L’entéropathie épizootique du lapin (EEL) est une maladie fréquente en élevage, associée à des taux élevés de mortalité (30 à 95 %). Malgré de nombreux travaux de recherche, l’agent pathogène de la maladie reste à ce jour inconnu. Si l’hypothèse virale a été rapidement écartée, l’origine bactérienne est toujours d’actualité. En effet, l’usage de certains antibiotiques (bacitracine, tiamuline) sur le terrain permet de réduire sensiblement l’expression de la maladie dans les élevages. Par ailleurs, la dysbiose, observée chez les lapins ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
de La Semaine Vétérinaire
Déjà abonné ?
Identifiez-vous
Pas encore abonné ?
Profitez vite de nos offres