Place de l’alimentation dans le suivi du chat allergique - Le Point Vétérinaire n° 359 du 01/10/2015
Le Point Vétérinaire n° 359 du 01/10/2015

ALLERGOLOGIE ET NUTRITION

Dossier

Auteur(s) : Géraldine Blanchard

Fonctions : Animal Nutrition Expertise
BP 40176
92160 Antony
contact@cuisine-a-crocs.com

Les allergies alimentaires handicapent la vie de nombreux êtres humains. Même si, chez le chat, la situation est moins grave, ces maladies existent et se traitent.

Lors de suspicion d’une allergie chez un chat, le premier réflexe est de traiter les symptômes. C’est fondamental dans ce type d’atteinte souvent grave lorsqu’elle devient chronique (photo 1). Cependant, et notamment pour prévenir les récidives, un traitement de fond doit être recherché. L’alimentation est l’un des facteurs à maîtriser dans de nombreux cas.

Toutefois, il convient de ne pas confondre une intolérance alimentaire (adverse food reaction) et une allergie alimentaire (food allergy). La seule méthode fiable de diagnostic est un régime d’éviction suivi d’un test de provocation [6].

Il s’agit d’une allergie à un ingrédient lorsque, non seulement les signes disparaissent avec le régime d’éviction, mais aussi et surtout qu’ils reviennent à la réintroduction de cet élément, qui est soupçonné de ne pas être toléré (test de provocation) [10]. Cette méthode est la référence [7].

1 Comment confirmer une allergie alimentaire chez le chat ?

Objectiver une allergie alimentaire chez le chat est le préalable indispensable à un “traitement alimentaire” de cette affection.

Protocole

Lors de suspicion d’une allergie alimentaire, le protocole recommandé prévoit trois étapes :

– une évaluation nutritionnelle et une enquête alimentaire soignée pour valider les aliments qui peuvent être associés à une réaction ;

– la mise en place d’un régime d’éviction pour proposer un aliment que l’animal n’a jamais rencontré ;

– la réalisation de tests de provocation pour valider la tolérance ou l’allergie à des ingrédients donnés.

1RE ÉTAPE : ÉVALUATION NUTRITIONNELLE

La première étape consiste à procéder à une évaluation nutritionnelle qui englobe à la fois l’animal, sa situation médicale et le détail de son alimentation (tableaux 1 et 2).

Une enquête auprès des propriétaires permet de détailler les habitudes et le passé alimentaire du chat : aliments déjà consommés, changements récents, association de la consommation de tel aliment et de l’apparition d’un prurit ou d’une diarrhée, etc.

Cette première étape d’évaluation nutritionnelle doit permettre de déterminer les besoins de l’animal et de vérifier qu’ils sont couverts (encadré 1).

2E ÉTAPE : ÉLABORATION D’UN RÉGIME D’ÉVICTION

La mise au point d’un régime d’éviction s’effectue de préférence avec une ration élaborée à la maison, mais l’utilisation d’une nourriture industrielle est possible (photo 2).

> Le gold standard pour un régime d’éviction est une ration ménagère qui obéit à deux règles :

– elle est composée d’ingrédients simples tous identifiés, pour lesquels l’animal est naïf ;

– elle est équilibrée (couvrant tous les besoins nutritionnels, y compris en minéraux, en vitamines et en acides gras essentiels, et pas seulement ceux en énergie et en protéines).

> Il est possible d’utiliser un régime industriel comme “régime d’éviction”. Deux conditions doivent être réunies :

– même si le nouveau régime est bien toléré, un test de provocation est indispensable pour s’assurer qu’il s’agissait d’une allergie alimentaire ;

– le régime à long terme doit couvrir tous les besoins nutritionnels (tableau 3).

> Le poids est stable si la quantité d’énergie apportée couvre juste le besoin. Un chat adulte castré sédentaire a besoin de 50 kcal/kg de poids optimal et ses besoins se calculent sur cette base (encadré 2 et tableau 4).

Le maintien de la masse maigre est fonction de la quantité de protéines consommées (pour un chat adulte à l’entretien, au moins 5,2 à 6 g protéines/kg de poids optimal sont nécessaires) [8].

La bonne santé du chat dépend aussi de la couverture des autres besoins nutritionnels (acides gras essentiels, minéraux, vitamines, oligo-éléments) sans omettre l’apport de fibres essentielles à l’hygiène digestive. Les carences peuvent entraîner des troubles variés (cutanés, digestifs, urinaires, rénaux). Par exemple, une ration constituée de viande, d’huile de colza et de pommes de terre est très carencée : elle ne couvre qu’environ 50 % des besoins nutritionnels essentiels (figure). Pour un adulte, c’est tolérable pendant 3 semaines, mais il est ensuite indispensable d’équilibrer la ration avec un aliment minéral et vitaminé (AMV) adapté.

> Une fois le régime d’éviction équilibré, il convient de rédiger une ordonnance et d’organiser un suivi. Il est indispensable de faire comprendre au propriétaire que tout ce qui est ingéré, même en petite quantité, doit être pris en compte.

3E ÉTAPE : FAIRE UN TEST DE PROVOCATION

Dans l’hypothèse où le régime d’éviction est bien toléré, le test de provocation consiste à changer un seul ingrédient à la fois et permet de rechercher des aliments auxquels l’animal est allergique.

> Dans le cas d’un régime d’éviction ménager, il est possible :

– d’ajouter l’aliment minéral et vitaminé (AMV) s’il n’a pas été incorporé d’emblée ;

– ou si l’AMV a été inclus d’emblée, d’ajouter un légume pour savoir s’il est bien toléré ;

– si, après 3 semaines, tout se passe bien (avec l’AMV et le légume), de changer un ingrédient (la viande pour une autre, par exemple) pour tester la tolérance du nouvel élément. La ration est modifiée en conséquence, en général la quantité d’huile selon la teneur en lipides de la viande ou du poisson, pour apporter autant d’énergie (encadré 3).

Conclusion

Une fois l’allergie établie et l’allergène identifié et pour le long terme, il convient de choisir un aliment équilibré toléré, qui ne contient pas le ou les ingrédients auxquels l’animal est allergique. Il peut s’agir d’un régime ménager équilibré (le régime d’éviction équilibré et toléré peut faire l’affaire) ou d’un aliment industriel dont la liste des ingrédients est détaillée, qui ne comprend pas l’allergène connu et qui couvre tous les besoins nutritionnels du chat.

2 Choix du régime alimentaire

Comment trouver l’aliment industriel adapté en pratique ?

La décision de prescrire un aliment d’une gamme donnée dépend du choix de la source protéique et de la source glucidique.

CHOIX D’UNE SOURCE PROTÉIQUE (ANIMALE OU NON)

> À ce propos intervient la notion de protéines hydrolysées pour laquelle une mise au point est utile. Les aliments qui en contiennent sont très digestibles, mais pas forcément davantage que d’autres aliments très qualitatifs. La digestibilité des protéines dans les aliments de bonne qualité se situe entre 80 et 85 %. Par comparaison, la digestibilité des protéines dans une ration ménagère est de plus de 91 % [2]. Ces aliments peuvent présenter certains inconvénients car l’hydrolyse génère de petits peptides à fort pouvoir osmotique, susceptibles d’induire des diarrhées [4]. De plus, l’antigénicité de la protéine initiale n’est pas forcément détruite par l’hydrolyse. Chez l’homme, il a été démontré que la taille des protéines n’était pas la solution à l’allergie alimentaire, y compris chez le nourrisson. Ainsi, un haptène de moins de 1 000 Da suscite parfois une réponse immunitaire [5]. De plus, un haptène doit être présenté par une molécule porteuse (carrier) pour être immunogène [1].

Ainsi, si l’appétence qu’ils suscitent est suffisante, les aliments contenant des protéines hydrolysées peuvent être utilisés, dans la mesure où ils sont bien choisis, c’est-à-dire s’ils permettent, avant toute chose, de couvrir l’ensemble des besoins nutritionnels du chat. Mais ils n’apportent pas plus de bénéfices que les autres aliments utilisables.

> Les aliments les plus récemment produits peuvent contenir une source ou une forme de protéines pas encore très répandue. Puisqu’un animal n’est allergique qu’à un haptène déjà rencontré, lors de la mise sur le marché, ces aliments sont souvent considérés comme bons. Cependant, avec le temps, la fréquence de consommation et le nombre d’animaux qui s’en nourrissent, certains d’entre eux y deviendront allergiques. C’est une question de temps. Un aliment définitivement “anallergénique” n’existe pas.

> Les aliments industriels contiennent parfois des sources rares de protéines, mais tous renferment des arômes et certains additifs pour la fabrication. Environ 16 % des animaux présentant une allergie alimentaire avérée ne toléreraient jamais un aliment industriel (photo 4). Dans un tel cas, une alimentation ménagère ne peut qu’être la règle.

CHOIX D’UNE SOURCE GLUCIDIQUE

Le choix de la source glucidique a-t-il un intérêt quand plusieurs espèces botaniques sont présentes dans l’aliment ?

La liste détaillée des ingrédients fait rarement apparaître une grande simplicité de formule. Elle mérite toute l’attention du praticien pour effectivement vérifier que le nom de l’aliment est bien le reflet de sa composition.

3 Gestion de certaines situations critiques

> Une allergie alimentaire peut être suspectée en cas de troubles cutanés ou digestifs.

Il convient toutefois d’être vigilant car un prurit ne signifie pas toujours qu’une allergie est présente. Un changement alimentaire peut améliorer la situation, notamment parce que des subcarences en protéines, en acides aminés indispensables, en acides gras essentiels, en minéraux, en vitamines, en oligo-éléments et même en fibres peuvent être à l’origine de ce symptôme. Le nouvel aliment apporte parfois plus de nutriments essentiels, et résout ainsi une affection occulte.

> Certains nutriments peuvent être ajoutés à fortes doses pour limiter une inflammation chronique inhérente à l’animal. Par exemple, chez l’homme, un certain nombre d’études scientifiques portant sur des maladies inflammatoires chroniques ont démontré un effet bénéfique significatif des huiles de poisson riches en acides gras poly-insaturés oméga 3 (AGPIω3 : acides eicosapentaénoïque [EPA] et docosahexaénoïque [DHA]) : diminution des symptômes et de l’usage de médicaments anti-inflammatoires [3].

> Dans un modèle d’asthme induit expérimentalement chez le chat, l’apport d’EPA, de DHA et de lutéine a permis la diminution de la synthèse de précurseurs de l’inflammation à partir d’acide arachidonique [9].

L’huile de poisson apportant l’EPA et le DHA a un effet immunosuppresseur chez le chat [11].

Plus généralement, lors d’hypersensibilité et d’inflammation chroniques, ces acides gras particuliers ont toute leur place dans le traitement. Ils viennent en plus des autres acides gras essentiels (agpiω6) habituels, qui restent à apporter dans la ration.

Là aussi, dans un contexte d’allergie alimentaire, l’ajout d’une source d’EPA et de DHA doit être l’objet d’un test de provocation.

> En pratique, il convient d’apporter, soit 1 ml d’huile de poisson avec au moins 300 mg d’EPA et de DHA (huile de poisson des mers froides, saumon, hareng, sardine, etc.), soit, pour un chat, l’équivalent à l’aide d’une préparation contenant presque exclusivement des esters d’EPA et de DHA (pharmacopée humaine), en capsules à ouvrir sur un repas.

L’huile de foie de morue est à éviter, car elle est beaucoup trop riche en vitamines A et D, qui seraient ainsi en excès et dans la zone toxique d’apport.

Conclusion

Une allergie alimentaire n’est avérée qu’avec un test de provocation. Nourrir le chat selon une forme acceptable pour lui et couvrir tous ses besoins nutritionnels sont la règle. Les transitions alimentaires doivent toujours être progressives (photos 5).

La valeur ajoutée du praticien se matérialise dans la rédaction d’une ordonnance indiquant la transition, le nom des aliments et leurs quantités journalières, et le nombre de repas.

La prise en charge de l’individu doit être globale : si un chat souffre d’une autre maladie (insuffisance rénale, troubles urinaires, diabète, obésité, etc.) nécessitant un ajustement de l’alimentation, il est préférable de demander conseil à un spécialiste en nutrition (la solution passe probablement par un régime ménager, qui est très souvent réalisable).

Références

  • 1. Abbas AK, Lichtman AH, Pober JS. Cellular and molecular immunology. 4th ed. WB Saunders, Philadelphia. 2000:553p.
  • 2. Blanchard G, Paragon BM, Nguyen P. Digestibility of a home made diet in healthy dogs and cats. Proc. 15th congress ESVCN, Zaragoza, Spain. 2011:86p.
  • 3. Calder PC. Omega-3, fatty acids in inflammation and autoimmune diseases. J. Am. Coll. Nutr. 2002;21(6):495-505.
  • 4. Cave NJ. Hydrolyzed protein diets for dogs and cats. Vet. Clin. North Am. Small Anim. Pract. 2006;36(6):1251-1268.
  • 5. Centner J, Van Der Brempt X. Antigens and Antibodies. In: Atlas of immuno-allergology. 2nd ed. Ed. D. Van Moerbeke, UCB, Braine-L’alleud, Belgique. 1990:149p.
  • 6. Guilford WG, Jones BR, Markwell PJ et coll. Food sensitivity in cats with chronic idiopathic gastrointestinal problems. J. Vet. Intern. Med. 2001;15(1):7-13.
  • 7. Ishida R, Kurata K, Masuda K et coll. Lymphocyte blastogenic responses to food antigens in cats showing clinical symptoms of food hypersensitivity. J. Vet. Med. Sci. 2012;74(6):821-825.
  • 8. Laflamme DP, Hannah SS. Discrepancy between use of lean body mass or nitrogen balance to determine protein requirements for adult cats. J. Feline Med. Surg. 2013;15(8):691-697.
  • 9. Leemansa J, Cambiera C, Chandlerb T et coll. Prophylactic effects of omega-3 polyunsaturated fatty acids and luteolin on airway hyperresponsiveness and inflammation in cats with experimentally-induced asthma. Vet. J. 2010;184(1):111-114.
  • 10. Leistra M, Willemse T. Double-blind evaluation of two commercial hypoallergenic diets in cats with adverse food reactions. J. Feline Med. Surg. 2002;4(4):185-188.
  • 11. Park HJ, Park JS, Hayek MG et coll. Dietary fish oil and flaxseed oil suppress inflammation and immunity in cats. Vet. Immunol. Immunopathol. 2011;141(3-4):301-306.

Conflit d’intérêts

L’auteur a formulé les produits Vit’i5®.

ENCADRÉ 1
Rôle de chaque élément nutritionnel

> L’énergie garantit la stabilité du poids.

> La couverture du besoin en protéines (et en acides aminés) permet d’assurer la stabilité de la masse maigre, les capacités immunitaire et digestive, et l’entretien de la peau et des phanères (qui détermine à lui seul jusqu’à 30 % du besoin protéique).

> Les acides gras essentiels garantissent la bonne santé de la peau, l’immunité, des réactions inflammatoires modérées, l’équilibre entre vasodilatation et vasoconstriction, et le bon fonctionnement de la reproduction.

> Les minéraux, vitamines et oligo-éléments garantissent le tonus et la santé métabolique à long terme. Les carences sont souvent sous-diagnostiquées.

> L’apport raisonné de fibres assure le confort digestif, leur carence pouvant provoquer une diarrhée ou une constipation, ou l’alternance des deux.

> L’amidon est une source d’énergie bien tolérée en petite quantité, mais qui peut engendrer de l’inconfort digestif en trop grande quantité et/ou s’il est mal cuit, ou mal toléré par l’animal.

> Ces apports doivent prendre en compte l’ensemble des ingrédients, et non ce qui est parfois considéré comme l’aliment principal, sans plus d’attention aux autres.

ENCADRE 2
Exemple de calculs des besoins nutritionnels avec un régime d’éviction associé

Calculs

Pour un chat castré et sédentaire de poids optimal (PO) = 5 kg, habitué à une alimentation mixte (sec + humide), voici les calculs du besoin énergétique (BE) et des autres besoins :

– BE = 50 x PO = 50 x 5 = 250 kcal ;

– besoin en protéines : 5,2 à 6 g/kg de poids optimal : (5,2 à 6) x 5 = 26 à 30 g de protéines.

L’objectif est donc de rechercher une alimentation qui apporte 250 kcal et 26 à 30 g de protéines avec un rapport protido-calorique (RPC) = (26 à 30/250) x 1 000, soit RPC = 104 à 120 g/Mcal.

Les besoins en acides gras essentiels, en fibres, en minéraux (Ca/P > 1), en vitamines et en oligo-éléments sont tous à couvrir.

Exemple de régime d’éviction

> Objectifs : ration apportant 250 kcal, 30 g de protéines, Ca/P = 1,25, 1,18 g Ca/matière sèche, tous besoins nutritionnels couverts, fibres apportées a minima par la peau des pommes de terre.

> Repas pour une journée, à donner en quatre prises :

– 140 g de viande de cheval (5 % de matières grasses) ;

– 5 ml d’huile de colza ;

– 20 g de pommes de terre (avec la peau), cuites à l’eau et écrasées ;

– 4 g (1 dose) de Vit’i5® Little Ca/P = 3.

ENCADRÉ 3
Exemple de tests à la suite de la ration précédente

Test des légumes

> 130 g de viande de cheval (5 % de matière grasse [MG]).

> 5 ml d’huile de colza.

> 20 g de pommes de terre (avec la peau), cuites à l’eau et écrasées.

> Quelques dés, puis jusqu’à 50 g de courgettes (diminuer alors la viande à 130 g).

> 4 g (1 dosette) de vit’i5® little Ca/P = 3.

Test du bœuf

> 130 g de viande de bœuf (steak à 5 % mg).

> 5 ml d’huile de colza.

> 20 g de pommes de terre (avec la peau), cuites à l’eau et écrasées.

> 50 g de courgettes (en petits dés de 5 mm).

> 4 g (1 dosette) de vit’i5® little Ca/P = 3.

Test du poulet

> 120 g de viande de poulet ou de dinde (sans peau ni os).

> 10 ml d’huile de colza.

> 20 g de pommes de terre (avec la peau), cuites à l’eau et écrasées.

> 50 g de courgettes (en petits dés de 5 mm).

> 4 g (1 dosette) de vit’I5® little Ca/P = 3.

Test du poisson

> 140 g de viande de poulet ou de dinde (sans peau ni os).

> 10 ml d’huile de colza.

> 20 g de pommes de terre (avec la peau), cuites à l’eau et écrasées.

> 50 g de courgettes (en petits dés de 5 mm).

> 4 g (1 dosette) de vit’I5® little Ca/P = 3.

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