Si le métabolisme du chien s’est adapté à un régime riche en glucides, cette évolution n’est pas aussi aboutie chez le chat. Tous deux restent tributaires de l’apport nutritionnel en protéines, qui doivent être majoritairement d’origine animale chez le chat.
La domestication des carnivores domestiques, initiée il y a plus de 15 000 ans pour le chien et 5 000 ans pour le chat, a entraîné de profondes modifications d’ordre hormonal, comportemental et alimentaire, a rappelé Charlotte Devaux, titulaire du certificat d’études spécialisées (CES) de diététique canine et féline, à l’occasion d’une conférence organisée par Virbac le 13 mars à Paris. Une étape cruciale dans le processus de domestication du chien est l’amélioration de la digestion de l’amidon (le chien ...
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de La Semaine Vétérinaire
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