LES ACTUS QU’IL NE FALLAIT PAS MANQUER SUR LEPOINTVETERINAIRE.FR - La Semaine Vétérinaire n° 1838 du 24/01/2020
La Semaine Vétérinaire n° 1838 du 24/01/2020

VU SUR LE WEB

Rétroviroses : de nouvelles recommandations

L’American Association of Feline Practioners (AAFP) met à jour ses recommandations en matière de diagnostic et de prise en charge des rétroviroses chez le chat. Douze ans après la version initiale, ce guide (en anglais), approuvé par l’International Society of Feline Medicine (ISFM), tient compte des nouveautés en matière de tests diagnostiques et apporte un éclairage sur leur interprétation. Face au manque d’études sur l’efficacité des traitements (antirétroviraux et immunomodulateurs), la prévention et le dépistage précoce restent à ce jour les meilleures stratégies de lutte.

www.bit.ly/2sIxGKT

Influenza aviaire hautement pathogène : l’extension de poursuit

Sept pays ont confirmé la présence du virus, dont l’Allemagne qui a détecté le virus dans l’avifaune sauvage, à proximité de la frontière polonaise. La Direction générale de l’alimentation estime le risque important pour le France via les transporteurs en provenance d’Europe de l’Est.

www.bit.ly/2TLPeku

Se préparer ensemble aux enjeux en santé publique vétérinaire

Les risques de crises sanitaires, locaux comme mondiaux, aux conséquences économiques lourdes, nécessitent une collaboration de tous les acteurs pour chercher des solutions de prévention et de lutte efficaces. Ce principe est réaffirmé à l’occasion du premier hub mondial en santé publique vétérinaire, le hub Veterinary Public Health (VPH), lancé à Lyon (Rhône) ce 14 janvier.

www.bit.ly/2NMH9bw

Le lapin de compagnie n’est pas fait pour vire seul

Afin d’améliorer le bien-être des lapins de compagnie, la British Veterinary Association (BVA) a publié une série de recommandations, la première étant d’élever les lapins en groupes, composés d’au moins deux individus.

www.bit.ly/2Rx9ljG

Sécurité sanitaire des aliments : l’Anses propose des contrôles mieux ciblés

Pour près des trois quarts des couples substance chimique-aliment examinés en France entre 2010 et 2014 par l’Anses, le risque sanitaire lié à l’exposition aux contaminants chimiques de l’alimentation est considéré comme inexistant.

www.bit.ly/38p6mAD

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