Les gingivostomatites du chat touchent majoritairement les arcs palatoglosses et se manifestent par des ulcérations ou des proliférations tissulaires granulomateuses à l’origine d’une douleur buccale et d’une anorexie. Leur fréquence varie de 0,5 à 12 % selon les études, ce qui en fait une affection fréquente chez le chat. Une revue de la littérature1 s’intéresse à leurs manifestations, leur étiologie mais surtout leur prise en charge.Plusieurs agents viraux tels que les calicivirus, les herpèsvirus et les rétrovirus (FIV et FeLV) seraient ...
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