NE SE SUBSTITUANT PAS AUX APPAREILS D’OPHTALMOSCOPIE DIRECTE ET INDIRECTE, LA PHOTOGRAPHIE DU FOND D’ŒIL DEPUIS LE SMARTPHONE PEUT NÉANMOINS INTERVENIR DANS UN DEUXIÈME TEMPS, AVEC POUR PRINCIPAL AVANTAGE LA PÉDAGOGIE AUPRÈS DU PROPRIÉTAIRE.
En permettant la prise de photos et de vidéos de haute résolution - et leur transmission - le smartphone peut devenir un allié du praticien. Illustration avec Thomas Dulaurent, spécialiste en ophtalmologie au CHV Saint-Martin-Bellevue.
Quel emploi faites-vous du smartphone dans votre activité ?Thomas Dulaurent : Je ne m’en sers que pour des applications très précises. Les appareils d’imagerie du fond d’œil que j’utilise au quotidien (KOWA RC-2 numérisée, notamment) sont couplés à un appareil photographique hybride compact Sony. Via une application, l’appareil ...
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