Dans les années 1970, des projections de films dits en “odorama” s’accompagnaient de la diffusion dans la salle d’essences aromatiques. Cette expérience, éphémère, ignorait la capacité du cinéma à suggérer les odeurs par l’image. En mettant en scène un “nez” (personne dont l’odorat développé devient l’outil de travail) cette comédie en fait la fine démonstration. On en ressort avec une puissante envie de humer l’air pour se mettre à l’écoute des odeurs et beaucoup plus sensible au fait que, dans ...
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