Les chercheurs s’intéressent à la moindre réponse vaccinale des femelles, qui peut conduire à des déceptions sur l’efficacité d’un vaccin, les études étant conduites chez des mâles. Par exemple à la faveur d’études sur les vaccins contre Fasciola hepatica, ce biais est mis en évidence (il est lié à l’adjuvant).
Wesolowska A et coll. (Pologne). Vet. Parasitol. 2018 ; 255 : 91-96.
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