Si la France n’observe pas (encore ?) d’abandons d’animaux en lien avec l’épidémie de Covid-19, les associations de protection animale sont sur le qui-vive et craignent de ne pouvoir assumer leur mission de soins, faute de personnel, y compris vétérinaire.
Alors que la Chine a d’abord vécu au début de l’épidémie des situations dramatiques avec des animaux de compagnie morts de faim dans les appartements où leurs propriétaires n’ont pas pu revenir, que d’autres ont été abattus pour suivre des réglementations hâtives, abandonnés à la rue, la situation s’est peu à peu stabilisée, avec la solidarité et la diffusion d’informations sur les précautions à prendre avec les animaux de compagnie. L’université de Hongkong a fait preuve de pédagogie très rapidement ...
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