La prolificité des truies est en augmentation constante (+ 1,9 porcelet par portée depuis 15 ans), alors que la production de colostrum par les truies est très variable et reste indépendante de la taille de la portée1. De plus, à la naissance, le porcelet ne possède que de très faibles réserves énergétiques ne lui permettant de survivre que quelques heures2. En outre, de par la placentation épithéliochoriale de la truie, il est dépourvu d’immunité passive. Le colostrum est donc un premier ...
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de La Semaine Vétérinaire
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