DANS LE SECTEUR DES FILIÈRES AVIAIRES, PORCINES ET CUNICOLES, LE MODÈLE ÉCONOMIQUE DU VÉTÉRINAIRE LIBÉRAL ENTAME UNE DIFFICILE MUE, VOIRE TRAVERSE UNE CRISE STRUCTURELLE PROFONDE ET MAJEURE. LES COMPÉTENCES VÉTÉRINAIRES Y SONT RECONNUES COMME DE HAUT NIVEAU, MAIS DES RÉSISTANCES PERSISTENT POUR LES FACTURER ET LES PAYER, AU JUSTE PRIX.
Le soldat vétérinaire est, comme d’autres, une charge économique à comprimer. » Dans le secteur de la volaille de chair, le constat posé par Charles Facon, praticien en filières aviaires, est amer. « L’activité de volaille de chair est structurellement en réduction, de 10 % tous les ans. Cela fait longtemps que nous créons nos candidats, mais aujourd’hui le recrutement n’est pas en projet. Le nombre de vétérinaires en place en élevage a et va encore diminuer. »
Comme en pratique rurale, dans le secteur ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres