Si l’objectif premier du projet Calypso est la remontée de cessions des antibiotiques imposée par la réglementation européenne, il se veut aussi un outil numérique structurant pour la profession vétérinaire, non sans poser des questions d’ordre juridique et financier. Les précisions du président de l’Ordre.
Le projet Calypso apparaît comme un facteur d’attractivité professionnelle pour l’exercice rural, via l’accès aux données d’élevage. Comment le système le permettra-t-il, alors qu’à ce jour c’est un point de blocage pour la profession ?
Jacques Guérin : La version 1 de Calypso a pour objet d’organiser la remontée des sessions de médicaments vétérinaires contenant des substances antibiotiques, conformément à la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt, et de trouver un remplaçant au logiciel BDIVET, devenu obsolète. Il s’agissait d’abord de ...
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de La Semaine Vétérinaire
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