Cette pièce exploite enfin le potentiel théâtral des salles d’attente des établissements vétérinaires, où il n’est pas rare – tous les praticiens citadins en sont témoins – que des propriétaires d’animaux se laissent aller à épancher leurs blessures, quand il ne s’agit pas de leurs névroses ou psychoses. Si les deux auteurs poussent ici la cocasserie des personnages (deux clientes face à un assistant narquois) jusqu’aux portes de la folie, ce n’est pas uniquement pour nous divertir de leurs aliénations ...
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