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ou celles qui tendent à le devenir, les causes parasitaires d’affections cardio-pulmonaires doivent figurer dans les hypothèses diagnostiques.
Angiostrongylus vasorum est désormais présent dans des foyers répartis sur la totalité du territoire français.
par l’ingestion de gastéropodes terrestres porteurs de larves, mais aussi par leur cadavre, voire leurs sécrétions dans le milieu extérieur. Il existe des hôtes paraténiques.
est une coproscopie (technique de Baermann) sur des selles fraîches de chiens (durée de survie des larves courte), à trois reprises consécutives.
d’angiostrongylose apparaissent depuis une dizaine d’années.
du diagnostic différentiel des troubles de la coagulation.
et les symptômes respiratoires peuvent être discrets, voire absents.
(hors autorisation de mise sur le marché), avec un pronostic réservé, surtout si la prise en charge est tardive et les atteintes importantes.
est une parasitose canine peu fréquente en France métropolitaine (sud du pays), mais très fréquente dans les départements et les collectivités tropicales d’outre-mer.
→ L’atteinte est cardio-pulmonaire : la toux et la fatigabilité sont fréquentes et peuvent évoluer en grave épisode de dyspnée, ou plus rarement en syndrome de la veine cave.
sont essentielles pour réduire les réservoirs domestiques.
repose sur trois injections de mélarsomine, afin de réduire les risques de thromboembolie.