Alors que les démarches en faveur d’un meilleur respect du bien-être animal se multiplient, celui des professionnels du secteur animalier (éleveurs, abatteurs… mais aussi vétérinaires) semble précaire. Bien qu’en France les données chiffrées du taux de suicide chez les vétérinaires en exercice ne sont pas connues, ces derniers sont fragilisés, à l’image des travailleurs du secteur agricole1. Une thèse de 20152 indiquait que, dans certains pays européens, ce taux était trois à quatre fois plus élevé chez les vétérinaires que ...
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