Syndrome de la queue de cheval : examen clinique et étiologie - Le Point Vétérinaire n° 338 du 01/09/2013
Le Point Vétérinaire n° 338 du 01/09/2013

NEUROLOGIE CANINE ET FÉLINE

Dossier

Auteur(s) : Laetitia Piane*, Marion Fusellier**, Dominique Fanuel***

Fonctions :
*Centre hospitalier universitaire vétérinaire
École nationale vétérinaire agroalimentaire
et de l’alimentation Nantes Atlantique-Oniris,
Atlanpôle La Chantrerie, Route de Gachet,
BP 40706, 44307 Nantes Cedex 3

Lors de suspicion de syndrome de la queue de cheval, il convient de réaliser un examen orthopédique et neurologique complet afin de confirmer l’origine nerveuse des signes cliniques observés et de localiser le plus précisément possible la lésion.

Le syndrome de la queue de cheval (SQC) est un ensemble de signes cliniques traduisant une atteinte des derniers segments médullaires (L7 à S3) et/ou des nerfs qui en sont issus. Les conséquences de ce syndrome, notamment fonctionnelles, peuvent être importantes. Il convient donc d’en connaître les bases anatomiques et de savoir le suspecter. Un examen clinique rigoureux et ordonné ainsi qu’une connaissance précise des causes possibles sont nécessaires pour guider le praticien vers un diagnostic, ainsi qu’une connaissance des causes possibles.

1 Rappels d’embryogenèse

Au cours de l’embryogenèse, l’allongement du canal vertébral est plus important que celui de la moelle épinière. Cette allométrie différentielle est responsable de la terminaison du cône spinal à la hauteur de la 5e ou de la 6e vertèbre lombaire chez les chiens de moyen à grand format, plus caudalement chez les petits chiens et le chat. Ainsi, les nerfs lombaires et sacrés cheminent sur un long trajet dans le canal vertébral avant d’émerger par leurs foramens intervertébraux respectifs, ce qui donne naissance à une entité anatomique appelée “nerfs de la queue de cheval” [1, 6, 17].

2 Qu’est-ce que la queue de cheval ?

La queue de cheval est constituée de l’ensemble des nerfs L7 à Cd5 (nerfs sciatique, honteux, pelvien et caudaux) qui partent de leur segment médullaire et émergent par leurs foramens intervertébraux respectifs (figures 1 et 2).

Chaque nerf joue plusieurs rôles (tableau). Le nerf sciatique possède une fonction motrice sur la hanche, le grasset et le tarse. Le nerf honteux est responsable, via le nerf rectal caudal, de la contraction du sphincter anal externe, donc de la continence fécale, et, via le nerf périnéal, de la contraction du sphincter urétral externe, donc de la continence urinaire (figure 3).

Du nerf pelvien dépend la contraction du muscle détrusor et, des muscles lisses du rectum et des nerfs caudaux, la motricité de la queue.

Les nerfs de la queue de cheval sont responsables de la sensibilité de la cuisse, du jarret, des doigts, de la région anale, de la partie terminale du rectum, et, via le nerf périnéal, du périnée, des organes génitaux externes et ceux de la queue (figure 4).

3 Signalement

Le SQC se définit cliniquement par des déficits neurologiques en relation avec l’atteinte des nerfs et/ou d’une ou de plusieurs des racines des nerfs qui la constituent (encadré 1).

La plupart des animaux sont présentés en consultation pour une incapacité à réaliser certains mouvements, comme une réticence au saut, au relever ou à la montée des escaliers. Les propriétaires rapportent parfois une boiterie des membres pelviens, une automutilation de la région lombo-sacrée, un port de queue bas, une incontinence urinaire ou fécale [14]. Une douleur de l’arrière-train peut être rapportée, mais elle n’est pas le signe d’appel le plus courant.

4 Examen clinique

Examen orthopédique

La palpation et la mobilisation de toutes les articulations doivent être réalisées afin d’écarter une possible cause orthopédique aux troubles observés (rupture des ligaments croisés, arthrose, dyplasie des hanches, fracture des os long).

Examen neurologique

L’examen neurologique a pour objectifs de confirmer ou non l’origine nerveuse des troubles observés et de localiser précisément la lésion.

NIVEAU DE CONSCIENCE, POSTURE AU REPOS, MOTRICITÉ

Le niveau de conscience est normal. Au repos, l’animal peut être en position antalgique, le dos voussé pour souligner une douleur vertébrale lombo-sacrée notamment (photo 1). La motricté est troublée. Elle va de la parésie à la paralysie flasque des membres pelviens lors d’atteinte du nerf sciatique. Une hypotonicité, voire une paralysie flasque de la queue avec un port bas, peut être présente lors d’atteinte des nerfs caudaux (photos 2a et 3a).

RÉACTIONS POSTURALES

Les placés proprioceptif, tactil, visuel, et le test de sautillement sont normaux, pour les membres thoraciques, et altérés, pour les membres pelviens. Un déficit de proprioception consciente et inconsciente des membres pelviens est mis en évidence.

ÉVALUATION DE LA SENSIBILITÉ

Une hypo- ou anesthésie des dermatomes des nerfs sciatique et honteux ainsi que de la queue et/ou de la base de la queue est mis en évidence. Des signes de paresthésie de l’arrière-train sont présents, comme des boiteries ou des automutilations, par exemple.

Localisation de la lésion

À UN SEGMENT DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL OU PÉRIPHÉRIQUE

Les réflexes sont évalués. Lors de la diminution ou de l’abolition d’un réflexe, il s’agit d’une lésion de type motoneurone périphérique (MNP). Si, au contraire, le reflexe est conservé, voire exagéré, la lésion est de type motoneurone central (MNC).

→ Réflexe de retrait postérieur : il évalue l’intégrité du segment médullaire L6-S1, du nerf sciatique et de ses racines. Il est diminué ou aboli lors de syndrome de SQC.

→ Réflexe patellaire : il apprécie l’intégrité des segments médullaires L4-L6 et du nerf fémoral [2]. Il reste normal car les racines du nerf fémoral émergent en amont de la queue de cheval et ne sont pas concernées lors de SQC.

Cependant, ce réflexe peut paraître augmenté par perte d’antagonisme lors d’atteinte du nerf sciatique, la flexion du grasset étant impossible (pseudo-hyper-réflexie patellaire). Il est parfois diminué en raison de l’étirement ou de la compression par un hématome fracturaire des racines nerveuses ou des nerfs en amont de la queue de cheval. Il devient alors difficile de le différencier d’un syndrome médullaire touchant les segments L4-L6.

→ Réflexe périnéal : il évalue l’intégrité des segments S1-S3 du nerf honteux. Il est diminué ou aboli lors de SQC (photos 2b et 3b).

À LA JONCTION LOMBO-SACRÉE

Lors de la palpation vertébrale et de la mobilisation de la queue, une douleur lombo-sacrée est mise en évidence dans 85 % des cas.

Lors de l’hyperextension des hanches, la douleur est exacerbée. Il n’est pas aisé de différencier la douleur lombo-sacrée, provoquée par la mise en tension de l’articulation L7-S1 lors de l’hyperextension des hanches lors de SQC, d’une douleur orthopédique due à l’hyperextension de la jonction coxo-fémorale, lors de dysplasie des hanches, par exemple. En effet, ces deux affections touchent généralement les mêmes races. Il convient de mettre en évidence une douleur uniquement lombo-sacrée, sans forcer sur les articulations coxo-fémorales ni sur les grassets. L’hyperextension des hanches peut être réalisée en soulevant l’animal par l’entrejambe. Le toucher rectal peut également se révéler utile. Un doigt est introduit dans le rectum et tourné vers la jonction lombo-sacrée, tandis qu’une pression dorsale est exercée avec l’autre main sur la jonction lombo-sacrée [1, 2, 4, 6, 16, 17].

5 Établir la liste des causes possibles

L’origine du SQC est multiple car la jonction lombo-sacrée (L7-S1) est une zone charnière du rachis soumise à d’importantes contraintes mécaniques en flexion et en extension. Ces causes peuvent être organisées selon le moyen mnémotechnique “VITAMIN D” (vasculaire, inflammatoire-infectieux, traumatique, anomalie congénitale, métabolique, idiopathique-intoxication, néoplasique, dégénératif) (encadré 2) [1, 6, 8, 17].

1. Causes infectieuses et inflammatoires

La spondylodiscite est une infection du disque intervertébral et des plateaux vertébraux adjacents. La région lombo-sacrée est un site fréquent de spondylodiscite. L’infection provient le plus souvent d’une dissémination hématogène d’un foyer infectieux primitif identifié ou non, mais souvent génital ou urinaire [12].

2. Causes traumatiques

La queue de cheval peut être lésée par des fractures ou des luxations vertébrales (fractures de L7, des vertèbres sacrées, luxation sacro-iliaque ou sacro-coccygienne). La luxation sacro-coccygienne associée à un étirement des nerfs de la queue de cheval est un trouble fréquent, en particulier chez le chat [12].

3. Anomalies congénitales

Les malformations vertébrales et le spina bifida sont des désordres congénitaux qui peuvent entraîner un SQC. Le plus souvent, les malformations telles les sténoses lombo-sacrées, les hémivertèbres et les vertèbres de transition ne provoquent pas directement de compression de la queue de cheval, mais peuvent altérer la biomécanique de la colonne vertébrale et entraîner des modifications secondaires des tissus osseux ou mous [12].

Les sténoses lombo-sacrées congénitales touchent essentiellement les petites races. Les signes cliniques apparaissent vers l’âge de 6 à 7 ans, mais les lésions sont présentes dès la naissance [1, 6, 17].

Une étude récente montre que, sur 4 000 chiens, 3,5 % présentent une vertèbre de transition lombo-sacrée sans aucun signe de SQC. Elle révèle aussi que 16,3 % des animaux avec un SQC présentent une vertèbre de transition lombo-sacrée [9]. Le berger allemand est le plus sujet à cette anomalie congénitale. La forte prévalence dans cette race suggère une prédisposition génétique. Les mâles sont deux fois plus affectés que les femelles [3].

Le spina bifida concerne plus particulièrement les races boston terrier, carlin, bulldog anglais et bouledogue français [6].

4. Causes néoplasiques

Les tumeurs de la colonne vertébrale peuvent léser la moelle ou la queue de cheval. Ainsi, des tumeurs osseuses primitives (ostéosarcomes) ou secondaires comme les carcinomes prostatiques ou les circumanalomes malins qui métastasent le plus souvent au niveau de la colonne vertébrale lombo-sacrée peuvent être mises en évidence [13]. Des tumeurs non osseuses primitives extradurales (lymphosarcomes, par exemple), intradurales et extramédullaires (méningiomes, tumeurs des racines nerveuses), et intramédullaires (gliomes) sont également observées [10]. Les tumeurs extradurales sont les plus courantes et représentent 50 % des cas affectant la colonne vertébrale [17].

5. Causes dégénératives

L’instabilité lombo-sacrée atteint préférentiellement les chiens de grande race, avec une prédisposition pour le berger allemand. Les mâles sont plus souvent concernés que les femelles et les signes cliniques apparaissent habituellement vers l’âge de 7 ans [11]. L’étiologie est multifactorielle, et des facteurs dégénératifs, traumatiques et également congénitaux sont suspectés. Lors d’instabilité lombo-sacrée, les compressions des racines nerveuses de la queue de cheval sont dues à différentes causes lésionnelles, unique ou associée :

– une subluxation L7-S1, dans laquelle le déplacement ventral de la lame dorsale de S1 est à l’origine d’un rétrécissement grave du foramen intervertébral L7-S1 ;

– une spondylose L7-S1, d’abord asymptomatique quand elle reste localisée à la région ventrale des vertèbres, mais qui peut entraîner la compression des racines de L7 quand elle atteint le foramen ou le canal vertébral ;

– une protrusion discale de type Hansen II (moins fréquemment de type Hansen I) entre L7 et S1 ;

– une hypertrophie du ligament jaune secondaire à l’instabilité.

Cette instabilité lombo-sacrée entraîne la formation d’une arthrose qui peut aboutir à une sténose lombo-sacrée secondaire [1, 6].

Ainsi, les sténoses lombo-sacrées acquises dégénératives touchent plus particulièrement les grandes races, et notamment le berger allemand (56 %), le boxer (11 %) et le rottweiler (9 %) [5]. Elles sont généralement la conséquence d’une instabilité lombo-sacrée [1, 6, 15].

6 Diagnostic différentiel

Un examen clinique général, orthopédique et neurologique rigoureux doit permettre de différencier un SQC d’affections telles que :

– une autre atteinte nerveuse intra– ou extracanalaire, comme un syndrome médullaire antérieur à L7, une neuropathie distale, etc. ;

– une atteinte ostéo-articulaire, comme une dysplasie coxo-fémorale, une rupture bilatérale des ligaments croisés, etc. ;

– une atteinte vasculaire, comme une thrombo-embolie aortique ou iliaque, une embolie fibrocartilagineuse, etc. ;

– une autre cause de douleur régionale, comme des maladies prostatiques ou utérines, une masse dans le canal pelvien comprimant le nerf sciatique, etc.

Conclusion

Lors de SQC, l’examen clinique, neurologique et orthopédique doit être rigoureux pour localiser le plus précisément possible la lésion et prévenir ainsi les erreurs diagnostiques. Différentes causes sont possibles, qu’il convient de connaître.

Références

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  • 2. Cauzinille L. Neurosémiologie. Dans : Neurologie clinique du chien et du chat. 2e éd. Éd. Wolters-Kluwer, Rueil-Malmaison. 2007 : 37-52.
  • 3. Damur-Djuric N, Steffen F, Hassig M, Morgan JP, Fluckiger MA. Lumbosacral transitional vertebrae in dogs : classification, prevalence, and association with sacroiliac morphology. Vet. Radiol. Ultrasound. 2006 ; 47 : 32-38.
  • 4. Danielsson F, Sjostrom L. Surgical treatment of degenerative lumbosacral stenosis in dogs. Vet. Surg.1999 ; 28 : 91-98.
  • 5. De Lahunta G. Lower motor neuron : spinal nerve, general somatic efferent system. In : Veterinary neuroanatomy and clinical neurology.3rded. Ed. Elsevier, Saint Louis. 2009 : 81.
  • 6. Duhautois B, Barreau P. Le syndrome queue de cheval . 1re partie : anatomie, pathogénie, symptomatologie. Prat. Méd. Chir. Anim. Comp. 1991 ; 2 : 85-97.
  • 7. Jones JC, Shires PK et coll. Evaluation of canine lumbosacral stenosis using intravenous contrast-enhanced computed tomography. Vet. Radiol. Ultrasound. 1999 ; 40(2): 108-114.
  • 8. Lorenz MD et coll. Pelvic limb paresis, paralysis and ataxia. In : Handbook of veterinary neurology. 5th ed. Ed. Elsevier, Saint Louis. 2010 : 109-161.
  • 9. Fluckiger MA, Damur-Djuric N, Hassig M, Morgan JP, Steffen F. A lumbosacral transitional vertebra in the dog predisposes to cauda equina syndrome. Vet. Radiol. Ultrasound.2006 ; 47 : 39-44.
  • 10. McKee M. Differential diagnosis of cauda equina syndrome. In Practice.1993 ; 15 : 243-250.
  • 11. Meij BP, Bergknut N. Degenerative lumbosacral stenosis in dogs. Vet. Clin. North Am. Small Anim. Pract. 2010 ; 40(5): 983-1009.
  • 12. Pey P. Apport de l’examen tomodensitométrique dans le diagnostic étiologique du syndrome queue de cheval : étude rétrospective de 23 cas. Thèse de médecine vétérinaire, Alfort. 2007.
  • 13. Sisson AL et coll. Diagnosis of cauda equina abnormalities by using electromyography, discography and epidurography in dogs. J. Vet. Intern. Med. 1992 ; 6 : 253-263.
  • 14. Srenk P. Cauda equina, clinical manifestations, diagnosis and prognosis. In : Proceedings of the 27th WSAVA Congress. 2002 : 45.
  • 15. Suwankong N et coll. Review and retrospective analysis of degenerative lumbosacral stenosis in 156 dogs treated by dorsal laminectomy. Vet. Comp. Orthop. Traumatol . 2008 ; 21(3): 285-293.
  • 16. Tatton B et coll. Predicting recovery of urination control in cats after sacrocaudal injury : a prospective study. J. Small Anim. Pract. 2009 ; 50 : 593-596.
  • 17. Viateau V, Moissonnier P. Le syndrome queue de cheval . 1re partie. Point Vét. 1991 ; 135 : 55-65.

Conflit d’intérêts

Aucun.

ENCADRÉ 1
Signes cliniques observés lors de syndrome de la queue de cheval

→ Douleur à la palpation de la région lombo-sacrée.

→ Douleur à l’hyperextension des hanches ou de la queue.

→ Boiterie des membres pelviens.

→ Difficultés et réticences au coucher, au relever, à la montée d’escalier, etc.

→ Automutilation de l’arrière-train.

→ Déficit de proprioception consciente ou inconsciente des membres pelviens :

– usure exacerbée des griffes ;

– raclage du sol.

→ Parésie ou paralysie des membres pelviens.

→ Hypotonicité ou paralysie flasque de la queue.

→ Hypo- ou anesthésie des dermatomes des nerfs de la queue de cheval.

→ Anomalie des réflexes :

– hypo- ou aréflexie du réflexe de flexion ;

– normo- ou pseudo-hyperréflexie du réflexe patellaire ;

– hypo- ou aréflexie du réflexe périnéal.

→ Incontinence urinaire et/ou fécale.

→ Mégacôlon.

ENCADRÉ 2
Diagnostic différentiel du syndrome de la queue de cheval

I : Inflammatoire-Infectieux

→ Névrite de la queue de cheval (abcès ou phlegmon à la suite d’une morsure à la base de la queue chez le chat).

→ Spondylodiscite (à la suite d’une infection de la sphère uro-génitale).

T : Traumatisme

→ Hernie discale.

→ Fracture vertébrale.

→ Luxation vertébrale (jonction sacro-coccygienne lors d’un arrachement de queue chez le chat).

A : Anomalie congénitale

→ Vertèbre de transition : sacralisation de L7 ou de Cd1 (berger allemand).

→ Hémivertèbre (bouledogue).

→ Spina bifida (chihuahua, bouledogue, boston terrier).

→ Instabilité lombo-sacrée(1).

→ Sténose lombo-sacrée(1).

N : Néoplasie

→ Ostéosarcome.

→ Fibrosarcome.

→ Métastases (adénocarcinome prostatique, circumanalome, etc.).

→ Neurinome.

D : Dégénératif

→ Hernie discale.

→ Spondylose compressive.

(1) Ces deux entités sont décrites plus en détail dans le texte.

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