L’omerta tombe peu à peu dans les lieux de formation aux professions de santé. Connues et longtemps tues, les violences à caractères sexuels sont de plus en plus dénoncées, y compris dans les écoles vétérinaires, où des initiatives se mettent en place.
Face à la prise de conscience des violences sexistes et sexuelles subies, l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF) a présenté le 18 mars dernier les résultats1 de leur enquête, réalisée en 2020. Des chiffres et des faits choquants, mais pas étonnants, précise la présidente de l’ANEMF, Morgane Gode-Henric, qui souhaite briser l’omerta sur ces agressions qui participent au mal-être étudiant. « L’hôpital, c’est comme la mafia, tout le monde sait, personne ne fait rien. » Ou pire, ce professeur à ...
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