Affections des structures profondes des doigts - Le Point Vétérinaire expert rural n° 309 du 01/10/2010
Le Point Vétérinaire expert rural n° 309 du 01/10/2010

LES MALADIES DU PIED DES BOVINS

Article de synthèse

Auteur(s) : Nora Grasmuck

Fonctions : Cabinet vétérinaire
14, rue du Gey
25440 Quingey

L’arthrite septique du doigt, la fracture de la troisième phalange et l’entorse sont les atteintes profondes les plus fréquentes chez les bovins.

Cet article complète les études consacrées aux maladies du pied du bovin publiées dans les deux derniers numéros. Il vient clôturer ce thème en traitant des affections des organes profonds des doigts. L’article aborde les symptômes et les lésions observables pour chaque maladie. Les possibilités thérapeutiques ne sont pas évoquées.

L’objectif est de proposer une démarche diagnostique globale, ne concernant que les atteintes de la région digitale, et non exhaustive des atteintes profondes des doigts. Contrairement aux maladies podales présentées dans les deux articles précédents, les signes d’appel et les lésions sont plus frustes et moins spécifiques. Trois diagrammes proposent une orientation diagnostique selon le type de boiterie et la localisation de l’inflammation lors de déformation majeure de la région digitale.

MALADIES INFECTIEUSES

L’origine est presque toujours une effraction de la boîte cornée mal soignée (contusion de la sole, cerises, pododermatite traumatique septique, etc.). L’arthrite septique est l’infection podale profonde la plus fréquemment rencontrée. L’agent pathogène le plus souvent isolé en cas d’arthrite septique interphalangienne distale est Arcanobacterium pyogenes. Fusobacterium necrophorum est associé aux atteintes profondes. Des staphylocoques et des streptocoques peuvent s’associer [10].

1. L’arthrite septique du doigt

L’arthrite septique est une inflammation purulente et aiguë d’une articulation. Les articulations interphalangienne distale (IPD) et du boulet (métatarso- ou métacarpo-phalangienne) sont les plus fréquemment atteintes. La localisation IPD est la plus courante des arthrites septiques mono-articulaires chez les adultes [10].

C’est une affection sporadique. L’infection est introduite dans l’articulation soit directement par une blessure locale (primaire, ou “clou de rue”), soit à partir d’un processus infectieux au voisinage de la gaine digitale (secondaire), soit à la suite d’une pyohémie responsable d’une polyarthrite (tertiaire, par voie hématogène).

L’évolution et le pronostic sont des plus mauvais en cas de négligence, car seule une prise en charge chirurgicale permet de drainer l’ensemble des bactéries et des tissus nécrosés après une semaine d’évolution. Des infections systémiques sérieuses sont à redouter [9].

L’arthrite IPD est le plus souvent secondaire, c’est-à-dire provoquée par contiguïté. Les affections primaires sont des maladies podales telles que le fourchet, le panaris, la fourbure, la ténosynovite, des traumatismes, des plaies de décubitus, des infections pulmonaires, mammaires ou utérines, des atteintes infectieuses générales ou une contamination septique à l’occasion d’une arthrocentèse [10]. L’arthrite interphalangienne distale peut être rencontrée lors du syndrome de polyarthrite chez le jeune veau à partir d’une infection omphalique primitive qui migre par voie hématogène.

L’arthrite du boulet est relativement rare. L’articulation est assez bien protégée des traumatismes, en raison de l’épaisseur de la capsule articulaire, de la présence des tendons et de leur gaine, en faces postérieure et antérieure [9].

Le phlegmon interdigital et les seimes sont, semble-t-il, les affections les plus fréquemment à l’origine d’une arthrite. La perforation directe de la sole l’est plus rarement. Dans ce cas, l’infection s’étend plutôt dans la région péri-articulaire [7].

Le pus produit dans l’articulation peut s’échapper par un orifice qui correspond soit au point de pénétration de l’infection, soit à sa proximité. Le drainage naturel ne dure en général que peu de temps, car un tissu de granulation obstrue cet orifice et le pus s’accumule en augmentant la pression. Pour cette raison, l’inflammation est transmise à la peau de la partie axiale de la couronne. C’est aussi sur cette face que l’articulation est la plus superficielle : des fistules apparaissent environ 10 jours après le début de l’infection.

Éléments diagnostiques

Le signe d’appel est une boiterie intense sans appui. Une hyperthermie, une diminution de l’appétit et une perte de poids considérable suivent rapidement la boiterie. La lésion primaire est ancienne, si toutefois elle est rapportée [6, 7]. Si l’évolution est avancée, le signe d’appel est un animal en décubitus à la suite d’une endotoxémie. L’évolution est mortelle à ce stade [9].

Différents signes cliniques sont observés : un gonflement et une chaleur de l’ensemble de la couronne et de la peau adjacente, une douleur vive à la percussion, à la pression et à la mobilisation de la région distale du doigt, en particulier à hauteur de la couronne. Malgré tout, il est difficile de localiser précisément la douleur, sinon dans la partie palmaire du talon. Il se produit parfois un écoulement de pus à partir d’une fistule qui apparaît sur n’importe quelle face du pied. Cette fistule peut être sondée directement jusqu’à l’articulation. À l’examen des onglons et de l’espace interdigital, il est possible d’identifier la lésion d’origine, du moins dans un objectif pédagogique [7].

Dans le cas de l’arthrite du boulet, l’enflure est symétrique et centrée sur le boulet. Les articulations atteintes sont chaudes et douloureuses.

Si un examen radiographique est réalisable, l’intérêt en est de juger du stade d’évolution de l’arthrite lorsqu’un traitement chirurgical est envisagé (conditions idéales). Les lésions radiographiques sont observables entre 7 et 14 jours après le début de l’infection. Les incidences dorso-palmaires et de profil, éventuellement les clichés interdigitaux, montrent des lésions osseuses lors d’arthrite septique avancée : destruction des surfaces articulaires et diminution de densité de l’os sous-jacent. Si aucune lésion osseuse n’est notée, le cas est peu avancé, mais l’hypothèse d’une infection articulaire est confirmée par une augmentation de l’espace articulaire. À ce stade, la formation d’exostoses est visible en périphérie de l’articulation.

Les lésions radiographiques sont identiques pour l’arthrite du boulet.

Évolution, complications

Si l’infection progresse, elle peut provoquer la destruction nécrotique de l’insertion du tendon fléchisseur profond du doigt sur la phalange distale. La proximité de l’articulation interphalangienne distale et de l’insertion tendineuse est telle que la rupture du fléchisseur profond est presque toujours associée à l’arthrite septique IPD.

En fin d’évolution, une volumineuse déformation de l’ensemble de la région digitale ou “pied en massue” peut être observée (photo 1) [8].

Dans les cas les plus défavorables, les ligaments interdigitaux collatéraux et distaux, le ligament digital axial, l’os sésamoïde distal et sa bourse, ainsi que le tendon fléchisseur profond et sa gaine sont progressivement détruits. Cette extension active de l’infection est appelée pododermatite profonde. Parfois, la périostite et l’ostéite progressent le long de la face dorsale de la phalange moyenne jusqu’à l’articulation interphalangienne proximale. L’atteinte de cette articulation est aussi possible à partir de la gaine du tendon fléchisseur profond. L’infection peut alors gagner les structures du doigt jusqu’à l’articulation du boulet et passer sur l’autre doigt. Enfin, la migration des agents infectieux trouve parfois un support cardiaque après une phase de pyohémie [6].

Un écoulement de pus épais jaune à vert caractérise une atteinte des tissus profonds lors de ténosynovite, d’arthrite et d’ostéomyélite [2, 5, 10]. Les septicémies sont rares.

2. Autres infections profondes des doigts

Dans l’intérêt de la décision thérapeutique et pronostique, il est utile d’identifier le tissu profond qui est atteint. La bursite septique, l’abcès rétro-articulaire du talon, la ténosynovite digitale et les ostéomyélites sont des affections profondes plus rares que l’arthrite septique. Il peut être cependant intéressant de décrire les différences lésionnelles observables (tableau 1).

Dans tous les cas, la boiterie est intense et une déformation est toujours observée lors de l’examen à distance. Sur le terrain, le pronostic est souvent sombre, sauf peut-être dans le cas de l’ostéomyélite de la troisième phalange.

Bursite septique

La bursite septique correspond à l’inflammation purulente de la bourse petite sésamoïdienne (interstice entre le tendon du fléchisseur profond et l’os petit sésamoïde). Elle est presque toujours secondaire à l’infection des tissus voisins : arthrite septique IPD, ténosynovite septique, maladie de la ligne blanche, panaris, etc. L’animal atteint de bursite a présenté une boiterie du même membre plusieurs semaines auparavant.

La boiterie n’est pas spécifique mais intense, presque sans appui ou avec le pied posé en pince. Une importante déformation du pied est visible, en région plantaire de la couronne, localisée uniquement au talon. La flexion du doigt soulage partiellement, alors que l’extension du doigt intensifie la douleur.

Le pronostic est sombre, car la maladie est déjà la complication septique d’une affection ancienne [9].

Abcès rétro-articulaire du talon

Cet abcès a la particularité de se situer au-dessus du coussinet digital, au contact de la phalange moyenne et de l’articulation ipd. Comme dans les cas des arthrites septiques et de la bursite septique, cette affection est liée aux mêmes entités pathologiques primaires. Malgré tout, elle est assez rare. Cette fois, la flexion comme l’extension sont douloureuses. Le gonflement visible, caractéristique, est nettement saillant et localisé au talon, au-dessus de la couronne. L’abcès est toujours volumineux mais profond, si bien que la fluctuation n’est pas perceptible. Si une fistule est trouvée, elle prendra le chemin de la lésion primaire.

Le pronostic est sombre [9].

Ténosynovite digitale

La ténosynovite digitale correspond à une inflammation de la gaine tendineuse digitale qui enveloppe les tendons fléchisseurs profonds et superficiels des doigts. Si elle n’est pas simplement traumatique, elle est septique par voie hématogène ou par extension. Les affections de la sole ou de la jonction entre la sole et le talon sont les plus fréquemment en cause, suivies des panaris et de l’abcès rétro-articulaire. Le gonflement se situe dans la région immédiatement au-dessus des ergots, du moins en début d’évolution. Le trajet de la gaine digitale est douloureux. La synovie (récoltée par ponction ou échappée d’une fistule) est claire ou purulente selon le stade. Le pronostic est bon seulement si aucune articulation n’est gagnée par l’infection [9, 1].

Ostéites septiques et ostéomyélites

Le processus septique atteint le plus souvent la troisième phalange. Les causes sont fréquemment des ulcères compliqués de la sole, des complications de fourbure chroniques, parfois des panaris, un abcès rétro-articulaire, etc. L’onglon atteint est nettement plus chaud que son voisin, la pression de la boîte cornée en pince est douloureuse. La couronne est enflée, parfois percée d’une fistule purulente. Le traitement chirurgical est abordable et efficace à condition d’être réalisé à temps [7, 12].

MALADIES NON INFECTIEUSES

Les fractures, les entorses, les luxations et subluxations, la périostite digitale péri-articulaire et l’ostéochondrite disséquante sont des atteintes non infectieuses et rares des articulations distales (tableau 2).

1. Fracture de la troisième phalange

Ce type de fracture concerne plutôt les animaux jeunes et les onglons des membres antérieurs sont les plus fréquemment atteints. La cause courante est traumatique. Le signe d’appel est une boiterie d’apparition brutale et sévère et l’animal est souvent couché. Si la fracture concerne le doigt interne, le membre est posé en adduction, en abduction si le doigt externe est atteint. Aucune augmentation de volume n’apparaît au-dessus de la couronne correspondante. La percussion et la mobilisation du doigt sont douloureuses [9, 14].

Le diagnostic différentiel inclut la fourbure aiguë (les autres onglons sont chauds), une pododermatite traumatique septique, un panaris et une seime.

La cicatrisation est possible en un mois. Le pronostic est plutôt favorable.

2. Entorse

Elle correspond à une distension des ligaments d’une articulation d’origine traumatique (bousculade, glissade, chute). La douleur est vive d’emblée, accompagnée d’une boiterie avec appui. L’entorse du boulet est marquée par une enflure de la région, alors que dans le cas des entorses des articulations interphalangiennes les doigts enflent peu. À la mobilisation, la douleur est faible : l’animal cherche à retirer son pied [9, 10].

3. Luxations et subluxations

Ces affections sont définies par un déplacement (complet ou partiel) de deux surfaces articulaires, dont l’origine est traumatique. La boiterie est subite, avec suppression d’appui. L’alignement de l’articulation douloureuse est anormal [13].

4. Périostite digitale péri-articulaire

C’est une inflammation traumatique du périoste dans la région des articulations interphalangiennes. Cette affection, d’installation lente, est liée à de mauvaises conditions d’élevage, contraignant les animaux à des efforts anormaux éprouvant les ligaments (en particulier chez des individus âgés et les taureaux). La démarche est raide, mais aucune boiterie n’est remarquée. Aucune lésion n’est visible extérieurement, à part une légère augmentation de la largeur du pied en talon [9, 10].

5. Désongulations

Le terme de “désongulation” correspond à un décollement du sabot ou bien à une chute d’onglon.

Cette chute est la conséquence de maladies infectieuses (fièvre aphteuse, maladie des muqueuses), d’une fourbure aiguë, chronique ou bien traumatique. La douleur est vive, un tissu de granulation apparaît rapidement [11, 14]. Le pronostic est bon chez le jeune si les soins locaux quotidiens et l’hygiène sont respectés, mais la guérison complète est longue et difficile sur le terrain.

6. Ostéochondrite disséquante

L’ostéochondrite disséquante (OCD) est une anomalie de croissance des cartilages articulaires, très rare chez les bovins. La démarche est caractéristique : les génisses, souvent de race holstein, reportent le poids de l’avant du corps en pince afin de soulager les talons lorsqu’elles sont debout. Au repos, ou bien pour manger, elles peuvent être vues en appui sur les carpes [9].

AIDE AU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL

Pour toutes les atteintes non infectieuses, la déformation de la région digitale n’est pas un signe d’appel (à part lors de luxation). L’examen radiographique peut apporter une aide au diagnostic différentiel. En l’absence de cet examen complémentaire, il convient de raisonner selon le type de boiterie, selon qu’elle est brutale, progressive, avec un report en pince, en abduction, en adduction, etc. (figure 1). De plus, la douleur et l’inflammation localisées par palpation et mobilisation peuvent guider le diagnostic (figure 2). Dans le cas des maladies infectieuses profondes, la déformation majeure de la région digitale est un signe d’appel déterminant. Sa localisation peut orienter vers plusieurs hypothèses diagnostiques dont certaines affections de la corne ou des tissus mous des doigts, qui elles-mêmes sont parfois les atteintes primitives à l’origine de ces maladies profondes (figure 3).

Conclusion

Chez les bovins, les affections profondes d’origine infectieuse des doigts sont très souvent des complications de boiteries anciennes liées à des atteintes primitives de la corne, du pododerme ou des tissus mous des doigts. Ces lésions anciennes peuvent être repérées afin d’expliquer l’origine de la maladie à l’éleveur, même si, à ce stade, le pronostic est plutôt sombre. C’est pourquoi le relevé du membre, son nettoyage et l’examen minutieux des doigts (techniquement réalisable sur le terrain) sont des prérequis indispensables au diagnostic des maladies du pied des bovins. La reconnaissance des lésions de la corne et des tissus mous aux stades les plus précoces est l’enjeu du soigneur (éleveur, pédicure, vétérinaire), afin de parer au mieux les onglons et d’entreprendre les traitements le plus précocement possible. La maîtrise des techniques de parage préventif et curatif est essentielle, et requiert une petite expérience théorique et pratique.

Références

  • 1. Anderson DE, Jean GS. Diagnosis and management of tendon disorders in cattle. Vet. Clin. North Am. Food Anim. Pract. 1996; 12: 85-116.
  • 2. Andrews AH. Bovine Lameness Notes. Fascicule sponsorisé par Hoechst. 2000;44.
  • 3. Bouisset S, Schelcher F, Cabanie P, Sautet J. Ostéochondrite disséquante de l’épaule chez un veau. Point Vét. 1987; 28: 74-78.
  • 4. Cherel Y. Pathogénie et aspects lésionnels de l’ostéochondrose et de la dyschondroplasie. Point Vét. 1992; 24: 443-488.
  • 5. Delacroix M. Le phlegmon interdigité (panaris). Dans : Maladies des bovins. 3rd éd. Ed. France Agricole, Paris. 2000; 346-347.
  • 6. Delacroix M. Les troubles de l’appareil locomoteur. Les boiteries du pied. Dans: Maladies des bovins. 3e éd. Ed. France Agricole, Paris. 2000; 540.
  • 7. Desrochers A. Surgical treatment of lameness. Vet. Clin. North Am. Food Anim. Pract. 2001; 17: 143-158.
  • 8. Greenough PR, Finlay J, Mac Callum A, Weaver AD. Les boiteries des bovins. 2e éd. Éd. du Point Vétérinaire, Maisons-Alfort. 1983; 441.
  • 9. Greenough PR, Finlay J, Mac Callum A, Weaver D. Les boiteries des bovins. 2e éd. Éd. du Point Vétérinaire, Maisons-Alfort. 1995; 474.
  • 10. Greenough PR, Weaver AD. Lameness in cattle. 3rd ed. WB Saunders Compagny, Philadelphia. 1997; 336.
  • 11. Gourreau JM. Vademecum : fièvre aphteuse à l’usage des vétérinaires sanitaires. 2e éd. Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales, Maisons-Alfort. 2003; 19-40.
  • 12. Kofler J. Clinical study of toe ulcer and necrosis of the apex of the distal phalanx in 53 cattle. Vet. J. 1999; 157: 139-147.
  • 13. Rothlisberg J, Schawalder P, Kircher P, Steiner A. Collateral ligament prothesis for the repair of subluxation of the metatarsophalangeal joint in a Jersey cow. Vet. Rec. 2000; 146: 640-642.
  • 14. Villemin M. Les affections des doigts chez les bovins. 1re éd. Vigot Frères, Paris. 1969; 103.

Points forts

→ Les atteintes profondes infectieuses des doigts sont très souvent secondaires à des complications de “clou de rue”, d’ulcère de la sole, de panaris, de fourchet, etc.

→ Lors d’arthrite septique, la déformation de la région digitale est toujours importante et la boiterie toujours intense.

→ L’arthrite septique interphalangienne distale est l’infection profonde la plus fréquente.

→ La fracture de la troisième phalange est traumatique et se rencontre plutôt chez les jeunes animaux ?; aucune modification anatomique n’est visible.

REMERCIEMENTS

L’auteure tient à remercier le Pr Jeanne Brugère-Picoux pour le soutien technique et la direction de la thèse à l’origine de ces articles, le Dr Jean-Marie Gourreau pour les photographies de lésions virales, et, enfin, MM. Bernard Barbe et Didier Juin, pédicures professionnels talentueux, qui lui ont appris ce qu’elle pratique au quotidien et qui lui ont permis de collectionner quelques belles photographies.

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