Les actions récentes d’activistes de la protection animale, bien que condamnées, accélèrent le processus d’introduction de la bien-traitance animale dans les abattoirs.
Les faits
En décembre 2016, deux militants de l’association L 214, en tenue de camouflage, s’introduisent dans un abattoir pour y installer des caméras. Les images obtenues, à l’insu de la direction de l’abattoir, sont diffusées quelques semaines plus tard sur une chaîne nationale.
L’association n’en est pas à son coup d’essai. De telles diffusions récurrentes, génératrices d’émotion publique, sont à l’origine de réactions politiques.
Le tribunal correctionnel, saisi par les professionnels mis en cause, eu égard aux retombées désastreuses pour leur image, pour ...
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