La splendeur de ce documentaire macédonien (primé trois fois au festival de Sundance 2019) est autant humaine que visuelle. La poésie désarmante de ce portrait de femme touche l’intime et l’universel et, bien que paraissant coupé du monde et du temps, nous parle du tragique actuel. Tourné sur trois ans par une petite équipe proche de ses protagonistes, Honeyland rend compte avec simplicité, sans musique ni commentaire, de l’extrême fragilité de notre lien à la nature, quand notre talent à ...
Ce contenu est réservé aux abonnés de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Pas encore abonné ? Profitez vite de nos offres
La Semaine Vétérinaire, le journal de tous, la référence de chacun. L'actualité complète de la profession vétérinaire.