ENTRE L’OUVERTURE DE L’ENSEIGNEMENT VÉTÉRINAIRE AU PRIVÉ ET LE PROJET D’UNE NOUVELLE ÉCOLE PUBLIQUE À LIMOGES, L’ENJEU EST DE RÉPONDRE AUX BESOINS DE LA PROFESSION. LES ÉCOLES NATIONALES VÉTÉRINAIRES NE SUFFISENT-ELLES DONC PAS ? L’OUVERTURE D’UNE CINQUIÈME ÉCOLE EST-ELLE UN PASSAGE OBLIGÉ ? LA RÉPONSE EST COMPLEXE ET MÉRITE QUELQUES EXPLICATIONS.
Faut-il créer une cinquième école vétérinaire ? Oui, pour les parlementaires qui ont permis l’ouverture, sous conditions, de l’enseignement vétérinaire au privé, via la loi de programmation de la recherche. Oui aussi pour un autre élu, Alain Rousset, président de la région Nouvelle-Aquitaine, qui propose, lui, d’ouvrir une cinquième école vétérinaire publique à Limoges, et, avant cela, de mettre en place rapidement une cinquième année d’approfondissement (voir encadré page 38). Parmi les arguments invoqués pour élargir l’offre de formation, quatre ressortent : ...
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de La Semaine Vétérinaire
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