LA PROPOSITION DE LOI VISANT À RENFORCER LA LUTTE CONTRE LA MALTRAITANCE ANIMALE APPORTE PAR SON ARTICLE 3 NOTAMMENT DES MODIFICATIONS CONCERNANT LE FONCTIONNEMENT DES FOURRIÈRES, EN ALLANT DANS LE SENS D’UN MEILLEUR RESPECT DU BIEN-ÊTRE DES ANIMAUX. SI LA LOI EST VOTÉE AU SÉNAT, COMMENT LES RÉALITÉS DU TERRAIN ÉVOLUERONT-ELLES POUR LES COMMUNES ET LES VÉTÉRINAIRES ?
Les vétérinaires font parfois office de fourrière, car les communes ne disposent pas de locaux permettant d’accueillir les animaux errants », observe Loïc Dombreval, vétérinaire député des Alpes-Maritimes. C’est pourquoi, notamment, sa proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, adoptée le 29 janvier dernier par l’Assemblée nationale et en attente d’être votée par le Sénat, prévoit que « chaque commune ou chaque établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre doit disposer d’une fourrière ou d’un refuge, apte ...
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