Pour l’année 2018, 3 554 antibiogrammes d’origine porcine ont été transmis au Réseau d’épidémiosurveillance de l’antibiorésistance des bactéries pathogènes animales (Résapath), soit 6,4 % des antibiogrammes reçus (6e position). Ce nombre est en hausse de 3,7 % par rapport à l’année précédente. Les bactéries isolées sont issues de porcelets jusqu’au stade de post-sevrage (63 %) et de truies (10 %). Les verrats ne représentent que 0,2 % des antibiogrammes1. La maladie digestive est la situation la plus souvent associée à la réalisation d’un antibiogramme (42 %), suivie ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres