Lancée en mai 2020, la télémédecine vétérinaire devait bénéficier initialement d’une expérimentation de dix-huit mois. Aujourd’hui, le cadre réglementaire n’est toujours pas défini et le dossier stagne. Force est de constater que ce service a du mal à soulever l’enthousiasme dans ce contexte. Certains emplois, notamment en suivi de comportement, s’y prêtent pourtant bien.
Christian Diaz (T 81)Praticien comportementaliste à Toulouse (Haute-Garonne)La téléconsultation est complémentaireAprès une phase d’expérimentation, de mai à novembre 2020, nous sommes encore dans une période juridique floue et nous attendons les textes encadrant la téléconsultation. Elle ne concerne que les animaux déjà vus dans les douze derniers mois et ne peut conduire à un diagnostic, puisque celui-ci nécessite un examen clinique. Pour ma pratique exclusive de médecine du comportement, cela s’y prête bien pour les consultations de suivi avec une observation de l’évolution de l’animal, ...
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