Un récent arrêté interdit d’ici fin 2021 la castration chirurgicale à vif des porcelets, tandis qu’un autre autorise l’usage d’anesthésiques locaux par les éleveurs. Une évolution réglementaire pas suffisante pour les organisations techniques vétérinaires.
Bientôt la fin de la castration à vif des porcelets. Un arrêté, en date du 24 février, interdit officiellement cette pratique. Au 1er janvier 2022, la castration devra se faire obligatoirement avec anesthésie et analgésie. Pour ce faire, un deuxième arrêté, publié le même jour, autorise les éleveurs à avoir recours à des anesthésiques locaux et à des analgésiques1. La promesse du ministre de l’Agriculture est-elle tenue ? Oui, mais…
« L’anesthésie locale ne peut être une méthode suffisante pour la prise en charge complète ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres