La maîtrise du risque environnemental passe par l’adoption des bonnes pratiques générales d’usage des antiparasitaires des carnivores domestiques, basées sur l’adaptation de la prescription au mode de vie de l’animal, et le respect des précautions d’usage des médicaments. Le point avec Émilie Bouhsira et Aude Ferran, enseignantes-chercheuses à l’ENVT.
Le risque d’écotoxicité des antiparasitaires des chats et chiens apparaît négligeable, ce qui n'empêche pas de raisonner sa pratique, permettant de redonner une place centrale au conseil vétérinaire dans la prévention parasitaire, expliquent Émilie Bouhsira, présidente de l’Esccap1 France et enseignante en parasitologie, et Aude Ferran, enseignante en physiologie et thérapeutique, à l’École nationale vétérinaire de Toulouse.En élevage, les effets non intentionnels des antiparasitaires sur des organismes non cibles sont de plus en plus pris en compte. Est-ce que cet aspect est également à ...
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de La Semaine Vétérinaire
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