Après quinze ans de pratique et loin de la retraite, je devais trouver un dérivatif à ce métier que j’aime tant, une activité qui me permette de m’évader en gardant les pieds dedans. Est-ce le fameux « mal-être de la profession » que j’ai déjà ressenti ? L’envie de laisser une petite trace de moi ? De montrer la réalité, tantôt drôle, tantôt agaçante, du métier avec humour ? La peur d’oublier les anecdotes les plus croustillantes de mon métier ? C’est en tout cas à ...
Ce contenu est réservé aux abonnés de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Pas encore abonné ? Profitez vite de nos offres
La Semaine Vétérinaire, le journal de tous, la référence de chacun. L'actualité complète de la profession vétérinaire.