Dossier
en hospitalisation peut être tenté en premier lieu, selon l’état général de l’animal.
lorsque le calcul est de taille importante ou n’est pas évacué grâce aux traitements.
compte tenu des risques per- et postopératoires.
(radiographies, échographies), compte tenu de la faible spécificité des signes cliniques relevés lors de l’anamnèse et de l’examen physique.
pour assurer un confort durant la néphrectomie et en phase postopératoire. Le lapin est hospitalisé durant une période minimale de 48 heures, afin d’assurer une gestion de la douleur efficace et une fluidothérapie raisonnée.
une pression est appliquée sur les vaisseaux du hile afin de limiter les saignements peropératoires. Cette occlusion ne doit pas dépasser 20 minutes, afin d’éviter des lésions rénales ischémiques postopératoires.
permettant ainsi un accès vertical au bassinet impliquant moins de complications postopératoires. La néphrolite est alors soigneusement extraite.
l’intégrité de l’uretère est vérifiée à l’aide d’une sonde urinaire de faible diamètre. Le cortex et la capsule sont recousus séparément à l’aide de points en croix et de points simples.
et l’imagerie médicale est indispensable pour établir le diagnostic.
en raison de son métabolisme calcique particulier.
au moins 3 heures d’exercice par jour ainsi qu’un régime riche en légumes verts feuillus et pauvre en calcium (particulièrement pour les lapins ayant des antécédents d’affections urinaires).
(glycosaminoglycane lors d’inflammation) se mélangent à une matrice protéique pour former les calculs. Les maladies provoquant une inflammation interstitielle, comme Encephalitozoon cuniculi, peuvent avoir un rôle dans la formation de calculs, via l’augmentation de la production d’hyalurolan.