Neurologie atypique : cas concrets - Le Point Vétérinaire n° 388 du 01/09/2018
Le Point Vétérinaire n° 388 du 01/09/2018

Dossier

« Quand il marche : il boite. Quand il saute : il tombe. Quand je le caresse : il râle. Quand je veux lui parler, ce n’est plus possible, il a la tête tordue : il me boude. Que faire, Docteur ?

- Ce n’est rien, ce sont les nerfs ! On va vous l’opérer et tout ira bien. »

En neurologie, ce n’est jamais aussi simple.

C’est une spécialité dans laquelle un signe clinique peut avoir des causes multiples et sa manifestation est souvent éloignée de son origine.

Ce dossier va vous en apporter une illustration parfaite, avec des exemples concrets. Dans un cas, un chien à risque avéré de hernie discale a un diverticule sous-arachnoïdien. Dans un autre, un sujet similaire a un abcès du tronc sur une otite interne. Et dans un dernier, un chat ne supporte plus les caresses en raison d’une tumeur du rachis.

Comme toujours, ce sont des démarches diagnostiques rigoureuses qui permettent de trouver ces origines atypiques. Elles vous sont détaillées, explicitées et illustrées.

« Merci, Docteur, mais voilà que j’ai la main qui tremble pour rédiger le chèque, c’est l’émotion ou les nerfs ? »

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