Sur le terrain, les praticiens alertent depuis longtemps, épaulés par les syndicats et l’Ordre : il manque des candidats pour travailler en zone rurale, et surtout des compétences en médecine animaux de rente pour assurer un maillage vétérinaire suffisant. Depuis peu, il manque aussi tout simplement des bras pour satisfaire la demande croissante en soins vétérinaires en canine. Le constat est simple. La réponse complexe, car multifactorielle, dépendante aussi de multiples acteurs : les vétérinaires, le monde agricole, les collectivités, l’État, etc. Et surtout, l’inertie ...
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de La Semaine Vétérinaire
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