Lymphome rénal chez un jeune chat infecté par le virus leucémogène félin - Le Point Vétérinaire expert canin n° 317 du 01/07/2011
Le Point Vétérinaire expert canin n° 317 du 01/07/2011

CANCÉROLOGIE FÉLINE

Cas clinique

Auteur(s) : Coralie Bertolani*, Stéphanie Lafarge-Beurlet**, Juan Hernandez***

Fonctions :
*CHV Frégis, service de médecine interne
43, avenue Aristide-Briand,
94110 Arcueil
**CHV Frégis, service de médecine interne
43, avenue Aristide-Briand,
94110 Arcueil
***CHV Frégis, service de médecine interne
43, avenue Aristide-Briand,
94110 Arcueil

La cytoponction rénale échoguidée permet d’établir le diagnostic d’un lymphome rénal dû à l’infection par le virus leucémogène félin, chez un jeune chat sédentaire.

L’infection par le virus leucémogène félin (FeLV) est une des trois rétroviroses félines connues (les deux autres étant le virus de l’immunodéficience féline [FIV] et le spumavirus non pathogène feline foamy virus). Le FeLV possède la capacité d’intégrer son génome dans les cellules infectées, ce qui peut avoir de multiples conséquences. Il est responsable de l’apparition de maladies dégénératives ou prolifératives du système hématopoïétique [1, 2]. Même si sa prévalence diminue peu à peu grâce au dépistage et à la vaccination, la leucose reste une des maladies infectieuses les plus communes chez le chat. Cet article illustre un mode d’expression clinique de l’infection par le FeLV chez un jeune chat.

CAS CLINIQUE

1. Commémoratifs et anamnèse

Un chat européen mâle castré de 1 an est présenté pour un abattement et une dysorexie progressifs depuis 1 mois. Un amaigrissement est désormais visible, avec une perte de 20 % par rapport au poids initial. Le chat, qui a été trouvé dans la rue à 2 mois approximativement, vit en appartement et ne sort jamais. Un test Elisa de dépistage du FeLV, réalisé à l’âge de 4 mois, s’est révélé positif. Renouvelé 3 mois plus tard, il s’est trouvé à nouveau positif.

2. Examen clinique

À l’examen clinique, l’animal est maigre, présente une déshydratation modérée, des muqueuses orales et sclérales pâles et une néphromégalie bilatérale marquée. Le reste de l’examen clinique est normal.

3. Hypothèses diagnostiques

Les signes cliniques généraux étant très peu spécifiques, les hypothèses diagnostiques sont élaborées à partir de la néphromégalie bilatérale détectée à l’examen clinique. Les principales causes envisagées, sans qu’une hiérarchisation soit possible, sont une hydronéphrose bilatérale, une polykystose, une tumeur bilatérale (le lymphome en particulier), une péritonite infectieuse féline, une néphrite bilatérale et une amyloïdose.

L’ensemble de ces hypothèses lésionnelles peut s’accompagner d’une insuffisance rénale.

4. Examens complémentaires

Des analyses de sang et d’urine sont réalisées en première intention pour évaluer la fonction rénale et permettre de cerner l’origine de la néphromégalie. La numération et la formule sanguines révèlent une anémie non régénérative (hématocrite : 16 % [valeurs usuelles (VU) : 24 à 45 %] ; réticulocytes : 34 200/mµl [VU : < 50 000]), tandis que l’examen biochimique sérique révèle une augmentation de l’urée et de la créatinine (urémie : 1,9 g/l [VU : 0,2 à 0,5] ; créatininémie : 45 mg/l [VU : 6 à 16]), la densité urinaire étant de 1,020. Il s’agit donc d’une insuffisance rénale. Une échographie abdominale est ensuite effectuée, afin de visualiser directement l’aspect des reins. Elle met en évidence des reins de taille très augmentée (rein droit : 6 cm de long ; rein gauche : 5,8 cm de long [VU : 3 à 4,3 cm]) (photo 1). Le cortex est hyperéchogène et un liséré de 1 mm hypoéchogène et sous-capsulaire sur tout le pourtour rénal, correspondant à un épanchement, est observé.

À gauche, une discrète dilatation pyélique est présente. Étant donné les résultats échographiques, une cytoponction rénale échoguidée est réalisée afin de déterminer la nature des troubles. Elle a notamment pour objectif de différencier les causes tumorales et infectieuses. L’analyse cytologique met en évidence une infiltration du parenchyme rénal par une population lymphoïde blastique (photo 2).

Un diagnostic de lymphome rénal est établi. La réalisation d’une ponction médullaire n’étant pas souhaitée par le propriétaire, l’implication de la moelle osseuse reste inconnue. Il peut donc s’agir d’un stade III ou V à partir de la classification des stades cliniques du lymphome félin [3].

5. Traitement

Une fluidothérapie et un protocole de polychimiothérapie de type L-COP sont instaurés. Une injection de L-asparaginase (Kidrolase®) à la dose de 400 UI/kg par voie intramusculaire est suivie 1 semaine plus tard d’une administration de vincristine (Oncovin®) à la dose de 0,7 mg/m2 par voie intraveineuse. Le protocole suivi comprend une phase d’induction (de la semaine 1 à la semaine 5) et une autre de maintenance (à partir de la semaine 5) (tableau).

Un délai de 24 heures est respecté entre l’administration de la vincristine et du cyclophosphamide.

Le suivi des valeurs hématologiques et rénales est réalisé avant chaque séance. Une sonde de réalimentation naso-œsophagienne est installée et une réalimentation entérale (Fortol®) est initiée.

6. Suivi

À la suite de la perfusion et de l’injection de L-asparaginase, l’état général de l’animal s’améliore avec une reprise de l’appétit et de discrètes diminutions de l’urée et de la créatinine sanguines (urémie : 1,5 g/l ; créatininémie : 34 mg/l). La sonde naso-œsophagienne est retirée 3 jours après la sortie du chat car il se nourrit spontanément. Une semaine après l’administration de L-asparaginase, une première injection de vincristine est réalisée, puis deux autres à 1 semaine d’intervalle. Lors du contrôle sanguin, effectué 1 semaine après la troisième injection de vincristine, une amélioration des paramètres rénaux et de l’anémie est observée (urémie : 1,1 g/l ; créatininémie : 34 mg/l ; hématocrite : 21 %). L’animal est alerte et a repris du poids.

Cependant, l’état général du chat se dégrade brutalement. Une aggravation de l’insuffisance rénale est en cause (urémie : 2 g/l ; créatininémie : 58 mg/l ; hématocrite : 21 %), 1 semaine après la quatrième injection de vincristine (soit 5 semaines après le début du protocole) et l’administration de cyclophosphamide (Endoxan®) à une dose de 200 mg/m2 par voie orale (photo 3). Bien que, chez le chat, une néphrotoxicité cumulative de la doxorubicine (Adryamicine®) existe, un protocole de secours est initié à la dose de 1 mg/kg car cette substance est d’une grande efficacité et n’a pas été employée auparavant. Un protocole de diurèse forcée est mis en place pendant son administration. Aucune réponse clinique n’est obtenue. Une décision d’euthanasie est prise par le propriétaire.

DISCUSSION

1. La leucose et les tumeurs

Même si ces 20 dernières années la proportion de lymphomes associés au FeLV a fortement diminué (certaines publications rapportent que seuls 14 à 25 % des lymphomes chez le chat ont un lien avec cette affection), le virus leucémogène reste un facteur important dans le développement des lymphomes félins [6]. Il est l’agent oncogénique le plus important dans cette espèce. Les tumeurs qui lui sont les plus fréquemment associées sont les lymphomes et les leucémies, mais certaines autres néoplasies, plus rares, ont été également décrites (neuroblastomes, ostéochondromes).

Deux mécanismes oncogéniques sont reconnus :

– d’une part, le génome viral peut s’introduire dans le génome cellulaire près d’un oncogène (souvent le facteur de transcription c-myc), provoquant une activation et une surexpression de ce gène. Si le système immunitaire est déficient, une tumeur est alors susceptible de se développer ;

– d’autre part, certaines souches virales peuvent incorporer un oncogène dans leur génome et former un virus recombinant qui porte alors l’oncogène dans son génome viral (par exemple, l’oncogène v-myc si l’oncogène excisé lors de la réplication est c-myc). En s’introduisant dans les cellules et en intégrant leur génome, le virus recombinant entraîne ainsi la production de l’oncogène [3].

Dans le cas des chats virémiques, les lymphomes décrits sont principalement de phénotype T. La forme médiastinale est la plus classiquement associée au virus leucémogène, tandis que la présentation rénale l’est peu souvent (dans 5 à 25 % des cas) [6]. Il s’agit d’une forme plus fréquente chez les chats adultes dont l’âge moyen est de 7 ans. L’atteinte est en majorité bilatérale [3, 6].

La sérologie positive (ou antigénémie au sens strict) est un facteur pronostique défavorable reconnu dans les lymphomes félins [6]. Cela s’explique probablement par la présence concomitante d’autres anomalies hématologiques et d’une immunodéficience. Cependant, aucune adaptation thérapeutique des lymphomes associés au FeLV n’a été rapportée.

2. Leucose, lymphome et anémies

Leucose et anémie

L’anémie est une complication très fréquente de l’infection par le FeLV. Dans la majorité des cas, il s’agit d’anémies non régénératives. Il a été décrit qu’approximativement deux tiers des anémies non régénératives du chat sont secondaires à l’infection par le FeLV [3]. Il est très important de signaler que le virus leucémogène félin peut aussi provoquer des anémies régénératives hémolytiques ou faciliter certaines infections comme les mycoplasmoses [2]. Les maladies hématologiques, secondaires à une infection par le virus de la leucose, susceptibles d’entraîner une anémie sont multiples. Il peut s’agir d’anémies arégénératives résultant d’un défaut de maturation, comme :

– des syndromes inflammatoires chroniques liés à la leucose (infections liées à l’immunodéficience, cancer) ;

– une aplasie sélective de la lignée érythroïde (due au FeLV du sous-groupe C) ou “pure red cell aplasia” ;

– une maladie dégénérative du stroma médullaire (aplasie médullaire, myélofibrose, ostéosclérose) ;

– des syndromes myélodysplasiques (défaut de maturation atteignant une ou plusieurs lignées et associé dans certains cas à un excès de blastes) ;

– des leucémies (lymphocytiques ou granulocytiques) ou un lymphome avec une infiltration médullaire.

Des anémies régénératives hémolytiques, liées à une infection à Mycoplasma hæmofelis ou à médiation immune, sont aussi possibles.

Lymphome et anémie

L’anémie est une anomalie fréquemment associée aux lymphomes chez le chat FeLV-négatif (50 % des animaux atteints présentent une anémie modérée à sévère). Plusieurs mécanismes peuvent l’expliquer. Dans la plupart des cas, il s’agit d’une anémie de maladie chronique, normocytaire normochrome, caractérisée par une diminution du temps de vie des hématies et des troubles du stockage et du métabolisme ferrique. Dans d’autres cas, la présence de cellules tumorales provoquer l’apparition d’anémies hémolytiques à médiation immune qui sont macrocytaires hypochromes. Enfin, l’anémie peut être le reflet de l’infiltration de la moelle osseuse par les cellules lymphoïdes tumorales (lymphome de grade 5).

Selon la localisation du lymphome, et notamment dans lors de lymphomes digestifs, une anémie par saignement chronique peut s’installer, typiquement microcytaire hypochrome.

3. Diagnostic du lymphome rénal

L’établissement du diagnostic de lymphome rénal repose sur la réalisation d’analyses hémato-biochimiques et urinaires, ainsi que sur des examens d’imagerie, notamment échographiques. Bien que l’aspect échographique rénal ne soit pas pathognomonique, il existe un prédictivité élevée associée à certains signes, notamment le liseré hypo-échogène sous-capsulaire [7]. Le diagnostic de certitude requiert une évaluation cytologique ou histologique du tissu rénal.

4. Traitement du lymphome rénal

Chez le chat, le traitement du lymphome repose sur l’utilisation d’une polychimiothérapie. Plusieurs médicaments ont montré une efficacité : la vincristine, la doxorubicine, le cyclophosphamide, le méthotrexate, la L-asparaginase, la lomustine et la prednisone. Ils peuvent être inclus dans différents protocoles. L’un des plus souvent employés en Europe est le L-COP (celui du cas clinique), qui inclut la L-asparaginase, le cyclophosphamide, la vincristine et la prednisone.

Ces protocoles possèdent une phase d’induction et une phase de maintenance, puis peuvent être interrompus à la 25e semaine si la rémission semble complète. En cas de rechute, une réinduction est envisageable. Les substances plus classiquement administrées à cet effet sont la lomustine, la doxorubicine et la mitoxantrone [6]. Dans le cas du lymphome rénal, la prescription de doxorubicine est controversée en raison de sa néphrotoxicité chez le chat. Ce médicament est néanmoins inclus de façon régulière dans le traitement du lymphome, même rénal, sans que l’impact de son utilisation ait été clairement établi [5, 6]. Cependant, il est plus prudent de l’administrer à une dose de 1 mg/kg et sous diurèse forcée.

Lors de lymphome rénal, la moyenne de survie des chats est de 3 à 6 mois. La durée de la réponse à la chimiothérapie ne semble pas associée au degré d’insuffisance rénale, sauf quand l’urémie est supérieure à 1,5 g/l [6].

Conclusion

La localisation rénale du lymphome est rare chez le chat. Lors d’association avec une infection par le virus FeLV, le pronostic de cette tumeur est plus sombre. Il convient donc de prévenir l’infection due à ce virus, notamment par la vaccination systématique qui constitue un outil important. Cependant, il existerait une relation épidémiologique entre les vaccins adjuvés contre la leucose et l’apparition de sarcomes, le plus souvent des fibrosarcomes. Le développement d’un vaccin à vecteurs viraux peut apporter une piste de solution à cette question (encadré) [4].

Références

  • 1. Chabanne L. Leucose féline. Point Vét. 2010;n°spécial“Infectiologie féline:actualités”:24-29.
  • 2. Hartman K. Feline leukemia virus and feline immunodeficiency virus. In: Kirk’s Current Veterinary Therapy XIV. 1st ed. Elsevier, St Louis, Missouri. 2008:1278-1283.
  • 3. Louwerens M et coll. Feline lymphoma in the post-feline leukemia virus era. J. Vet. Intern. Med. 2005;19:329-335.
  • 4. Poulet H et coll. Efficacy of a canarypox virus-vectored vaccine against feline leukaemia. Vet. Rec. 2003;153:141-145.
  • 5. Taylor SS et coll. Feline extranodal lymphoma: response to chemotherapy and survival in 110 cats. J. Small Anim. Pract. 2009;50:584-592.
  • 6. Vail DM. Feline lymphoma and leukaemia. In: Withrow et McEwen’s. Small Anim. Clin. Onc. 4th ed. Elsevier. St Louis, Missouri. 2007:733-755.
  • 7. Valdés-Martinez A. et coll. Association between renal hypoechoic subcapsular thickening and lymphosarcoma in cats. Vet. Radiol. Ultrasound. 2007;48(4):357-360.

Points forts

→ Le virus leucémogène félin est responsable de certaines maladies dégénératives ou prolifératives du système hématopoïétique, notamment tumorales.

→ Le diagnostic différentiel de la néphromégalie bilatérale chez le chat inclut, entre autres : l’hydronéphrose, la polykystose rénale, les tumeurs bilatérales, les néphrites infectieuses (PIF) et l’amyloïdose.

→ Le traitement du lymphome rénal repose sur l’utilisation d’une polychimiothérapie.

ENCADRÉ
Focus sur les vaccins à canarypoxvirus

La vaccination est un outil indispensable pour le contrôle de la prévalence de la leucose. Néanmoins, l’existence de relations épidémiologiques entre le vaccin de la leucose, les adjuvants vaccinaux et l’apparition de sarcomes chez le chat peuvent remettre en cause la vaccination systématique. Le développement d’un vaccin à vecteurs viraux peut apporter une solution à cette question (vaccin purevax® FeLV disponible en France).

Les vaccins à vecteurs viraux

→ Qu’est ce qu’un vecteur viral ? Quelle utilisation en vaccinologie ?

Un vecteur viral est un virus dans lequel a été introduit des gènes codant pour des protéines d’intérêt. En vaccinologie, ces vecteurs permettent à l’organisme de produire et de présenter naturellement un ou plusieurs antigènes d’intérêt vaccinaux au système immunitaire, de façon à induire une réponse protectrice. De nombreux vecteurs ont été étudiés, notamment des herpèsvirus, des adénovirus ou des poxvirus. En matière de vaccination contre la leucose, il existe un vaccin vectorisé utilisant un canarypox virus. Ce vecteur contient les immunogènes env et gag du FeLV type A. Les virus choisis sont les canarypoxvirus qui ont la particularité de ne pas pouvoir compléter leur cycle de réplication dans les cellules des mammifères.

→ Quelles sont les caractéristiques du vecteur canarypox FeLV ?

Le vecteur canarypox présente plusieurs avantages qui en font un vecteur de choix :

– il s’agit d’un vecteur non réplicatif, c’est-à-dire qu’il ne se multiplie pas et ne diffuse pas dans l’organisme de l’animal vacciné ;

– son innocuité a été mise en évidence dans plusieurs espèces, d’âge et de statut immunitaire différents ;

– il n’existe pas d’immunité antivecteur efficace : la répétition des administrations du vecteur canarypox n’affecte pas l’effet rappel ;

– le vecteur n’a pas besoin d’adjuvant pour être efficient chez le chat, ce qui assure une tolérance locale, sans inflammation chronique à ce niveau.

Dans le cadre du FeLV, le vaccin vectorisé permet :

– une stimulation de l’immunité humorale et cellulaire. L’immunité cellulaire est capitale dans la défense contre le FeLV ;

– une induction rapide d’une immunité d’une durée d’au moins 1 an ;

– une absence d’interférence avec d’autres antigènes vaccinaux.

→ Quels autres vaccins à vecteurs existe-t-il ?

Actuellement, il existe plusieurs vaccins vectorisés à base de canarypox, pour les petits animaux (maladie de Carré, rage), mais aussi pour les équidés (grippe équine, West Nile). En médecine humaine, plusieurs études sont en cours afin d’évaluer les possibilités d’application de ce type de vaccins contre le virus de l’immunodéficience humaine (HIV) [4].

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