Durant le confinement, de nombreuses vidéos (sanglier sur la Croisette, dauphins à Venise, rorquals dans les calanques, chevreuils dans les jardins, etc.) ont montré combien il suffisait que l’homme s’efface pour que la vie sauvage réinvestisse rapidement les espaces dont elle était exclue. Cette extraordinaire résilience, la capacité du vivant à reconstituer des dynamiques autonomes est justement promue par les partisans du réensauvagement1, tels que l’organisation Rewilding Europe2 ou, en France, le naturaliste Gilbert Cochet. Ce dernier dresse avec ce ...
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