Intérêt du grapiprant dans le traitement au long cours de l’arthrose canine
DOULEUR ARTHROSIQUE
Thérapeutique
Marc Gogny*, Yassine Mallem**
*Unité de pharmacologie et toxicologie Oniris, site de La Chantrerie 101, route de Gachet 44300 Nantes **Auteur coordinateur
Le mode d’action novateur du grapiprant lui confère une efficacité analgésique et antihyperalgésique rapportée à un profil d’innocuité intéressant par rapport aux AINS classiques.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) classiques restent la pierre angulaire du traitement de l’arthrose canine, associés à la lutte contre la surcharge pondérale et à un exercice modéré et contrôlé [3]. Les études s’accordent sur le bénéfice de leur utilisation au long cours (c’est-à-dire supérieure à 28 jours), caractérisé par une amélioration du confort et de la mobilité de l’animal durant le traitement pendant au moins deux mois [4]. Toutefois, les principaux freins à l’administration des AINS restent leurs effets ...
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