La première étude prospective sur l’apport de l’IRM dans la prise en charge et le pronostic de l’accident vasculaire cérébral chez le chien montre la nécessité d’élaborer des outils de caractérisation des lésions spécifiques et soutient la possibilité d’une recherche translationnelle avec la médecine humaine.
« Pendant longtemps, on a pensé que le chien ne faisait pas d’accident vasculaire cérébral (AVC). On en est revenus grâce, notamment, à l’essor de l’imagerie par résonance magnétique (IRM), qui a permis d’établir de plus en plus de diagnostics », a déclaré Catherine Escriou (A 92), maître de conférences en neurologie et médecine du comportement à VetAgro Sup (Marcy-l’Étoile, Rhône), lors de la 4e soirée du centre hospitalier universitaire vétérinaire pour animaux de compagnie (Chuvac) de VetAgro Sup, le 9 novembre dernier. Ces connaissances récentes ...
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