Notre consœur témoigne dans trois cas qui font l’objet d’un commentaire dédié. Attention, les faits relatés ci-dessous contiennent des éléments pouvant heurter la sensibilité.
Cas n° 1
« 11 h du matin, la gendarmerie appelle pour solliciter mon intervention dans le cadre d’une plainte déposée par une femme contre son mari. Au téléphone, le gendarme évoque des sévices sexuels impliquant un chien. J’apprendrais par la suite que l’homme a violé sa femme en utilisant le chien. On m’explique qu’on attend de moi un examen du chien et que c’est la dame qui l’amènera. Elle sera accompagnée par les gendarmes jusqu’à ma salle de consultation, mais je serais seule ...
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de La Semaine Vétérinaire
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