examen des lésions présentes sous les pieds des bovins.

ANALYSE APPROFONDIE ET FACTEURS DE RISQUE ASSOCIÉS

1. Confirmation du déficit énergétique

Pour confirmer la présence d’un déficit énergétique chez les vaches en début de lactation, nous procédons à un dosage de OH dans le sang grâce au lecteur Optium Xceed® pour 5 bêtes choisies parmi celles qui présentent des rapports TB/TP supérieurs à 1,4. Les résultats (4 vaches avec des dosages OH supérieurs à 1,2 mmol/l) confirment la présence d’un déficit énergétique en début de lactation.

2. Analyse de la ration

La vérification de la ration réellement distribuée et de la gestion de la transition alimentaire au vêlage indique que la ration est correctement suivie et la transition bien effectuée avec une bonne consommation de matière sèche dans les semaines précédant le vêlage. Pour le contrôle de la ration, il est parfois intéressant d’être conseillé par un collègue spécialisé.

3. Examen approfondi du confort de couchage

Pour cet examen approfondi, 20 % du troupeau doit être observé. Cela représente au minimum une dizaine de vaches pour lesquelles les mouvements de coucher et/ou de relever, les hésitations à se coucher, la position dans la logette ou en dehors de la logette sont notés. En effet, si la vache présente des difficultés à se coucher ou à se relever, elle va hésiter. Or une vache dans un logement correct se relève et se couche très fréquemment, jusqu’à vingt fois par jour, quand elle est proche du vêlage. Donc en cas d’hésitation, elle va augmenter son temps passé debout. Dans cet élevage, de nombreuses vaches (30 à 40 %) restent de longues périodes debout dans la logette avant d’essayer de se coucher et, lorsqu’elles s’allongent, leur comportement est plus hésitant que celui habituellement observé (figure). De plus, lors du coucher, ces vaches se cognent sous la barre de séparation, ce qui explique les masses sur le dos (photo 3).

Lors du mouvement de relever, les animaux sont obligés de passer l’encolure sous la barre de séparation dans la mesure où ils n’ont pas l’espace suffisant pour balancer la tête en avant (mouvement de balancier nécessaire pour soulever l’arrière-train). L’éleveur, conscient que les logettes étaient trop courtes, avait relevé la barre inférieure de séparation pour dégager un espace pour la tête. Si cette précaution a permis d’apporter une solution à la vache lors du relevé, elle semble être à l’origine du choc des animaux contre les barres.

La mesure des logettes effectuée grâce à un télémètre laser confirme nos observations. En effet, celles-ci font 215 cm alors que, placées face à un mur, leur dimension devrait atteindre au minimum 260 cm. C’est l’observation des animaux qui nous a orientés sur un défaut de couchage et non la mesure des logettes, réalisée a posteriori seulement.

Cette mise en évidence de l’inconfort de couchage nous incite à examiner plus attentivement la locomotion et les lésions présentes chez les animaux que lors de notre première analyse globale. Pour cela, nous décidons de faire passer toutes les vaches devant nous sur une longueur suffisante et sur un sol dur. Le couloir de sortie de traite ou celui de sortie de stabulation, si les vaches sortent et que le sol est en bon état, sont souvent de bons endroits d’observation. Cette approche confirme notre observation rapide. Les vaches expriment de légers troubles de locomotion sans que cela soit très visible. Lors de cet examen approfondi des animaux, nous constatons également des lésions aux jarrets que nous n’avions pas remarquées la première fois, ainsi que la présence de fourchet et de fourbure sur les pieds que nous avons soulevés.

NOTRE ANALYSE GLOBALE

Notre conclusion à l’issue de cette visite avec analyse approfondie est la suivante : le souci majeur vient principalement de l’inconfort de couchage et touche plus particulièrement les vaches en début de lactation.

Les logettes sont trop courtes et engendrent des difficultés au relevé et au coucher, ainsi que la présence de bosses sur la ligne de dos. Cet inconfort entraîne une faible motivation des vaches à se coucher, donc une diminution du temps passé couché, notamment pour les bêtes en début de lactation. En effet, les vaches qui réintègrent le troupeau sont souvent subordonnées (dominées), et il a été montré que, même lorsqu’il existe une logette par animal, les bêtes subordonnées passent moins de temps couchées et plus de temps debout à ne rien faire ou debout à moitié (les deux membres thoraciques dans la logette, les deux membres pelviens à l’extérieur) dans la logette [3]. Dans notre cas, nous pouvons penser que l’inconfort associé à la compétition est plus particulièrement handicapant pour les vaches en début de lactation.

L’augmentation du temps passé debout, notamment sur un sol mal raclé, accroît les maladies podales telles que le fourchet et la fourbure. Ces affections sont à l’origine de douleur chez les animaux et d’une moins bonne expression des chaleurs.

De plus, cette douleur est exacerbée dans cet élevage par la présence d’une marche de 10 cm de hauteur devant les cornadis, qui augmente le poids sur les membres postérieurs lors de l’accès à l’auge. Elle peut entraîner une diminution du temps passé à s’alimenter et être à l’origine de la baisse de la consommation des animaux mise en évidence par le faible remplissage de leur rumen (note proche de 2) et par l’excès dans l’auge.

Cette baisse de consommation est accentuée par une compétition alimentaire forte qui perturbe plus facilement les vaches (et les primipares) en début de lactation. Cette compétition est aggravée par l’étroitesse du couloir derrière le cornadis.

La diminution de consommation explique le déficit énergétique et ses conséquences sur la production et la reproduction. La faible expression des chaleurs est également à mettre en relation avec les douleurs podales présentes chez les animaux.

SOLUTIONS À APPORTER

Le principal point à corriger est le confort de couchage des vaches. Plusieurs solutions contraignantes peuvent êtres envisagées :

– passer en stabulation paillée, au lieu de logettes ;

– allonger la taille des logettes et ajouter un arrêtoir au sol pour que les vaches aient suffisamment d’espace pour se relever. La taille du couloir entre les logettes étant déjà limitée, cette amélioration ne peut être envisagée à court terme dans cette exploitation sans des modifications majeures. Des solutions alternatives doivent donc être envisagées en attendant une réelle résolution du problème.

Nous avons donc préconisé d’augmenter le raclage du sol et de passer à, au moins, deux raclages par jour pendant la durée d’hivernage des animaux (cette fréquence reste insuffisante, mais nous avons préféré recommander dans un premier temps une action que l’éleveur pouvait mettre en place). De plus, nous avons proposé la suppression de la marche devant les cornadis pour limiter le poids sur les postérieurs et soulager les animaux lorsqu’ils sont en train de s’alimenter. Enfin, nous conseillons l’installation d’un pédiluve (après avoir bien expliqué les règles de fonctionnement et d’hygiène élémentaires à son bon usage) et le parage de l’ensemble du troupeau au moins une fois par an. Ces solutions devraient limiter les affections podales et diminuer la douleur ressentie par les vaches lorsqu’elles s’alimentent.

Parallèlement, nous avons proposé à l’éleveur d’essayer de rendre les logettes un peu plus attrayantes. Pour cela, nous l’avons encouragé à continuer de bien les pailler et lui avons préconisé qu’il étudie une solution pour éviter que les vaches ne se cognent aux barres de séparation lorsqu’elles se relèvent ou se couchent. La meilleure solution serait de relever encore la barre au niveau de la tête (pour que les vaches disposent de l’espace nécessaire au mouvement de balancier lorsqu’elles se lèvent), tout en l’abaissant au niveau de l’arrière de l’animal. La barre de séparation ne serait alors plus rectiligne, mais ferait un décroché. Cette solution, certes contraignante pour l’éleveur, est celle qui nous paraît la plus adaptée en termes de coût, de temps de travail et de possibilité dans le bâtiment.

Enfin, nous avons conseillé de bloquer réellement les vaches au cornadis après la traite afin que les bêtes subordonnées (et les génisses) soient moins dérangées et puissent s’alimenter plus longuement.

Nous sommes bien conscients que ces mesures ne sont que transitoires. Il convient donc d’informer l’éleveur de l’intervalle de temps nécessaire pour améliorer la situation. Nous lui avons donc donné rendez-vous pour une série de nouvelles visites dans quelques mois afin d’évaluer le résultat de nos préconisations. Si l’éleveur est en suivi de reproduction mensuel, les EDG pourront être réalisées à cette occasion afin de vérifier l’amélioration des résultats.

Conclusion

Une démarche structurée associée à l’observation du comportement sont une aide précieuse pour le vétérinaire lors d’une visite d’élevage. L’exemple est ici donné pour un défaut de confort de couchage, mais une telle association peut être utilisée pour bien d’autres troubles tels que des situations de compétitions exacerbées ou encore des problèmes d’ambiance dans un bâtiment.

Références

  • 1. Arcangioli MA, Mounier L, Alves de Oliviera L et Noordhuizen JPTM. Approche méthodologique de la visite d’élevage. Point Vét. 2009;40:9-14.
  • 2. Brand A, Noordhuizen JPTM et Schukken YH. Herd health and production management in dairy practice. 2e ed. Ed. Wageningen Academic Publishers. Wageningen, Pays-Bas. 2001;543p.
  • 3. Galindo F et Broom DM. The relationship between social behavior of dairy cows and the occurrence of lameness in three herds. Res. Vet. Sci. 2000;69:75-79.
  • 4. Lefebvre D. D’une lactation à l’autre : pour une transition réussie. 33e Symposium sur les bovins laitiers, Drummondville. 2009. http://www.agrireseau.qc.ca/bovinslaitiers/documents/Lefebvre_D_AR.pdf
  • 5. Mounier L. Comportement animal : introduction à son observation chez les bovins. Le Nouv. Prat. 2009;3(12):11-16.
  • 6. Mounier L, Arcangioli MA, Alves de Oliviera L et Noordhuizen JPTM. Analyse des boiteries en élevage bovin laitier. Point Vét. 2009;40:39-44.

Points forts

→ Pour confirmer un trouble d’élevage, une évaluation diagnostique globale de l’élevage (EDG) doit toujours être réalisée.

→ Les mouvements de coucher et de relever, les hésitations, la position dans la logette ou en dehors sont observés pour estimer le confort des animaux.

→ L’apport d’énergie dépend de la densité énergétique de la ration servie et, surtout, de la quantité ingérée.

→ Les affections de pied jouent un rôle important dans la mauvaise expression des chaleurs.

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