Le système des remises arrières accordé sur la vente de médicaments, en s’emballant trop, est-il devenu « pernicieux » ? Rencontre avec Jacques Devos, délégué départemental du Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL) dans la Loire.
Vous êtes praticien mixte à Panissières dans la Loire. Comment les remises arrières ont-elles évolué au fil des ans ?Aujourd’hui, les remises arrière sur la vente des produits vétérinaires peuvent atteindre jusqu’à 85 % ! Le système s’est emballé depuis le début des années 2000. Car au départ, il y a une quarantaine d’années, elles n’étaient que de l’ordre de 5 à 10 % : à l’époque, quelques praticiens avaient eu l’idée de se regrouper, essentiellement pour atteindre des tarifs franco de port, mais également pour négocier les ...
Ce contenu est réservé aux abonnés de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Pas encore abonné ? Profitez vite de nos offres
La Semaine Vétérinaire, le journal de tous, la référence de chacun. L'actualité complète de la profession vétérinaire.